Écrit N°1:Bon, ce matin j'ai eu une idée... Que je n'ai pas encore eu le temps de concrétiser (C'était ce matin et j'avais examen...) Alors j'ai eu l'idée de soumettre le texte de base pour voir comment je pourrais l'amélioré. Je vous préviens, c'est une Nouvelle donc se sera une histoire courte~longue. Comme je n'en ai encore que l'idée, je verrai bien se que ça donnera, enfin... Bonne lecture à vous quand même.
Suis-je toi ou es-tu moi?
Je l'aime, je l'aime pationnémant. Nous approchons du lit conjugal, un sourire bênet aux lévres et remplis d'amour. Je n'ai pas voulu te la voler mais comme tu es parti si vite... Je ne pouvais pas la laisser toute seule à faire ton deuil. Je suis devenu son ami, son amant. Maintenant, nous allons fêter nos fiançailles. Je n'ai pas voulu te prendre son amour, mais après autant de temps, un an après ton accident, comment aurais-je pu la laisser s'engouffrer avec toi dans la mort?
Quand je suis arrivé se jour la chez vous, elle s'apprettait à avaler des somnifères. Trop de somnifères. Je les lui ai pris et les ai jeté. Comment aurais-je pu laisser faire ça? Elle est si jolie, si gentille. Elle fait attention à moi, ne me rejette pas. Je l'aime.
Crois-tu que je devrais continuer? Nous sommes maintenant sur le lit, habillé et à nous regarder amoureusement. Nous sommes totalement sous l'emprises l'un de l'autre. Totalement? Non, elle pense à toi. Et moi je pense à toi. Une pointe de remords nous assaille. Nous la balayons d'une main égarée. Nous nous dévorons des yeux. Elle m'aime. Je l'aime. C'est comme ça depuis que tu me l'as présentée. Ce jour-la fut merveilleux.
Nous étions tout les deux assis à une terrasse. Toi mon meilleur ami qui n'avait pas assé de sous pour payer un verre, tu m'offris le restaurant ce jour-la. Nous étions dehors, en terrasse, un verre de vin rouge à la main. Tu m'as annoncé que tu avais une surprise. Je pensais que tu avais enfin trouvé quelqu'un pour tes tableaux, magnifique mais invendu. Jared a hoché la tête, ça devait être ça. Tout les deux nous t'avons attendu. Tu as composé un numéro inconnu. Son numéro. Je te regardais en me demandant ce que tu faisais. Jared t'admirait avec envie. Il avait toujours voulu avoir ta vie, tes amis. Puis elle arriva. Splendide déesse descendant de son nuage pour venir nous saluer. Elle est venue et m'a dit d'une voix claire, précise. Magnifique. Elle m'a dit bonsoir. Ensuite, comme de vieux amis, nous nous sommes fait la bise. Une odeur sucrée en enivrante m'avait effleurée les narines. Mon coeur battait déjà la chamade, mais quand tu te retira et que nos regards se croisèrent, il explosa de joie. J'avais trouvé l'Âme soeur. Durant un moment, l'éternitée fut à nous, rien qu'à nous. Elle à sourit un moment et à sauter dans tes bras... Dans tes bras, pas dans les miens. Jared l'addulait. Je l'admirais. Pendant toute la soirée, tu nous à parler d'elle et elle nous a parlé de toi. Vous avez parlé de vos projets. Jared et moi étions omnubilés par ses paroles, nous les buvions à grandes lampées. À la fin de la soirée, tu t'es agenouillé. Devant elle. Les bras dans le dos. J'aurai du être à ta place, Jared aussi. Nous t'avons regardé. Puis notre regards c'est tourné vers elle. De son corps émanait le bonheur, la passion. Tu as montré une petite boite. Que tu as ouvertes. Une bague. Avec un diamant. En or. Tu l'as demandé en mariage. Je me suis dit que si c'était cela qui l'a rendait heureuse, il voudrait mieux que se soit toi, pas moi. J'ai compatis, c'était à elle de choisir, pas à nous. Jared était fou de rage. Il ne l'a pas accepter mais ne l'a pas montré, par égard pour elle. Elle n'a pas hésité. Elle n'a jamais hésité. Elle a accepté. Le mariage serait dans un mois. Jared n'a pas supporté que tu nous demandes d'être tes témoins. Je porterai ton alliance. Jared aussi. Jared c'est levé d'un air froid et indifférent sauf à l'égard de notre belle. Il a accepté pour elle, pas pour toi. Il est parti, je me suis excusé et je l'ai accompagné, la laissant la à regret.
