Une ballade définitive. (Pv-Hidoka)

Cela faisait maintenant deux heures que le jeune étudiant de l'institut de Valkar marchait à travers bois, à la recherche de plante médicinales pour se faire pardonner de son professeur d'herboristerie, étant arrivé en retard lors de son dernier cours. les hautes herbes trempaient son pantalon, lui collant le tissu à la peau. Bien que la soirée approchait, la chaleur estivale se faisait encore ressentir et cela, le jeune homme en subissait les conséquences néfastes. Même le couvert des arbres n'apportaient pas une ombre suffisamment rafraîchissante. Ses pieds commençaient quant à eux à ressentir les kilomètres qu'il avait parcourut, il était bon pour avoir quelques cloches pour le lendemain. Son sac sur le dos, il écarta une branche qui lui bouchait le chemin, si l'endroit où il vagabondait pouvait recevoir ce nom. Un livre à la main, il tentait vainement de retrouver la plante qu'il lui fallait parmi les herbes, arbustes et autres végétaux.

Fallait-il croire que la chance n'était pas avec lui ou bien que le hasard tombait parfois mal, mais peu lui importait la raison, une pluie torrentielle commença à le tremper encore plus qu'avant. Azario commença alors à courir à la recherche d'un abri quelconque, n'importe quoi qui lui permettrai de se protéger mais non, dans cette forêt il n'y avait que des arbres aux branches éparses et surtout insuffisante pour lui servir d'abri potentiel. S'y résignant, il se contenta de rabattre sa capuche au maximum. Le ciel était maintenant d'un noir d'encre et seules quelques étoiles parvenaient à éclairer les bois. Az' était véritablement perdu et même avec sa carte -trempée en partie- et la technique de "la mousse qui pousse au Nord des arbres", le jeune étudiant ne parvenait pas à s'y retrouver. En même temps pour lui, le petit scientifique, le fait de connaître toute les espèces d'arbres ne l'aidaient en rien.

Bientôt, des bruits inquiétants se firent entendre, venant une fois de derrière un buisson, une seconde fois en hauteur, encore une autre fois derrière-lui ou encore de son imagination. L'apprentis magicien ne parvenait à voir où ses pieds étaient que grâce à une lumière qui émanait de son collier grâce à sa magie. La forêt n'était vraiment pas rassurante, et la pâle lueur qui lui offrait son collier ne parvenait pas à le rassurer. Après une nouvelle heure de marche -cette fois-ci à la quête du chemin du retour- Azario se demanda s'il ne s'était pas encore trompé de sens.

Il est maintenant de ce levé, 15h35. Ce réveiller tard a cause d'un boulot de nuit est normal, mais voila maintenant plusieurs jour que les mains n'avais pas pu touché du sang fraie, l'envie de tuer est maintenant a son apogée, ne voulant pas attiré l'attention dans Valkar Hisoka décide de partir dans la forêt pour tué des animaux pour ne pas devoir tuez d'humain. Après avoir cherché pendant plusieurs heure, une biche se montre enfin, aussi rapide d'un lièvre, et discret d'un serpent Hisoka fonce sur la biche sans défense puis lui arrache la tête, le sang de la bête fini par giclé partout et tel un goulu quand il s'agit de sucé le sang le visage s'en retrouve totalement recouvert.
Puis une personne malchance ce trouve non loin, et manque de bol Hisoka laisse un grand sourire rouge que même le ''Joker'' lui même serais ridicule.
Maintenant legerement calmé pour ne pas le tuer tout de suite pour le dévoré, le vampire ce met non loin de sa cible puis il lance un sort de foudre en prononçant ''Izuchi'' comme formule. Le sort vient frappé au pied de la cible. Une fois cela fait, Hisoka sort de l'ombre, les quenotte a l'air libre et du sang sur le visage et pleins le torse.

- Tu n'a vraiment pas chance petit, je possède l'estomac de Satan aujourd’hui.

Laissant sa cible ce préparé volontairement pour pouvoir profité d'un petit plaisir malsain, les mains forme déjà des cercle et laisse apparaître une multitude de carte.

Azario sursauta, il était sûr d'avoir entendu un bruit, quelques part sur sa droite. Sur ses gardes, il sortit un poignard de sa sacoche, sa main crispée et les jointures blanches. Quelques minutes passèrent, puis soudainement un éclair s'abat juste devant lui. Mais pas verticalement comme le ferai un éclair normal, obliquement. Il jeta un coup d'oeil inquiet vers la source -visible avec les branchages enflammés qui avaient touchés l'éclair- et vit sortir une silhouette. La pluie ne lui permettait pas de voir le faciès de la personne mais il y devina des traits masculins. La chemise de celui qu'il devina être un opposant était rouge, tout comme son pantalon.

- Tu n'a vraiment pas chance petit, je possède l'estomac de Satan aujourd’hui.

