Un jour de pluie, les affaires tournes au ralenti en ce moment, les poches commence a être vide. Faren doit trouvé un coup assez important pour faire des réserves. Alors qui traine dans un bar il entend deux hommes ivres parlé entre eux. Il parlait d'un marchand d'esclave qu'était arrivé en ville, il aurait vendu 70% des esclaves, mais que l'une d'elle aurait fait un remue ménage et a cause de cela le marchand a du arrêté les ventes et elle continueront demain. Un commentaire de son partenaire de beuverie sur le faite qu'il doit être en colère entre le stockage des esclaves, du butin qu'il a du se faire et le logement sur place il doit perdre de l'argent.
Le seul passage que Faren a retenu correctement était le butin, voila une idée qui lui traverse l'esprit, prendre au méchant vendeur d'esclave sa paye, cela sonne comme Robin des Bois. Avant de tombé dans son ego il reprend ses esprits. Bon maintenant que la cible est décidé, voyons ou ce vendeur ce cache, enfin son butin.
Une fois l'endroit trouvé pour ne pas être reconnu en cas de problème, des vêtement noir pour ne pas être vu dans l'ombre et un foulard pour caché son nez et sa bouche et les lunettes de protection qu'il porte habituellement. Dans cette tenue personne peut le reconnaître, a moins qu'il s'agit d'une personne qui possède un 6ème sens comment pourrait-t-il être reconnu.
Une fois dans le bâtiment c'est le calme plat, aucun gardien, ni de chien de garde, tant mieux cela rend la tâche plus facile. Les recherche ne porte pas leur fruit, il semblerait que l'argent soit mis autre part, alors qu'il se dirige vers la porte du fond, il cogne une cage accidentellement. Le bruit attire quelqu'un avec une lampe, finalement il y avait bien un garde, alors qu'il s'était accroupie rapidement il tombe nez a nez avec l'occupant de la cage, il s'agit d'une femme, la couleur de ses cheveux est un peu inhabituelle, mais quelque chose sur son visage semble attiré son attention, comme s'il elle avait prit une vilaine claque ou un coup au niveau de la joue. La femme semble fixé Faren, d'un signe de la main il lui demande de ne pas faire de bruit. Un peu part pitié de voir une femme marqué au visage il met dans sa cage sa gourde d'eau encore fraîche, elle pourrait le mettre sur sa joue pour limité les dégâts causé par le coup. Faren est un être humain assez stupide, bien qu'il soit voleur il est beaucoup trop gentil, chose qu'il risque de le tué un jour surement.
Alors qui cherche une sortie il voit que les différents esclave n'était pas dans des cages, tout simplement attaché pied et main lié, alors pourquoi l'autre femme l'était ? Surement celle qu'avait du causé des ennuies aujourd'hui dans les ventes, enfin bref pas le temps de discuté, il doit filez avant d'être vu, autant revenir plus tard, vu que demain il fait des ventes le butin devrait être présent.
Le soleil ce lève, le marchand d'esclave est déjà la en train de tout préparé, il avait carrément loué un endroit pour stocké tout sa marchandise et son butin, on dirait qu'il n'est pas si idiot, alors que Faren passe discrètement pour allers la-bas, il regarde que les esclaves sont transporté, il devait en resté vingt environ. Et une fois qu'il cherche un peu il trouve enfin le butin, il prend la maximum d'argent qu'il peut sur lui puis décide de filez au plus vite, alors qu'il se trouve pas loin de la sorti il tombe nez a nez avec le vendeur, et voila une chose qui risque d'être embêtant. Place au mensonge pour se sortir de ce merdier.
- Qu'est que vous fabriquez vous ici ?!
- Ce n'est pas trop tôt, osez me faire attendre est osez faire attendre mon Maître, l'un de vos employer m'avait dit que je pourrais voir vos meilleur esclave ici, malheureusement hier je n'ai pas pu venir, une affaire urgent m'avait prit. J’espère qu'il vous reste des esclaves potable, sinon je perd mon temps ici !
- Oh mille excuse messieurs ?
