Entrainement à l'épée ?

"La règle d'or de l'épéiste est la maîtrise de soi. Tant que tu contrôle les battement de ton coeur et les tremblement de ton corps, tu pourras t'en sortir en un seul morceau"


Les paroles de mon père revenait dans ma mémoire quand j'entrai dans cette pièce, dépourvu de personne à cette heure-ci. Profitant de ma première heure libre, je me demandais comment était la salle d'entraînement. En entrant à l’intérieur, je sentis une odeur épicé. Me demandant ce que cela pouvait être, j'haussai les épaules et entra dans cette salle. Je regardais les différentes mannequins d'entrainement, en passant par celui de combat à mains nues, et finissant par les mannequins de foudre, remplis de pierre de tonnerre. Mon oeil se dirigea vers un tronc d'arbre sculpté magnifiquement. Apparemment, il a été conçu pour un combat aux armes tranchantes. Je sortis donc mes deux épées longues, conçu par mon père. Elles étaient parfaitement équilibrées. J'attaquai doucement le mannequin, balançant mes épées vers le torse. Puis je commençai les bottes. Le tourbillon, le puissant coup tranchant vertical, le coup de pied après parade... Mes épées était des instruments et moi, je les guidais pour qu'elle réussissent leur spectacle. Après 1 heure d'entrainement, j'était essoufflé. Je tombai sur les fesses, jetant mes lames à mes pieds. Je respirais bruyamment, mes muscles me faisaient mal.

C'est alors que j'entendis la porte de la salle s'ouvrir.

Je venais de me lever et me dirigeai vers la salle d'entrainement. Il devait être dans les environs de six heures, ou peut-être sept. J'étendis mon bras droigt en passa mon bras gauche derrière la nuque pour soutenir ma main droite. Bon, une heure d'entrainement, puis je préparerais mes cours...

Je me baladais dans les couloirs pour rejoindre la salle. Il n'y avait pas, ou extrèmement peu d'élèves déjà levé. Je pense que j'aurais la salle rien que pour moi, j'allais pouvoir me déchainer en toute quiètude. Je marchai allègrement et en profitant du calme plat du matin.

Je me trouvai maintenant dans le couloir qui menait à la salle d'entrainement. Je marchis d'un pas un peu plus vif et je fus bientot devant celle-ci. Derrière la porte on entend des coups répètés contre un mannequin. J'entra dans la pière discrètement et vit le jeune homme de la plage. J'attendis qu'il eu fini avant d'intervenir en toussotant.

-Bon matin.

Épuisé et haletant, j'entendit la porte grincer légèrement et quelqu'un tousser. Mon cours battant à la chamade, je me demandai qui cela pouvait bien être, tout le monde dormait ou était en cours.

-Bon matin

C'est alors que je me retournai et vu une personne que j'avais déjà rencontré auparavant. Je me levai, époussetant les pelures de bois sur mes habits et essuyant la sueur qui perlait sur mon visage. Ma mine fatigué était toujours sur mon visage, sans que je puisse l'enlever.

-Oh, heu... J'ignorais que je n'était pas seul.

Je souris à la personne qui se tenait face à moi. Me souvenant vaguement de lui, j'avais juste appris de lui qu'il était un professeur. N'ayant pas plus fait connaissance avec lui, je me dit que c'était le bon moment.

-Vous n'êtes pas en cours, professeur ?

Tendant ma main vers celui-ci pour qu'il puisse la serrer, je me demandais quelle heure était-il. Le temps passait trop vite quand l'on était ici, et j'avait peur que je sois en retard à mon premier cours. Après qu'il l'ai serré, je me dirigea vers la fenêtre pour regarder la hauteur du soleil. Celui-ci étant trop imprécis, je ne pouvais pas savoir l'heure qu'il était.

-Hum... Es-ce que vous avez l'heure, professeur ?

Il se retourna en entendant la porte grincer. Il se leva, s'épousseta et essuya la sueur sur son front. Il devait surement être la depuis plus longtemps que je ne le pensais. Sa mine était fatigué, comme la mienne encore bouffie de sommeil.

-Oh, heu... J'ignorais que je n'était pas seul.