Az' fronça les sourcils, perplexe. Quel drôle d'homme, si s'en était un. Il vit les mains de l'étranger bouger et quelques choses apparaître entre. Maintenant en position défensive, le jeune Feliz lança rapidement son arme vers l'adversaire et érigea un bouclier magique qui lui permettrai de ne pas mourir en cas d'attaque, du moins, il l'espérait... Serrant son collier, les paupières mi-close, il déclama quelques paroles en latin et un jet de flamme s'échappa de sa paume ouverte vers l'adversaire. Il sentit le contre-coup du sort et partit en courant, éveillant de petits incendies de temps à autres pour ralentir le traqueur. Après quelques centaines de mètres de courses, il n'attendit plus que son souffle et décida de grimper dans un arbre pour vérifier si l'autre ne le suivait pas encore. Il n'eut le temps que de grimper quelques branches avant d'entendre un nouveau bruit de pas.

Le jeune ne répondit pas a Hisoka, mais lui lança sa dague, un peu pris dans sa folie il n'esquive pas et la dague viens se planté dans son épaule, regardant maintenant la dague il la retire mine de rien puis le jeune homme prononce des mots en latin, un sort de feu, étant magicien le savoir était facile, créant un bouclier d'eau pour contré le sort. Une fois le sort fini il avait déjà filez, Hisoka était encore plus heureux qu'il puisse le courir après.

- Hummmm, fuie mon enfant fuie !

Maintenant le jeune homme était dans un arbre non loin de la, tentant de se caché mais en vain, il pouvait sentir le sang a travers ça peau, l'envie de le croqué était plus qu'excitant pour lui maintenant. Il se glisse dans son dos discrètement et prononça les même mots que celui pour le sort de feu.

- Moi aussi je l'ai connais. Dit-il d'un rire surnois.

Le sort venu brûler en grande partie le dos de la cible, tombant maintenant au sol avec une fumée qui recouvre la totalité son corps, impossible qu'il est mort d'un sort aussi ridicule, enfin Hisoka espere qu'il ne puisse pas mourir maintenant, il lui avait normalement laissé assez temps pour contré le sort en grand partie.

- Je n'ai pas fini joué avec toi mon enfant, debout !

Tandis qu'il prenait la fuite, il entendit l'individu derrière-lui dire:

-- Hummmm, fuie mon enfant fuie !

Il ne se retourna pas et continua son chemin, déclenchant de petits foyers avec ses flammes pour ralentir son adversaire. Le crépitement des flammes incendiant la forêt couvrirent le bruit de ses pas, et après s'être retrouvé à distance raisonnable du feu il se tapit dans un arbre, à à peine quelques mètres du sol. La forêt restait silencieuse, bien que quelques instants plus tôt il lui avait sembler entendre des bruits de pas venant vers lui. Soudainement, il sentit une faible respiration contre sa nuque. Il se retourna précipitamment et n'eut le temps que d'entendre prononcer la fin de la formule et la phrase ironique du sorcier avant de tomber au sol.

- Moi aussi je l'ai connais.

L'oeil gauche, le côté par lequel Azario c'était retourné, était brûlé comme une bonne partie de son dos. Il se retrouvait donc en bien mauvaise posture. Az' serra ses doigts en poing traçant cinq lignes dans le sol. La rage écuma son coeur, un plaisantin ne pouvait pas venir à bout de la logique. Le bouclier que le jeune homme avait préparé régénéra ses cellules en partie, celles-ci n'était après tout pas immortelle.

- Je n'ai pas fini joué avec toi mon enfant, debout !

Il n'était pas son enfant ! Des larmes de rage coulèrent de ses yeux, et, malgré la douleur, se retourna rapidement en formulant une formule qu'il cria plus qu'il n'incanta.

-Aqua submergeret !

Une énorme vague naquit des mains tournées vers son adversaire.

-Fulgur tanget !

Des éclairs frappèrent l'endroit où se tenait l'être qui l'avait provoqué et quelques uns faillirent toucher le jeune homme.

-Ignis ardebit !

Des flammes se créèrent la où était celui qui allait regretter de l'avoir chercher. Quelques flammèches remontèrent le long de ses bras et des lambeaux de peaux brûlés tombèrent au sol.

-Terra prævalebit !

La terre trembla et le sol s'ouvrit sous les pieds du fou, mais hors de contrôle la terre s'ouvrit aussi sous les pieds de son invocateur. Azario tomba à la renverse et se cogna la tête. Après quelques minutes de noir total, il battit des paupières et porta une main à son front, qu'il ramena ensanglantée. Ses muscles étaient endoloris et sa brûlure au dos diffusait une vague de douleur insoutenable. On l'avait pourtant prévenu de ne jamais dépasser ses limites et pour une fois, il n'avait pas écouté... Ses oreilles bourdonnaient et le sang battait à ses temps. Immobilisé comme il était, son adversaire ne ferai qu'une bouchée de lui. Azario demanda au vide d'une voix enrouée.

