Des retrouvailles mouvementé. PV Kei

" Les bateaux pour le continent partent toutes les heures. Fais attention à toi pour le retour. Nous nous reverrons soit en sur et je me vengerai vraiment cette fois! "

Voila les derniers mots que m'avait dit Kei avant de disparaître. Enfin bon j'ai passer une bonne soirée en compagnie de cette jeune demoiselle. Je commence a m'habiller tranquillement quand je remarque qu'il manque une épée. Je retourne la piece dans tout les sens, impossible de mettre la maison dessus. Je descend tels une flèche voir l'aubergiste lui demandé s'il ne l'avait pas vu ou pris. Il me dit qu'il avait cru entendre qu'une forme bizarre était sorti par la fenêtre a son retour de chez les marchés. Puis il me dit en chuchotant.

- Alors tu te l'es faite ?

- Non, mais elle m'a bien roulé elle. Dis-je sur un ton assez énervé.

Je décide de cherché ou pourrait ce trouvé la jeune voleuse en fuite avec l'un des bien les plus précieux a mon coeur. Par chance j'apprend par un informateur quels fait partie de la Zenshi Institute, j'avais beaucoup de chance depuis tout a l'heure, je devais continué et profiter de celle-ci.
Je rentre aussi vite que possible a Valkar, une fois sur place je me dirige vers l'institue, puis direction les archives. Les documents sont sensé être interdit au public, mais une petite visite sans prévenir est obligatoire pour la retrouver.

- Kei ... Kei ... Kei Hynawa. Trouvé !

J'avais maintenant la classe de cette petite voleuse. Une fois devant le cour qu'elle devait assisté j'attend tranquillement la fin de celui-ci. Porté qu'une seule arme n'était pas dans mes habitude et cela me perturbe beaucoup. Quand la sonnerie des fin des cours retentir je me lève puis j'attend dans l'ombre pour voir Kei. Elle prit son temps pour en sortir, puis quand je l’aperçus je me faufile discrètement derrière elle. Une fois a porté pour la saisir je l'enroule de mes bras et mon menton ce colle contre sa tête côté droit.

- Salut, je t'ai pas manqué depuis la nuit qu'on a passé ensemble...

Le ton que j'emploie était assez froid, mon épée était plus importe que tout, je lui fis bien comprendre.

- J'ai quelque chose qui m'appartiens, j'aimerais que tu me le rende sinon je devrais m'amuser avec toi encore une nuit. Dis-je avec un leger sourire.

Malgré qu'elle m'avait piqué mon épée, j'étais contente de revoir la demoiselle. Loin de la que j'en était amoureux, mais que sa présente était agréable. Malheureusement ce sentiment de bien être fut détruit rapidement par les gens autour de nous.

- C'est pas lui l’épéiste qu'a tuée brutalement tout les bandits dans la forêt ?

- La nuit qu'ils ont passer ensemble, il aurait abusé d'elle ?

- Dégoûtant ! Et il n'a même pas de gout, il pourrait choisir d'abusé de plus jolie fille !

A entendre les idiots dire leur pensé haut et fort je prend Kei par la main pour la forcé a me suivre dans un endroit plus calme. Une fois a l'écart je la met contre le mur et lui demander une dernière fois.

- Je suis heureux de te revoir ma belle, même très content, mais je tiens a cette épée plus que tout, redonne la moi si te plait !

Un coup de vent fit s'ouvrir la fenêtre de la chambre de l'élémental. Kei se re-matérialisa une fois à l'intérieur. La distance entre Lamiarh et Valkar n'était pas des plus anodines mais le transit time avait été correct pour elle. Il était 8h30. Son premier cours commençait à 9h. La demoiselle avait eu de la chance de pouvoir y assister. Elle se changea, optant pour l'uniforme obligatoire de l'institut qu'elle n'appréciait pas particulièrement. La jupe était bien trop courte à son goût. Le haut par contre lui convenait plutôt bien. Un style un peu garçonne. C'est à 8h50 qu'elle sortit de sa tanière pour se rendre au lieu d'étude.

9h. La demoiselle arriva devant la porte de son cours sur les monstres et autres créatures diverses. Pile à l'heure. Ce n'était pas l'un de ses préférés mais il n'en restait pas moins intéressant. Elle alla s'installer à une table libre à côté de la fenêtre. Elle pourrait ainsi profiter de la vue que lui offrait la hauteur du premier étage. Les autres élèves arrivèrent au compte goutte et d'autre arrivèrent après le professeur qui les gronda. Ce dernier demanda le silence et commença son cours. Le sujet d'aujourd'hui ? Les monstres préhistoriques. Certains noms atteignirent les oreilles de la jeune fille tel que mégalodon, smilodon ou encore le léviathan (ou léviator).

La demoiselle était distraite. Le coude droit posé sur la table et la tête posée sur sa main ouverte, elle regardait par la fenêtre le vent soufflait dans les branches des arbres. Non pas que ce spectacle lui semblait passionnant non, du tout. Elle repensait plutôt à la soirée qu'elle venait de passer et où elle n'avait que peu dormi. En revoyant certaine scène, ses joues se teintèrent très légèrement de rouge. Et elle chassa ses idées en secouant la tête. Le jeune homme qu'elle avait rencontré avait il su rentrer sans trop de grabuge sur le continent ? Si la réponse à cette question était positive, cela voulait dire qu'il se trouvait à l'institut. Et, elle n'avait pas particulièrement envie de le revoir pour le moment. Surtout après le coup qu'elle lui avait joué. Prendre l'une de ses armes et partir comme une voleuse, il y a mieux comme au revoir.