Je souris un peu et croisa les bras.

-Je ne suis la que depuis quelques minutes ne t'inquiète pas.

Il me sourit, puis paru un peu absorber par ses pensées. D'après se que j'avais vu de son entrainement il était déjà un très bon bretteur.

-Vous n'êtes pas en cours, professeur ?

Apparement il c'était souvenu de notre conversation sur la plage.

-Je ne commence qu'à huit heure aujourd'hui. Et j'ai cours ici, donc je venais m'entrainer et préparer la salle pour les nouveaux. Avec qui as-tu cours pour commencer?

Il me tendis la main que je m'empressa de serrer. Il se dirigea vers la fenêtre, surement pour observer le ciel car il tourna sa tête vers le bleu aérien.

-Hum... Es-ce que vous avez l'heure, professeur ?

C'est vrai que le temps n'a pas de prise dans cette salle. Mais heureusement je me souvenais être entré ici il y avait quelques minutes voir cinq et il était sept heure et demi quand j'avais quitté ma chambre. J'avais compté qu'il me fallait quatre minutes pour me rendre à la salle, donc il devait être sept heures quarantes, sept heures quarante-cinq.

-Il doit être huit heures moins quart je pense. Et tu peux ne pas dire "professeur" à chacune de tes phrases. Je préfère maitre, mais tu peux choisir, je n'ai pas choisis ce métier pour le titre mais pour...Pour autre chose.

-Je ne commence qu'à huit heure aujourd'hui. Et j'ai cours ici, donc je venais m'entrainer et préparer la salle pour les nouveaux. Avec qui as-tu cours pour commencer?

La question se répercuta dans ma tête. N'ayant pas mon emploi du temps sur moi, mais dans ma chambre, je rougis, gêné de ma situation. Je ne savais pas dans quel salle il fallait que j'y aille, quelle matière était-ce et quel professeur j'avais. On peut dire que ma mémoire est celle d'un poisson rouge en dehors des cours.

-En fait, je ne m'en rappelle plus. Je pense que la matière est... "Appréhension moral magique" mais je ne sais pas dans quelle salle il faut aller et quel professeur est-ce.

Je me frottait le bras, l'air gêné. Je me demandais ce que pensait de moi le professeur. Sûrement d'un crétin qui ne connais pas son emploi du temps par coeur et qui ne va pas réussir dans ce collège. J'affichai alors une mine déçu. Après avoir regarder le soleil, je demandai au professeur quel heure il était

-Il doit être huit heures moins quart je pense. Et tu peux ne pas dire "professeur" à chacune de tes phrases. Je préfère maitre, mais tu peux choisir, je n'ai pas choisis ce métier pour le titre mais pour...Pour autre chose.

Huit heure moins le quart ? Je commençais à neuf heures donc, je poussai un soupir de soulagement. Puis je me dit une chose. Pourquoi veut-il qu'on l'appelle "Maître" ? Il a choisit ce métier pour une chose. Laquelle ? Toutes ces questions avaient sûrement une réponse.

-Hum... Je vais vous appeler "Maître", ça sonne mieux. Et puis vous avez plus l'allure d'un Maître que d'un professeur. On sent que vous n'aimez pas rester cloîtré dans un bâtiment. Et puis, pourquoi avez-vous pratiqué ce métier ? Pour prouver une chose ?

Ma nature curieuse ressortait en moi, prenant la place de celle du timide.

Il rougis encore, apparemment gêné par la situation. Je souris pour essayer de le mettre plus en confiance.

-En fait, je ne m'en rappelle plus. Je pense que la matière est... "Appréhension moral magique" mais je ne sais pas dans quelle salle il faut aller et quel professeur est-ce.

"Appréhension moral magique"? Voyons voir...Je ne me rappellais pas non plus du professeur, pourtant je voyais de qui il s'agissait...Temps pis. En fait, j'avais ma routine bien encrée, et je ne savais pas non plus ou était les salles de cours de magie. Je secoua légèrement la tête en signe de dénégation.

-Désolé, je n'en sais pas trop rien...Il faut dire que cela ne fait qu'un an que je travaille ici et que l'institut est vaste. Mais il y a un horaire ici si tu veux.