Le mariage eu lieu un mois plus tard. Un mois chargé et rempli. Tout fut mis en oeuvres pour que tout soit parfait. Je l'accompagnais à chaque fois quelle me le demandait. Je venais quand tu me le demandais. Jared ne venait que pour elle. Tu n'étais plus son ami. Tu étais un traitre qui lui avait volé l'amour de sa vie. Je pense que Jared faisait peur à notre dulcinée. Quand je le lui ai dit il a nié. Elle faisait cela pour toi. J'ai hoché la tête. Je comprenais.
Le mariage fut fantastique, la voir emplie de bonheur était mon plus beau cadeau. Pas pour elle évidemment, elle, je lui offris un bracelet d'or blanc. Toi tu n'eus qu'un bracelet de cuir, mais tu m'as serré dans les bras, heureux comme un fou. Ce bracelet ne t'a plus jamais quitté. Tu l'aimais et elle t'aimait. Jared lui offrit aussi un bracelet d'or blanc. Toi tu n'eus rien. Du mépris peut-être? tu l'as quand même remercié et tu l'as serré dans tes bras, sincère. Jared parti tôt. Je parti avec lui. Tu fus déçu mais tu ne dis rien, tu comprenais peut-être.
J'éteinds la lampe et l'obscuritée s'installe. Seul nos yeux brillent encore d'une lueur enflammée de passion. Je lui souris et l'attirent vers moi. Nous nous câlinons simplement. Tu me hais et je le sens. Mais tu es mort. Jared fut fou de joie. Heureux. J'ai pleuré ta mort mais Jared non. Je retins mes larmes pour lui.
Tu n'as pas vraiment eu d'accident, pas vrai? Serais-je un profiteur que de profiter de ta mort que pour prendre se qui t'appartentait. Ta maison, ta femme, ta vie.
Après le mariage, Jared sombra dans la folie. J'en suis sur. J'étais toujours avec lui. Il marmonnait des mots incompréhensibles, faisais de drôles de plans, prenait des photos d'elle en secret. Il en a un mur tapissé dans sa chambre. Des centaines et des centaines de photos d'elle. Tu ne le savais pas, Jared était toujours ton ami. Il est resté près de toi pour être près d'elle. Moi je resais avec lui. J'avais peur pour lui.
Le soir avant ta mort, j'étais chez moi, Jared chez lui. J'ai rêvé que j'étais lui. Je rêve souvent que je suis lui.
Nous avancions doucement vers ta maison. Vers votre maison. Nous t'avons sonné et tu es venu devant ta porte sans le lui dire. Nous n'étions que nous trois. Nous t'avons invité à boire un verre dans le café de la ville d'à côté. Il n'y en avait pas ici. Tu avais choisi une maison dans les bois. Nous avons pris ta voiture, c'était plus simple. Un 4x4. Nos avons descendu la descente abrupte qui descendait vers la ville. Jared a amené tes mains vers ton cou. J'ai senti la pression qu'il a mit. Tu l'as regardé avec de grand yeux étonnés et tu as dérapé. Nous avons fait de multiples tonneaux mais un arbre à arrêté notre course. Jared n'avait rien. Je n'avais rien. Ton bras était distordu et ta tête pleine de sang. Tu étais encore en vie. Jared a pris un des morceaux de verres du pare-brise cassé. Il t'a poignardé. Quarante-sept fois. Tu étais tellement charcuté que l'on aurait put croire que c'était une explosion qui t'avait fait cela. Jared ne c'est pas arrêté la. Il a sorti le bidon d'essence, celui qu'il y a dans ton coffre que tu gardes toujours au cas où. Tu l'as regardé de tes grand yeux effarés. Tu avais compris, dans tes quelques dernières secondes de luciditées, qu'il était trop tard. Beaucoup trop tard. Il eu un spasme et mourrut. Jared a vidé le bidon sur toute la voiture. Il a pris ton briquet. Jared l'a allumé. Je ne pouvais rien faire, rien. J'ai essayé. J'ai hurlé, je l'ai frappé, je me suis mit entre vous. Rien. Ce n'était qu'un rêve. Jared l'a allumé , à fait demi-tour et la jeté sans un regard pour toi. La voiture a explosé. Il n'a rien eu; il a eu le temps de se cacher derrière un arbre. Rien n'aurait pu laisser croire qu'il était venu ici.