La sonnerie retentit alors. Quoi déjà ?! Le cours avait vraiment passé vite aujourd'hui. L'élémental rangea tranquillement ses affaires. Et comme à son habitude, fut l'une des dernières à sortir. Elle aimait prendre son temps. Surtout qu'elle avait une heure de pause ensuite. Après avoir passé le pas de la porte, elle s'arrêta à quelques mètres de celle ci afin de réfléchir à où elle allait passé son heure de trou. Retourner dans sa chambre et s'y reposer semblaient être une bonne idée. Alors qu'elle allait s'y diriger, elle sentit deux bras s'enrouler autour de sa taille, un menton sur son épaule et une joue contre la sienne. Elle n'eut pas besoin de se retourner pour deviner de qui il s'agissait. Le son de sa voix même froide l'avait trahit:

"Salut, je t'ai pas manqué depuis la nuit qu'on a passé ensemble... Elle avait tourné ses iris dorées vers lui alors qu'il poursuivit "J'ai quelque chose qui m'appartiens, j'aimerais que tu me le rende sinon je devrais m'amuser avec toi encore une nuit. "

Non mais il était pas bien de parler de ça ici ?! Alors que d'autres élèves étaient présents ?! Pour qui et quoi allaient ils passé maintenant ?! Et en plus il la menaçait pour qu'elle lui rende son bien. C'était bien mal la connaitre! Elle eut le temps de lui répliquer avant que les chuchotements des autres étudiants ne s'élevaient:

- "Non tu ne m'as pas manqué et je n'ai pas l'intention de passer une nouvelle nuit avec toi. Et encore moins dans les mêmes conditions que la dernière!"

- C'est pas lui l’épéiste qu'a tuée brutalement tout les bandits dans la forêt ?

- La nuit qu'ils ont passer ensemble, il aurait abusé d'elle ?

- Dégoûtant ! Et il n'a même pas de gout, il pourrait choisir d'abusé de plus jolie fille !

Mais de quoi ils parlaient ces gamins ? Kaen aurait tuer des bandits dans la forêt ?! Et en plus ils déforment les propos du brun. Plus idiots qu'eux on pouvait mourir. Quoi que. Le fils à papa était pire. Il aurait pu abuser d'une plus jolie fille ? Et bien, ils étaient d'une politesse aussi. Elle soupira intérieurement et s’apprêta à leur répondre mais Kaen l'entraina de force en la saisissant par la main. Il fuyait face à des gamins ?! Qu'est ce qui lui prenait d'agir comme un lâche ?! Même sans connaitre beaucoup le personnage, elle se doutait qu'il devait avoir une certaine fierté. Comme la plupart des hommes d'ailleurs. Kei dégagea brusquement sa main de son emprise:

- "Ça suffit! Pourquoi tu fuis comme ça ?"

Alors qu'elle allait faire demi tour pour aller dire ce qu'elle avait sur le cœur aux gamins de toute à l'heure, le brun l'imposa de rester ici en la plaquant contre le mur. C'est yeux dans yeux qu'il prit la parole:

" Je suis heureux de te revoir ma belle, même très content, mais je tiens a cette épée plus que tout, redonne la moi si te plait !"

Il l'avait encore appeler ma belle! Voulait il connaitre son courroux?!! Et il était heureux de la revoir ? Son œil oui! Il voulait surtout récupérer ce qu'elle lui avait volé. Malheureusement pour lui, elle ne l'avait pas sur elle. Quel voleur garderait sur lui son butin ? Elle le regarda, une lueur de défi pouvait s'y lire. Et c'est calmement qu'elle lui répondit en appuyant sur le très cher:

- "C'est un plaisir de te revoir également très cher. De quelle épée parles tu ? Je ne t'ai rien dérobé du tout, moi. Je suis déçue que tu penses ça de moi."

Sa mine avait pris un petit air triste pour montrer sa déception. Elle s'abaissa légèrement pour pouvoir passer sous le bras du jeune homme et prendre la direction de sa chambre.

- "Maintenant, laisses moi aller récupérer de ma nuit"

Et si par la même occasion elle recroisait les idiots, elle leur ferait leur fête. Quant à l'épée du jeune homme. L'élémental venait de mentir. Un gros mensonge qu'il ne croirait certainement pas. Mais sait on jamais.

- "Ça suffit! Pourquoi tu fuis comme ça ?"

- Je n'ai pas le temps de m'occupé d'étudiant qu'écoute des rumeurs.

Elle n'avait pas changé, un peu normal, on n'avait pas était séparé trop longtemps. La tenue de l'académie lui va plutôt bien, la jupe étant assez courte n'importe qui oserais regardé discrètement. Qui sait combien de jeune homme avait regardé, beaucoup surement. Elle s'appuie sur moi pour me répondre.

- "C'est un plaisir de te revoir également très cher.

- Au moins tu ma pas oublié rapidement.

- De quelle épée parles tu ? Je ne t'ai rien dérobé du tout, moi. Je suis déçue que tu penses ça de moi."

Suite a ce mensonge elle partit pour rejoindre sa chambre, avait-elle oublié que j'étais assez collant ? J'allais lui rappelé sur le champs que je l'était ! Je décide de la rattrapé et de l'accompagner juste qu'a sa chambre, si l'épée devait être caché c'est surement la-bas. Une fois arrivé sur place je sentais bien que Kei avait vu que je l'avais suivi sans dire un mot. Pour me vengé de m'avoir piqué un bien précieux j'allais lui faire pire que l'or de notre dernière rencontre. Je m'approcha de son oreille pour lui chuchoté mes désirs sur les prochaines minutes.