Je lui montra une fiche avec toute les classes ainsi que leur horaires respectifs. Une idée assée bien pensée de notre directrice.

Après lui avoir indiqué l'heure, il soupira, de soulagement apparemment. Ensuite je lui expliqua qu'il n'avait pas besoin de lancer des "professeurs" tout le temps et me posa quelques questions:

Hum... Je vais vous appeler "Maître", ça sonne mieux. Et puis vous avez plus l'allure d'un Maître que d'un professeur. On sent que vous n'aimez pas rester cloîtré dans un bâtiment. Et puis, pourquoi avez-vous pratiqué ce métier ? Pour prouver une chose ?

Je leva la tête vers le ciel en inspirant, puis le regarda dans les yeux. Je n'allait pas tout lui dire, mais je ne voulais pas lui mentir...

-Je préfère maitre car je suis maitre d'armes. Il est vrai que je préfères me balader en forêt qu'être cloitrer dans un pièce, mais j'aime lire dans la bibliothèque aussi. J'ai choisi se métier car j'ai voulu apprendre au nouvelle génération se que j'ai appris suite à beaucoup d'expériences mais bon, fini les confidences, parle-moi de toi.

Après avoir dis ma matière, il réfléchit. Moi, je restais debout devant lui, en attendant sa réponse.

-Désolé, je n'en sais pas trop rien...Il faut dire que cela ne fait qu'un an que je travaille ici et que l'institut est vaste. Mais il y a un horaire ici si tu veux.

Je fis une mine dépité. Me dirigeant de pas lent vers la fiche d'horaire, je levis les yeux et découvris que je n'avait pas cours avant une demi-heure. Et le nom du professeur n'était pas inscrit. Haussant les épaules, je me retournai et me déplaçai vers lui.

-Hm... Merci de votre aide, maître.

Je souris, en croisant les bras.

-Je préfère maitre car je suis maitre d'armes. Il est vrai que je préfères me balader en forêt qu'être cloitrer dans un pièce, mais j'aime lire dans la bibliothèque aussi. J'ai choisi se métier car j'ai voulu apprendre au nouvelle génération se que j'ai appris suite à beaucoup d'expériences mais bon, fini les confidences, parle-moi de toi.

Je réfléchis un instant. Que pourrais-je lui dire de ma vie ? Je n'ai connu que des mésaventures horribles. Je poussai un soupir et m'adossa au mannequin.

-Ma vie n'a pas de début. La naissance n'est... Enfin, peu importe. J'ai un père qui est forgeron et a mère m'a quitté lors de mes 8 ans. Il y a aussi plein d'autres mésaventures mais je préfère les garder pour moi...

Je tripota mon exphère, en fermant les yeux.

-Je suis venu dans cette école car je veux m’entraîner dur jusqu'à retrouver le katseye de ma mère et un autre objectif secret...

Après lui avoir répondu vis à vis de son horaire, puis se dirigea lentement vers la fiche d'horaire.Il haussa les épaule avant de dire:

-Hm... Merci de votre aide, maître.

Je me passa la main dans les cheveux.

- Je ne t'ai pas vraiment renseigner mais.. De rien.

Il sourit et croisa la bras, je lui souris en retour tout en donnant ma réponse. Ensuite, il réfléchi un instant avant de répondre.

-Ma vie n'a pas de début. La naissance n'est... Enfin, peu importe. J'ai un père qui est forgeron et a mère m'a quitté lors de mes 8 ans. Il y a aussi plein d'autres mésaventures mais je préfère les garder pour moi...

Je croisa les bras à mon tour et me gratta le menton tout en réfléchissant tandis qu'il joua avec son médaillon, fermant les yeux.

-Je suis venu dans cette école car je veux m’entraîner dur jusqu'à retrouver le katseye de ma mère et un autre objectif secret...

Je le regardi d'un regard bienveillant.

-Même si cela pourrait te paraitre étrange, je te comprend totalement.. On peut dire que oi aussi ma vie n'a pas eu de début, mais bon.. Il faut voir le bon coté des choses non? Ici, tu vas pouvoir t'entrainer et trouver des information du monde entier.

Je souris, comme pour souligner ma remarque.