- Nulle besoin de nom, je suis ici pour acheté et non pour faire connaissance.
- Bien si vous voulez bien me suivre messieurs.
Dit-t-il en se frottant les mains, dans sa tête Faren ne pouvait pas se retenir de le traiter d'ordure. D'ailleurs il avait remarqué qu'il s'était prit un coup, serait-ce l'esclave qu'a gâcher son commerce hier ? Celle dans l’entrepôt avec une joue un peu gonflez. Quand on parle du loup, on entre dans une pièce avec la femme qu'il avait brièvement aperçue. Puis il commence mettre en valeur l'esclave quand il aperçois la gourde d'eau, on dirait bien qu'il s'agit la même d'hier.
- Ou as-tu trouvé cela ?! Je suis sur que tu la volé a un acheteur quand j'avais le dos tourné, je vais te donné l'envie de volé moi.
Dit-t-il en prenant a fouet, il allait prend de l'élan pour commencé a fouetté cette femme sans défense que ma main viens attrapé son bras.
- Vous n'allez tout de même pas abîmé la marchandise que je risque de vous acheter tout de même ?
- Mille excuse encore une fois messieurs, je me suis emporté. Donc vous voulez l'acheter ? Elle coûterait 250.
- 200 et on n'en parle plus ? Mon Maître ma demandé de faire des économies et de ne pas trop dépensé.
- Marché conclus !
On aurait dit qu'il était bien content de la vendre celle-la, mais la chose la plus ironique était que Faren paye l'esclave avec l'argent qui lui avait volé il y a quelqu'un minute. Alors qu'il lui donne la clef des menotte il lui demande de ne pas les retiré avant qu'il soit un peu éloignez. On dirait bien qu'elle est bien l'auteur du mauvais coup qu'il avait prit. Mais bref, il ne devait pas tardé, qui sait dans combien temps il allait remarqué. Il décide de marché normalement, l'esclave suit sans faire d'histoire. Mais a peine 10 mètre effectué qu'on peut entendre le marchand crié au vole, bon maintenant faut courir, il saisie par les menotte la femme pour ne pas la perdre pendant la course. Une fois une auberge en vu il entre dedans, tout les regards sont dirigé vers eux, enfin Faren sens que les regards son tournée plus vers la femme qui l'accompagne. Il demande une chambre pour deux avec lit séparé et que personne les déranges. Une fois la chambre payé il presse un peu le pas pour allers dedans et s'enfermé a double tour dedans. Il s'installe sur le lit heureux que tout ça soit fini, impossible que le marchand demande de l'aide au garde de la ville car son commerce est un peu illégale car il ne verse pas d’impôt pour les ventes. Dans le pire des cas c'est des mercenaires qu'on risque de croisé s'il est assez intelligent pour croire qu'il s’agissait de Faren le voleur, mais vu qu'il a cru a son histoire débile d'acheteur pour un Maître imaginaire il y a peu de chance.
Maintenant qu'il souffle un peu il regarde envie de prêt ce qu'il vient d'acheter, et ce coup-ci elle lui tape dans l'oeil, parce qu'avant il n'avait pas vraiment fait attention.
- Je comprend mieux pourquoi en bas il nous regardait tous. Enfin bon, qu'est que je vais faire de toi moi ?
Après avoir réfléchir un peu il ne trouve rien et reprend la conversation.
- Bon et si je t'enlevé ses menottes, vu les marques que tu as au poignet elles n'ont pas l'air confortable ... Sinon tu t'appelle comment ?
La petite coupure dans sa phrase était du qu'il était en train de visé la fente de la serrure des menottes, une fois qu'il est fini de demandé son nom on entend un clik et les menottes tombe sur le sol. Maintenant qu'est qu'il allait faire d'elle et surtout vu son show d'hier Faren espère qu'elle ne l'étripe pas ou quelque chose du genre, mais malgré ce potentiel danger cette abruti ne prend rien pour ce défendre, limite on ne pourrait même pas sentir le moindre sentiment offensive, parce que tout simplement il en avait pas l'intention, sa gentille le tuera, sauf si sa stupidité ne va pas le faire avant.