- Je ne serais pas aussi gentil que l'autre fois.

Dis-je en laissant un léger sourire sur mon visage, malgré qu'elle m'avait prit mon bien j'étais content de joué avec elle a ce jeu de ce taquiner l'un l'autre. Une fois entré dans sa chambre elle déposa ses affaires sur son lit puis se retourna dans ma direction, avant même de ne lui laissé le temps de dire quoi que se soit je mis l'une de mes jambes entres les siennes pour faire pression sur elle et la faire tombé sur le lit. Je commence a déboutonner le bouton du haut.

- A chaque mensonge que tu me dira je continuerais. Celui la est pour le mensonge de tout a l'heure.

Laissant apparaître un sourire qui montre que tout cela m'amuse un peu, je met ma main sur le deuxième bouton puis je demande une nouvelle fois au ce situe mon bien.

- Donc tu n'est pas la voleuse ?

Pff. Comment aurait elle pu l'oublier? Ça ne faisait même pas vingt quatre heures qu'ils s'étaient quittés. Étrangement il ne l'empêcha pas de regagner sa chambre. Cependant il s'était mis à la suivre. Il plaisantait la? Pensait il vraiment qu'elle allait lui donner accès à son lieu secret aussi facilement ? La jeune femme décida de le faire tourner un peu en bourrique. Passant devant la cantine, la salle d'entrainement, la salle des profs, elle leur fit faire un long détour où elle espéra le semer.

Cependant arrivée devant le couloir où se trouvait sa chambre, elle constata en soupirant qu'il était toujours derrière elle. Coriace hien ? Alors que Kei allait sortir la clé de sa poche, elle sentit le souffle de Kaen proche de son oreille et lui murmurer:

" Je ne serais pas aussi gentil que l'autre fois."

Au son de sa voix, la miss devina un sourire sur son visage. Il préparait un sale coup. Et il ne serait pas aussi gentil que l'autre fois ? Il avait déjà été assez loin cette nuit.. Qu'est-ce qu'il pourrait bien faire de plus cette fois ? Perplexe et pas vraiment rassurée sur ce qui pourrait se passer ensuite, l'élémental ouvrit sa porte et tenta de la refermer aussitôt afin de l'empêcher d'entrer. Sans succès.. Il pénétra à sa suite sans le moindre accord. Sans gêne en plus. Elle soupira et déposa son sac sur son lit en lâchant un :

- "Vas-y entre je t'en pris."

Kei se tourna vers lui et elle n'eut pas le temps de se rendre compte de ce qui se passait, qu'elle se retrouva allongée sur le lit, avec Kaen juste au dessus d'elle. Impression de déjà vu et ce, il y a à peine quelques heures. Ses mains étaient toujours libre mais celles du jeune homme s'activaient à déboutonner le premier bouton de son chemisier. Le rouge s'empara immédiatement de ses joues. Non mais qu'est-ce qu'il foutait ?! La réponse ne tarda pas à venir:

"A chaque mensonge que tu me dira je continuerais. Celui la est pour le mensonge de tout a l'heure."

Elle déglutit. Il voulait avec ça et la punir à chaque mensonge qu'elle sortirait. Et il la punissait déjà. Son sourire et son regard lui indiquaient qu'il ne plaisantait pas et qu'il n'hésiterait pas à recommencer. D'ailleurs sa main était déjà sur le bouton suivant et sa question fusa:

"Donc tu n'est pas la voleuse ?"

Kei n'irait pas jusqu'à dire qu'elle est la voleuse. Elle avait plutôt emprunté l'objet afin de l'embêter rien de plus. Si elle disait la vérité, il la laisserait mais le jeu se terminerait bien vite. Par contre, si elle continuait à mentir, elle finirai bien vite en petite tenue. La demoiselle, en se redressant sur ses coudes, plongea son regard doré dans celui écarlate et avec le plus de sincérité dont elle pouvait faire preuve vu le mensonge lui dit:

- "Je ne suis pas la voleuse."

Son cœur battait rapidement. Attendant la sentence qui ne serait tarder si il percevait le mensonge dans son regard. Ses mains étaient libres. Voulait il lui laisser une certaine liberté de mouvement ? Si c'était le cas, il le regretterait. Elle remit rapidement le premier bouton retiré avant de faire basculer le brun et de reprendre le dessus. Kei attrapa les mains du jeune homme afin de l'immobiliser.

- "Je ne suis pas une menteuse très cher Kaen. Je serai malheureuse si tu ne me croyais pas tu sais."

Elle gela les deux mains du garçon ensemble et c'est avec un sourire légèrement taquin qu'elle glissa ses doigts froid sur sa joue. La jeune fille se doutait bien qu'il ne tarderait pas à agir même si elle se demandait bien comment il allait faire avec ses mains ainsi.

- "Je ne suis pas la voleuse."

Dit-t-elle en remettant le bouton que je lui avait retiré. Elle n'avait donc pas l'intention de jouer avec moi ce soir ? Enfin bon, j'avais seulement envie de récupéré mon épée avant tout.

- "Je ne suis pas une menteuse très cher Kaen. Je serai malheureuse si tu ne me croyais pas tu sais."