Je me suis réveillé en sursaut et je t'ai téléphoné. Elle m'a répondu. Tu n'étais pas chez toi, elle ne savait pas où tu étais mais elle pensait que tu étais allé chercher des croissants chauds. Tu le faisais souvent. Je n'ai pas paniqué et je l'ai crue. Après tout ce n'était qu'un rêve. Je suis allé à la salle de bain. J'avais de drôle de trace sur les mains et mes chaussures étaient pleines de boue. Je n'y ai pas fait attention, il avait plu hier. nous t'avons retrouvé l'après-midi même, par des randonneurs. Je ne fus mit au courrant qu'au cours de la soirée.
Maintenant je parcourais les courbes de son corps. C'était du passé. Ce n'était qu'un mauvais rêve. Je lui souris tendrement. Il y eu un coup brut à la porte. Je me leva et alla ouvrir. La police.
-Jared Whitspire, vous êtes en état d'arrestation. Les hommes en blanc me l'on dit. J'ai une double personnalitée. Je comprend pourquoi tu disais toujours "tu" quand tu parlais de nous maintenant.
Voila, finito l'histoire. Je suppose que vous avez compris? Non? C'est normal.
Enfin, trêve d'humour.. pas marrant. Alors voila, c'est fini. Pas trop long? Je ne sais pas on m'a piqué ma souris alors je vais devoir attendre.J'ai écrit cette histoire en a peu près 30~45 minutes. Voila voila.~Merci aux courageux qui on lut l'histoire basé sur un souvenir matinal...~
J'attend vos critiques avec (im)patiente.
(Ne vous étonnez pas des fautes, mon ordi' à un problème passager alors je corrigerais plus tard
)
Écris N°2:
Bon, cette fois, l'heure de l'idée à changer. Parce que c'est une idée venue d'un rêve venu d'une idée. Un peu brouillon pour le moment, j'en suis à ma troisième introduction... Et aucune ne me plaît. Je vais donc vous en proposer un extrait du premier chapitre (Pas fini du tout) ici, j'aimerai savoir ce que vous en pensez, les défauts, les qualitées, bref un bon briefing. (N'aillez pas peur d'être méchant ou vache.)
Pour que vous compreniez le contexte, je vais vous faire un petit résumé (Que vous pouvez aussi critiquer si vous le souhaitez):
Azario est un homme ailé, pas un ange, un homme avec des ailes, comme tous ceux de son peuples. Il vit à Hedragfly, la capitale du continent volant qui domine depuis les cieux les quatre autres continents de son monde. Chaque homme et femme ont des capacitées spéciales, ils maîtrisent les éléments selon leur ADN et leur contient.
Les îles qui forme le continent aquatique sont habitées par de sages humains, comme vous et moi, à la différence qu'il contrôle l'élément de l'eau. Le deuxième continent, constitué de terres arides, de fleuves en feu et de volcans, est dominé par un peuple agressif et guerriers qui puisent leur puissance dans leur élément de feu. Le troisième peuple, principalement des agriculteurs et des marchands, habite de vaste plaine herbeuse et s'aide de leur pouvoir sur la terre pour cultiver leur champs et protéger leur villes. Le quatrième, le plus étrange, était composé d'ermite et de petits villages dominé par de gigantesque montagne comme nulle part ailleurs. Aussi aérien que les nuages, ils contrôlaient l'élément de l'air. Et le cinquième peuple, le peuple ailé, vivait reclus dans un gigantesque citée de plusieurs millions de bâtiments au-dessus des airs, au-dessus de la plus grande des montagnes du continent de l'air. Les ancêtres de se peuple était ceux qui était parti de leur patrie initiale durant la guerre pour rejoindre la petite tribu rebelle qu'était cette ville auparavant. Les maîtres élémentaux se mélangeant, se mariant et vivant entre-eux, le résultat fut que désormais chaque habitant pouvait contrôler les quatre éléments primaires. Seul quelques privilégiés pouvaient pousser la recherche dans un domaine au point de maîtriser un des éléments secondaires, même si pour cela ils devaient abandonner l'élément contraire d'un des deux composants de se nouveau pouvoirs.