-Qui.. Es-tu ? Et pourquoi ?

Les paupières closes, il attendit une réponse, ou une nouvelle douleur.

Ce petit lance a plusieurs reprise des sorts, en premier un sort d'eau, suivant d'un sort de foudre, puis d'un de feu a nouveau puis celui de terre crée un vide sous nos pied, le lanceur est aussi pris dans son propre sort. Les voila dans le noir complet Hisoka était-t-il en vie ? On pouvait entendre le jeune parler tout seul.

-Qui.. Es-tu ? Et pourquoi ?

A cet instant precise Hisoka crée une flamme pour faire de la lumiere, il était pile devant ce jeune garçon, la gauche d'Hisoka venu saisir a la gorge de l'humain, on pouvait remarqué que le bras en question était brûler, il avait du encaisser les multiple sort avec ce bras. Puis il venu planter ses crocs dans le cou pour pouvoir récupéré un peu d'énergie. Laissant assez de sang pour que l'humain vive, il lui posa une question.

- Vaudrais-tu devenir mon esclave petit humain ? Le sourire au lèvres et ensanglanté.

La mort ou être esclave d'un sadique pour le reste de sa vie. Beaucoup d'humain accepterais, pour maintenir leur vie un peu plus longtemps malgré quels soit douloureuse. Hisoka avec un malin plaisir a briser ses victimes a se moment précis. Hisoka met sa main libre sur le torse du jeune homme, au niveau du coeur, surement pour lui arracher s'il accepte la mort.

Épuisé d'avoir lancé tout ses sorts et dépassé par la demande en énergie demandée pour les réaliser, le jeune Feliz se retrouvait dans une crevasse à quelques mètres sous le sol. Tout ce qu'il pouvait voir de ses paupières mi-closes était les étoiles qui éclairaient le ciel à travers le branchage de arbres. Azario demanda à la personne qui l'avait attaquée pourquoi, mais aussi qui il était. Pour toute réponse, une flamme éclaira le visage tout proche du fou qui le saisit à la gorge. Le jeune homme toussa du sang et celui-ci, ainsi que celui qu'il perdait de son nez, coulait le long de son menton et sur le bras du criminel. Az' sentait la paume brûlée de son adversaire coupée une partie de sa respiration, le faisant suffoquer d'avantages.

Tout à coups, le vampire planta ses crocs dans le cou juvénile du garçon. Il sentit ses forces le quitter au fur et à mesure que son sang était aspiré pour nourrir le monstre. Alors qu'il lui semblait qu'il allait sombrer dans l'inconscience, le vampire recula son bras et lui posa cette question:

- Vaudrais-tu devenir mon esclave petit humain ?

Azario serra ses poings. Devenir un monstre sanguinaire incapable de se contrôler ? Il y perdrait plus qu'il n'y gagnerait. La vie éternel aurait bien peu d'attrait si son temps était gaspiller à se nourrir. L'autre posa sa main à gauche, à peu près au niveau de son cœur affolé. Il cracha à la figure de son adversaire puis tenta bien durement de lui mettre une droite, malgré le fait de sa peau tendue et brûlé au troisième degré. Le coup manqua de puissance, rien qui ne puissent l’inquiéter.

-Ja.. Keuf.. Jamais ! Autant.. Keuf keuf... Mourir, pourriture !

À chaque fois qu'il toussait, du sang remontait sa trachée endommagée et aspergeais le vampire, lui dessinant un masque bordeaux et lugubre.

-Ja.. Keuf.. Jamais ! Autant.. Keuf keuf... Mourir, pourriture !

- Si se son tes dernières volonté petit humain.

Hisoka était très dessus de la répondre, il avait prit en affection cette humain dans un sens, puis a la fin de sa phrase il enfonce sa main dans le corps du jeune homme pour lui arraché le coeur, il pouvait maintenant voir son coeur dans la main du vampire, on pouvait voir qu'il battait encore tout seul, les yeux ouvert en grand a cause de la douleur probablement il est obligé de voir son propre coeur dans la main d'une autre avant que la lueur dans ses yeux disparaît, Hisoka avait réussi a lui dire ses quelque mot avant qu'il meurt.

- Je garde cela en souvenir de toi petit homme.

Il lança un sort de gel sur le coeur pour le gardé dans un état parfait de conservation, puis il ferma les yeux du jeune homme, il a beau être un monstre, il sait respecté les morts qu'il le mérite, il ne l'avait pas pris d'affection pour rien, mais cela avait causé sa propre mort. Sortant du trou, il se retourna puis prononça encore quelque mot magique, le trou se referme et Hisoka laisse un rire s'echapper.

- Tu avais creuser ta propre tombe.

Partant tranquillement avec le coeur du jeune homme, il repartie a Valkar content de sa petite chasse.

HRP : Fin ? Ou tu poste encore une fois ?

[Bel et bien fini oui, merci =}]