Elle n'était pas une voleuse ? J'avais l'impression qu'elle me disait je n'est rien volée mais juste emprunter, classique comme réponse. Suite a ses parole la jeune demoiselle joint mes main entre elle et une douleur survient. Elle m'avait carrément gelée les mains. J'avais oublié le détail cruciale qui nous sépare elle et moi. Je suis un simple humain et elle une élémentaliste. Je n'avais aucune chance sans mes deux épées si elle voulait me repoussé. Me voila en difficulté, je tente de me sortir de cette situation, mais elle semble pas vouloir me laissé faire ce que je souhaite. J'attend le bon moment pour me relevé rapidement pour ainsi la plaqué contre le sol, nous voila par terre, un peu dans la même position que l'or de notre première nuit, Kei allongé sur le sol et moi a quatre patte au-dessus d'elle avec lui de ses jambes entre les miennes. Un peu éssouflé des multiple effort depuis tout a l'heure, je respire par la bouche. La porte n'était pas fermé et on avait pu entendre un ''Kya'' venant d'elle. Deux étudiantes venait de voir la scène, étant un peu déshabillé a cause des changements de position brusque a chaque fois et le faite que je soit essoufflé et dans notre position qu'elle idée allaient-elles se faire ? Je pense avoir déjà mon idée la dessus. Les deux jeunes étudiante s'enfuie rapidement, je fixe a nouveau Kei pour lui dire :

- Encore un malentendu Kei-chan, tout l'institute va y croire a force.

Je me releve doucement puis tout en essayant de retiré la glace qui géle mes deux mains je lui demande encore une fois.

- Pourrait-tu me rendre l'épée que tu ma vo... emprunté la nuit dernière ?

Elle était en position de force et pourtant lui ne faisait rien pour se défendre. Était il malade ? Ou alors n'avait il pas envie de jouer ? Elle planta ses pupilles dorées dans celle écarlates du jeune homme tentant de deviner ce à quoi il pensait. Il ne laissait rien paraitre le bougre. Légèrement déçue par son manque de réaction de son camarade, elle baissa sa garde. Chose qu'elle regretta instantanément. Le brun n'attendait que ça pour agir!

Il s'était redressé la faisant tomber à la renverse. Elle laissa échapper un "Kya" sonore sous la surprise. Il en profita pour se placer à quatre pattes juste au dessus d'elle comme lors de cette nuit.. Cependant, contrairement à cette dernière ses mains n'était pas libres, il fut donc obligé de choisir un côté où les placer. Ce fut sur le côté gauche de la jeune fille qu'elles se posèrent. La chemise du brun était légèrement entrouverte et la jupe de l'élémental ne cachait quasiment plus rien de ce pourquoi elle était porté.

Des pas dans le couloir s'étaient entendre et la porte de la chambre n'était pas complètement refermée. Ne lui dîtes pas que quelqu'un avait vu la scène ?! La jeune fille tourna la tête afin de voir qui les avaient surpris et ne put voir que deux paires de frêles gambettes. Des étudiantes.. Et si elles étaient à cette étage c'est que leurs chambres s'y trouvaient également.. L'être de glace n'était pas prêt d'être tranquille surtout vu ce dont elles s'imaginaient compte tenu de leur position, disons ambiguë.. Le brun la regarda dans les yeux avant de prononcer ces quelques mots auxquels Kei répondit immédiatement:

"Encore un malentendu Kei-chan, tout l'institute va y croire a force. "

- "A qui la faute ?! Et pis je m'en fiche de ce qu'ils pourront penser"

Elle tourna la tête du côté gauche. Les mains du jeune homme disparurent de son champ de vision. Il essayait de retirer la glace ? Il n'avait aucune chance d'y parvenir. Du moins, tant qu'elle ne l'avait pas décidé ou qu'elle perdait ses pouvoirs à cause de la chaleur. Il lui demanda de lui rendre ce qu'elle lui avait emprunté. Il avait néanmoins fait l'effort de considérer qu'il s'agissait d'un emprunt et non d'un vol, mais Kei n'avait pas envie de redonner l'objet à son propriétaire. Enfin, pas tout de suite en tout cas. Sans un regard vers lui, elle fit mine d'ignorer sa question et lui expliqua avec un petit sourire malicieux aux lèvres:

- "T’arrivera jamais à dégager tes mains tu sais?"

Elle repoussa le jeune homme de ses petites mains et se redressa pour s'asseoir. L'élémental replaça correctement son uniforme, surtout concernant sa jupe. Elle regarda le brun, toujours au prise avec la glace de ses poignées:

- "Qu'est ce qu'on fait si elles appellent un surveillant ? T'es pas censé être dans ma chambre je te signale."

- "A qui la faute ?! Et pis je m'en fiche de ce qu'ils pourront penser"

- Les rumeurs risque d'être abusé, tes prête a les entendre une par une ?

La douleur était assez forte, a cause du froid je sentais a peine mes mains, je met une multitude de coup de genou dessus, la mauvaise c'est que mes deux mains sont toujours entouré de glace et que j'ai mal au genou ! D'un petit sourire la jeune demoiselle me dit :

- "T’arrivera jamais à dégager tes mains tu sais?"

- Je suppose que t'attend que je te demande d'enlevé cela ?

Je m'approche de Kei avec assurance, comme si j'avais déjà idée de mon prochain mauvais coup. Je ferme la porte de la chambre correctement, j'avance vers Kei tranquillement, une fois devant elle, je remarque qu'elle ne bouge pas d'un pouce, a cause de mes mains gelée je suis tres limité dans mes geste, je passe mes bras au-dessus d'elle pour faire une ceinture avec mes bras.

- Si je veux qu'il fond il suffit que je te chauffe un peu ma belle donc ?

Une provocation, j'avais encore dit le surnom ma belle. Je tente de l'énervé un peu avant de passé a l'action pour réchauffe son petit coeur de glace !