Bien qu'ils en aient les moyens, jamais ce peuple ne souhaita dominer les autres. Ce peuple ne pouvait pas cacher leur nature profonde une fois leur ailes sorties car la couleur de celle-ci indiquait s'il était bon ou foncièrement mauvais. Des ailes claires indiquaient leur gentillesse et leur bonté d'âme tandis qu'aux contraire, des ailes foncées montraient que l'individu en question était mauvais et perfide. Malgré cela, la paix régnait entre ses six continents.
C'est dans cette paix que Azario, l'homme aux ailes bicolores, naissa.
Azario se réveilla en sursaut, trempé de sueur, la respiration haletante. Cherchant l'amadou dans le noir, il alluma la lampe les mains tremblante. Clignant les yeux pour s'accoutumer à la lumière ambiante, le jeune homme serra les draps, comme pour s'accrocher pour ne pas tomber, sombrer dans une noirceur inconnue. Il écarta nerveusement une mèche humide de son front puis se roula en boule dans ses draps. Il avait encore fait se rêve, ses souvenirs s'étaient encore réveillé, faisant rejaillir ses douleurs dans son dos, au coeur, à la tête, aux côtés. Les muscles tremblant, il ferma ses yeux en forçant comme si cela pouvait lui faire oublier tout ça, toute cette histoire.
La pluie ruisselait sur les vitres de sa chambre dans un vacarme assourdissant. Dehors les rafales et la pluie se déchaînait, montrant toute leur puissance élémentale. Le coeur lourd, Azario s'appuya contre l'appuis de fenêtre et vint coller son front contre la vitre froide. Observant les ombres floues de ses frères, il les vit s'entraîner sous la pluie battante, dans le noir de la nuit sans lune. Baissant les yeux vers ses mains tremblantes, un éclair déchira la ciel en illuminant la pièce. [En cours]
Écrit n°3Un petit poème qui m'est venu ce matin. Bon, si midi c'est le matin. Écrit avec un crayon bleu qui n'écrit pas sur des feuilles d'études et de dessins... Avec les moyens du bord quoi.
Un deux trois
Je regarde autour de moi
Rien ne peut plus m'arrêter
Ni ennemi ni allié
Tout n'est que rouge, sang
Monticules de corps sanglants
Mes doigts sont vermeilles
Et un groupe de corneille
Se repaisse des corps ennemis
En les voyant je souris
Après avoir retrouver mes esprits
Le remord me ronge
Et alors j'y songe
Tout me reviens
Je l'ai tué de mes mains
Dans la fureur de ma bataille
Tout ne fut que pagaille
Par erreur
Pour mon malheur
J'étais détenteur
D'un pouvoir plein d'ardeur
Pouvant guérir mes alliés
Et tuer mes ennemis jurés
Détenteur de magie
J'ai créer la folie
La lune au-dessus de moi
Me dit tout bas
Que "Jamais Oh grand jamais
Ta tête d'homme ne retiendra
Qu'il faut toujours et non jamais
Choisir le bien humain, le mal animal"
Perdant la raison
N'ayant plus de tentation
Mon coeur perdu
Transpercée Oh combien je ne sais plus
Je chercha mon arme
Épée d'argent plaisant aux dames
Pour sa splendeur d'antan
Je l'avais choisie pour les gens
Après un regard sur le carnage
Je trouva l'épée sans âge
Plantée dans le coeur de mon ami
En pleurs je l'a pris
L'admira une dernière fois
Pensa au mal que je ne ferais qu'une fois
Lentement je l'approcha
Les larmes roulants sur mon visage froid
Transperçant mon coeur
Je sus que je ne connaîtrais pas le bonheur
Une fois de l'autre côté
Je devrai payer
Un deux trois
Je m'écroule sans un bruit
Et vide de bruit.
Réponse aux commentaires:
Danaël (Suite à l'écrit 1)-> Merci, j'ai essayé de faire de mon mieux. C'est même la première fois que j'ai écris une nouvelle, alors je ne savais pas trop comment elle allait être prise.