- "Qu'est ce qu'on fait si elles appellent un surveillant ? T'es pas censé être dans ma chambre je te signale."

- Je m'en fiche un peu, maintenant qu'on est seul je vais m'amuser un peu vu que tu ne veux pas me rendre mon bien.

Nous revoilà sur le lit, Kei dos contre celui-ci et moi au-dessus prêt a bondir sur ma proie. Telle un vampire je vais mettre ma bouche dans son cou pour l'embrassé délicatement. Puis je remonte juste cas l'oreille que je mordille avant de lui dire.

- Je ne te laisserais pas filez cette fois-ci Kei-chan. Dis-je en chuchotant.

Ma chemise n'étant pas remise correctement depuis la dernière chute, les bouton continue de s'enlever dans le feu de l'action. Il reste juste deux bouton en bas de la chemise, autant dire qu'elle est ouverte. Qui sait dans combien tant un surveillant va-t-il déboulé dans la chambre, mais j'aurais largement taquiné la jeune demoiselle assez longtemps d'ici la.

- Tu fera attention j'entend ton coeur juste qu'ici Kei-chan. Dis-je avec un petit sourire.

Son corps avait déjà réagi, un peu normal après tout ce que je viens de lui faire. Je n'avais pas l'intention d'en resté la, je fessais en sorte que la jeune demoiselle ne puisse pas s'échapper de cette situation gênante. Autant ce vengé comme il se doit. Je ne sais pas si elle aimait mais je n'allais pas m’arrêter.

- Je pourrais te taquiné autant de fois que je pourrais ma petite Kei, tu me connais je suis bornée.

Les rumeurs risquaient d'être abusés ? C'était de cas de toutes les rumeurs qu'elles qu'en avait été le début de celles ci. Elles étaient toujours exagérées. Et pis c'était le genre de chose qui allait et venait selon ce qui se passait dans les couloirs. Celles des deux individus ne dureraient pas longtemps si une autre venait prendre sa place. Il donna des coups de genoux sur l'élément de glace qui entravait ses mouvements. Pensait il vraiment pouvoir s'en défaire aussi facilement ? Naïf comme réaction. Voyant que ses actes n'y changeaient rien, il prononça:

"Je suppose que t'attend que je te demande d'enlevé cela ? "

La jeune fille lui fit non de la tête, toujours un sourire aux lèvres. Ça serait trop simple si elle le libérait aussi facilement. Et pis, elle voulait voir comment il allait s'en sortir avec une mobilité aussi réduite. Le brun s'approcha d'elle avec assurance après avoir refermer correctement la porte. Ils étaient seuls et les potentiels voyeurs n'étaient plus à craindre à présent. L'élémental ne bougea pas malgré la détermination qu'elle put lire dans le regard de son compagnon. Elle ne risquait pas grand chose après tout. Il s'approcha encore un peu plus et passa ses mains liées par dessus elle, un peu comme si il l'enlaçait. C'était d'ailleurs ce que pourrait croire n'importe quel individu voyant la scène. Ils étaient proches, vraiment proche. Leurs visages pouvaient quasiment se toucher. Les joues de la jeune fille avaient pris une légère teinte rosée. Leurs yeux se croisèrent lorsqu'il prononça:

"Si je veux qu'il fond il suffit que je te chauffe un peu ma belle donc ? "

Il l'avait encore appelé ma belle! Il le faisait exprès, elle en était sure et certaine! Par contre il avait vu juste. Mine de rien il était perspicace le bougre! Si il parvenait à faire monter sa température corporelle, la glace qui entoure ses poignets fondrait très facilement. Il avait un plan d'attaque. Après la question de la jeune fille il répondit qu'il se fichait qu'on les retrouve ainsi et qu'il voulait s'amuser avec elle. Il fallait avouer que la demoiselle l'avait cherché.

Le jeune homme profita de l'attention qu'elle avait porté à sa réponse pour reprendre le dessus sur elle. A nouveau sur le lit, la jeune fille était sous lui. Dans le regard du garçon, elle pouvait y lire une envie de jouer et de la détermination. Elle déglutit. Peut être aurait elle du lui rendre ce qu'il voulait. Alors qu'elle jeta discrètement un rapide regard vers le lieu où se trouvait l'objet du jeune garçon, celui ci plongea ses lèvres dans son cou où il déposa des délicats baisers. Kei frissonna en rougissant à ce contact chaud sur sa peau gelée. A peine eut elle le temps de reprendre ses esprits qu'il s'attaquait à son oreille droite en la mordillant gentiment. Le tout en murmurant qu'il ne la laisserait pas filer cette fois.

Elle plongea ses pupilles dorées dans celles écarlates du jeune homme. Sa chemise à lui était à moitié défaite: seul deux petits boutons la tenaient en place. Son torse était donc visible et ça ne semblait pas le gêner le moins du monde. La jeune fille, elle rougissait encore un peu plus et elle maudissait son corps qui la trahissait à ce point. Son rythme cardiaque avait bien du doubler. Aussi bien que Kaen lui fit la remarque, un sourire taquin sur les lèvres:

"Tu fera attention j’entends ton coeur juste qu'ici Kei-chan. Je pourrais te taquiné autant de fois que je pourrais ma petite Kei, tu me connais je suis bornée."

Faire attention à quoi ?! C'était de sa faute tout ça! C'est lui, et lui seul qui provoquait de telles réactions corporelles! Borné? Oh oui il l'était. Mais elle l'était aussi! Et en ce moment, elle était plus en mesure d'agir que lui. Ses seules possibilités se limitaient à des taquineries de harceleur sexuel alors qu'elle avait le champ libre pour agir. Rien de l'entravait.

- "Je suis bornée aussi tu sais ? Et moi j'ai les mains libres!"

Aussitôt évoqué, aussi fait. La demoiselle posa ses deux mains sur le torse du jeune homme. Lui aussi avait le corps chaud et les battements de son coeur n'étaient pas discrets non plus. Ils étaient un peu tout les deux à la même enseigne sauf que lui était moins gêné qu'elle. Elle utilisa l'appui sur la poitrine de l'homme pour se redresser et le repousser. Une fois assise, sa main se posa sur sa tête. Elle avait chaud et sa vue se troubla légèrement. Et ce à cause de lui! La glace commençait doucement à fondre. Malgré ça, elle regarda Kaen avec une lueur de défi dans les yeux:

- "Comment comptes tu t'y prendre pour me faire payer si je venais à geler une autre partie de ton corps?" Elle reposa sa main libre sur le torse du garçon. "Là par exemple ?"

Bien entendu c'était du bluff. Elle n'était plus en état de faire quoi que ce soit afin de l'entraver. Il avait du s'en rendre compte mais il n'avait encore rien fait. Attendait il que la glace fonde totalement ? Probablement que oui.

- "Je suis bornée aussi tu sais ? Et moi j'ai les mains libres!"

Suite a ses paroles elle mit ses deux mains sur mon torse pour me poussé pour se mettre assise, pendant un instant je remarque que Kei eu un vertige, la chaleur ferait-il déjà effets ? Je me souviens qu'elle avait réagi quand je l'avais embrassé a l'auberge, je pense que c'est ce qu'il la fait surchauffer le plus.

- "Comment comptes tu t'y prendre pour me faire payer si je venais à geler une autre partie de ton corps?" Elle reposa sa main libre sur le torse du garçon. "Là par exemple ?"

- Essaye plus bas Kei-chan, mais a tes risque et péril. Dis-je avec un petit sourire satisfait de ma réponse.

Maintenant je devais continué a réchauffé la demoiselle pour être libre de mes mouvements. Donc j'avais prévue de faire la même chose qu'a l'auberge, mais aucune excuse cette fois-ci. Je l'embrasse sans quelle n'est le temps de réagir, ne la quittant pas des yeux je fais en sorte qu'il soit intense pour qu'elle réagit encore plus a ce coup bas. Une fois satisfait de ses lèvres je retire les miennes doucement, un petit filet de bave détache nos lèvres, je n'étais pas allers avec le dos de la cuillère cette fois. Sans perdre de temps, je saisie le haut de sa chemise avec les dent pour lui défaire son haut, Kei avait maintenant la chemise ouverte juste qu'au ventre et le soutien-gorge noir de la Zenshi bien visible.

- Le noir te va bien Kei-chan, mais je te l'avais déjà dis auparavant, je préfère les femme nue. Dis-je avec un sourire en regardant son soutien-gorge.

Dans nos tenue actuelle, si quelqu'un entre je pense qu'on aurait aucune excuse, je ne devrais pas être la et encore moins a moitié déshabillé sur une jeune demoiselle qui elle aussi est a moitié déshabillé. A vrai dire je ne pensé pas trop a l'intervention de quelqu'un d'autre dans la chambre, je m'amusais trop a taquiner ma cher Kei dans sa belle tenue de la Zenshi.

"Essaye plus bas Kei-chan, mais a tes risque et péril. "

Avait il dit avec un sourire taquin aux lèvres. Qu'entendait il par là ? Elle ne comprit pas tout de suite à quoi il faisait allusion. Son regard interrogateur du amuser son camarade. La jeune fille regarda son partenaire de haut en bas, du moins d'où se trouvait sa main et baissa son regard jusqu'à son ventre d'abord. Impossible que ça soit à cet endroit. Elle descendit alors encore et le rouge s'empara instantanément de ses joues lorsqu'elle comprit enfin. Il parlait de cet endroit là. Quel pervers, celui là! Elle était prête à lui balancer qu'il n'était qu'un pervers qui ne pensait qu'à ça mais elle n'eut le temps de prononcer qu'un "Tu n'es qu'un...". Le brun avait pris les devant en l'embrassant à pleine bouche contrairement à ce qui s'était passé à l'auberge où le baiser n'avait duré qu'une seconde. Kei avait les yeux écarquillaient et était sous le choc. Elle ne put que le laisser faire. Ses joues étaient en feu, son coeur battant à tout rompre, elle voulut le repousser, faire cesser la torture qu'il lui faisait subir mais impossible. Ses forces l'avaient abandonné..

Il retira ses lèvres au bout d'un moment qui paru être une éternité pour l'élémental et ce fut un léger filet de bave commune qui mis définitivement fin au baiser. Kaen ne lui laissa aucun répit. La tête du jeune homme se dirigea vers sa poitrine. Qu'est-ce qu'il préparait encore ?! Saisissant sa chemise avec ses dents il lui ouvrit tout ses boutons d'un coup dévoilant ainsi son sous vêtement. Instinctivement et par réflexe elle cacha sa poitrine avec ses mains. En prenant bien soin de se rincer l’œil sur sa poitrine, le brun prononça:

"Le noir te va bien Kei-chan, mais je te l'avais déjà dis auparavant, je préfère les femme nue."

Elle rougissait encore un peu plus. Il lui faisait un compliment mais elle ne devrait pas le retenir comme telle. Il profitait purement et simplement de sa faiblesse d'être une femme! Et il en rajoutait en plus! Il préférait les femmes nues.. Il n'avait pas l'intention de la déshabiller complètement quand même ?! Elle plongea son regard, où la gêne s'y lisait comme le nez au milieu de la figure, dans le sien:

- "Tu n'es qu'un pervers Kaen-kun.."

Kei posa son front contre le cou du jeune homme. Son corps était brûlant et par conséquent la glace aux poignets du brun fondit quasiment instantanément. Ses forces et sa fougue passées s'étaient envolées. Elle haïssait être dans un tel état de faiblesse. Surtout face à lui qui se plaisait tant à la torturer! D'une voix faible elle murmura:

- "J'ai chaud .. Kaen."

Elle ferma les yeux s'attendant au pire. Il n'allait surement pas s'arrêter alors qu'elle était à sa merci..

- "Tu n'es qu'un pervers Kaen-kun.."

Dis-elle en posant sa tête dans mon cou, cette action m'avait surpris sur le moment je m'attendais pas a quels met sa tête contre mon cou. Mes joues change de couleur en un beau rouge, les yeux grand ouvert surpris par cette action. Mes mains était enfin libre, j'avais encore les même froide, j'arrivais a peine a les bouger comme bon me semble.

- "J'ai chaud .. Kaen."

Je pouvais sentir quels avait chaud, a la base c'est une élémentaliste de glace, mais on aurait une de feu actuellement. Mes mains encore froide une idée me traverse l'esprit. Je mis mes deux mains sur les cuisses de Kei au niveau du genou puis je remonte prés de ''l'entré du jardin'' en glissant sur ses cuisses. La regardant je vis bien qu'elle avait trop chaud, je lui retire sa chemise pour laissé son corps en sueur respiré. Inutile de retiré la jupe, elle ne cachais rien et elle ne tient pas chaud. C'est sûr maintenant, si quelqu'un entre on est fichu, aucune excuse pour la situation. Mais étrangement j'étais attiré par des pulsions, le corps de Kei dans cette êtat semblait m'affecté autant qu'elle.

- Je te fais autant d'effet ma belle ? Dis-je en rigolant légèrement.

Quand un bruit venu de la porte, plusieurs coup et le crie d'une femme qu'hurle a travers la porte.

- Kei Hynawa, ouvrez la porte !!!

Et mince, elle était deja la ! Vu l'êtat de Kei, impossible qu'elle puisse bougé dans son êtat. Je recherche une solution, puis je vois un casier assez grand et large pour nous cacher devant, je fonce sans me préoccuper des vêtements qu'on laisse par terre. A peine dans le casier que la porte de la chambre fût enfoncé, on pouvait entendre crié dans tout les sens Kei, puis elle observe les lieux, elle semblait devinez que j'étais la, a l'odeur d’après elle. Le casier n'était pas si large que sa, on était collé l'un contre l'autre. Kei était a chevale sur l'une de mes jambe et tiré ma chemise toujours avec une tête affaiblie par la chaleur. Mon corps réagi comme dis certaine personne, mon deuxieme cerveau ce met en marche, la situation deviens un peu gênante. Une fois la femme partie, je sors du casier avec Kei, de l'air fraie fait le plus grand bien, Kei était devenu un chauffage mobile.
Pour lui faire reprendre un peu ses esprits je pose ma bouche dans son cou pour lui faire un suçon, histoire de lui donné un beau frisson.
Je pense que mes pulsions commence a prendre légèrement le déçu mon corps avait envie de faire des choses qu'il ne fallait pas faire dans une genre d'étudiant.

Le jeune homme eut comme un léger sursaut lorsqu'elle laissa tomber sa tête contre son cou. Elle ne pouvait voir si il rougissait ou non mais les battements de son coeur augmentèrent légèrement. La demoiselle était littéralement en train de mourir de chaud: tout son corps était brûlant et son organe vital continuait son concert. Elle avait fermé les yeux après s'être plaint à l'étudiant masculin, tentant de calmer tout cela, sans succès. C'était même pire avec la proximité de ce dernier, même si, comparée à elle, son corps était tiède. Elle sentit malgré tout le regard de Kaen sur elle. Il posa ses mains glacées juste au dessus de ses genoux avant de remonter le long de ses cuisses. Un frisson la parcourut suite à ce contact mais il lui fit du bien. Sentir du froid sur sa peau la rafraichit un peu. Mais ça ne suffisait pas à la remettre sur pied. Le jeune homme retira la chemise de l'élémental. Ce vêtement en moins ne changea rien pour elle. La chaleur était toujours aussi oppressante. Vêtue uniquement de son soutien gorge face au jeune garçon, si quelqu'un venait à entrer à ce moment précis, c'était foutu pour les deux étudiants. Le brun prononça dans un petit rire :

"Je te fais autant d'effet ma belle ?"

La lucidité de la belle commençait à lui faire défaut. Elle avait entendu les paroles du garçon mais eut pas la force d'en rajouter. Elle lui donna juste un coup de poing contre le torse qui n'en était pas un vu la force qu'elle avait utilisé. Une voix étrangère à la demoiselle et colérique se fit entendre:

"Kei Hynawa, ouvrez la porte !!! "

Le coeur de Kaen se mit à battre plus vite qu'auparavant. C'était mauvais pour eux mais elle était incapable de bouger. Le brun les cacha dans le casier qui lui servait de penderie. A peine la porte de celle ci refermée, celle de la chambre fut enfoncée. Enfin c'est ce qu'elle pensait. Un bruit sourd c'était juste fait entendre. La femme à qui appartenait la voix ne faisait qu'hurler son nom.. La position dans laquelle ils se trouvaient n'était pas des plus confortables. L'élémental était à cheval sur une de ses jambes, une main agrippant sur la chemise du garçon et la tête contre son torse. La chaleur n'était que plus présente dans ce lieu étroit. Le moindre bruit pourrait être entendu par la surveillante. La demoiselle rougit encore un peu en sentant une "bosse" au niveau de son ventre. Et il avait osé la taquiner sur l'effet qui lui produisait ?! Il était pas mieux! Elle murmura de sorte que seul lui puisse l'entendre un baka.

Une fois la surveillante hors de la chambre, Kaen les fit sortirent de leurs cachette. Il la soutient et l'air de la chambre, qui était moins oppressant que celui dans le casier, lui fut agréable. Elle tenta d'atteindre son lit mais le brun ne l'entendit pas ainsi. Il la maintenait toujours et posa ses lèvres dans son cou où il déposa un suçon. Elle frissonna instantanément à ce contact. Mais sa chaleur corporelle ne baissa pas pour autant, elle augmenta même encore un peu. Les jambes de l'élémental se dérobèrent lorsqu'il la lâcha enfin et elle l'entraina dans sa chute. Kei se tourna vers le brun. Sa tête était rougit par la chaleur et la fièvre dont elle souffrait. Posant sa main droite sur la joue du garçon, elle plongea ses pupilles dorées dans celles du brun avant de lui murmurer sur un ton quasi suppliant:

- "Kaen.. Embrasses moi.."

La demoiselle avait perdu toute sa lucidité à cause de la fièvre et ne savait plus ce qu'elle disait ou pensait.

Pendant qu'on était caché j'avais cru entendre un mot qui venait de la bouche de Kei, assez faible pour ne pas être entendre par la surveillante, mais assez pour que je puisse l'entendre, un simple ''idiot''. Une fois sorti, l'air fraie fessait du bien sur le visage, Kei m'avait donné chaud, très chaud. Assis par terre, les bras en arrière pour faire appuie, une main brûlante venu me touché le visage et les mots qui suivi était encore plus étonnant.

- "Kaen.. Embrasses moi.."

Elle dit ses mots en me regardant dans les yeux, je ne m'attendais pas a une demande pareil. Mon visage avait changé de couleur en une fraction de seconde. Les yeux grand ouvert a cause de la demande un peu surprenante de Kei et de mes joues rouge par le coup coeur de son visage qui semblait si affaiblie. Je pense qu'elle avait eu sa première vrai réaction et elle n'était peut-être même pas consciente. Mon corps réagit de lui même, poussé surement par une pulsion, restant en appuie sur une main pour ne pas tombé en arrière, ma deuxième fini sur le visage de la demoiselle pour la guidé juste qu'a mes lèvres, une fois celle-ci en contacte on pouvait sentir qu'il n'avait rien a voir avec celui a l'auberge ou celui de tout a l'heure. Peut-être parce que Kei il met du sien dans celui la, je ne pourrais le dire. Dans une telle situation qu'est qu'on peut se dire ? Je suis en train d'embrassé une fille a moitié nue et je ne suis pas sur qu'elle soit consciente de ses actes. Mon coeur semble accélérer petit a petit, le corps de Kei est assez mature pour me faire réagir, mes mains me démange de lui retiré ceux qu'il lui reste, mais je ne suis pas un profiteur, a moins qu'elle les enlevé elle-même je n'irais pas lui enlevé, mais entre pensé et faire il y a un gouffre, l'une de mes mains lui retire délicatement sa jupe, sa ne change rien, mais la voila maintenant complètement en sous vêtements, a côté d'elle je suis encore un peu habillé, la chemise sur les épaules, même s'il elle est ouverte elle reste sur mes épaules, et mon pantalon est encore la lui aussi. Apres c'être embrassé pendant un long moment, nos lèvres se sépare a nouveau, je laisse mes yeux se perdre dans les siens, je n'ai pas pas la force de dire un mot, c'est comme si elle m'avait volé ma langue pendant qu'on s'embrassé. Je réussi a sortir quels que mot simplet, un compliment dans un sens.

- Tu te débrouille plutôt bien Kei-chan.

Nous voila maintenant a nous regarder, je ne pense pas que c'être embrassé intensément allez arrangé les choses, qui sait ce qu'elle allait faire dans son état maintenant.

Les joues du garçon prirent la même teinte que celles de Kei et dans ses yeux se lisaient l'étonnement suite à sa demande. Pendant quelques secondes le silence s'installa. Allait il répondre à sa drôle requête ? Elle s'apprêtait à détourner le regard lorsque la main tiède de Kaen se posa sur sa joue. De cette manière il guida ses lèvres vers les siennes. Leurs visages étaient de plus en plus proche et leurs lèvres finirent par se trouver. Le baiser fut doux et agréable. Du moins du point de vue de la jeune fille qui avait fermé les yeux. Aucune comparaison était possible avec celui de tout à l'heure ou d'hier à l'auberge. Peut être parce que les deux jeunes gens en avaient envie, tout les deux, au même instant. Leurs langues jouaient au chat et à la souris gentiment, elles se cherchaient, s'échappaient et se touchaient. L'élémental, durant ce moment particulier, ressentit quelque d'étrange au niveau de son estomac mais préféra l'ignorer pour "savourer" l'instant. La main libre du garçon s'égara du côté de sa jupe qu'il retira sans brusqueries.

Leurs lèvres se séparèrent et il plongea ses yeux rouges sang dans le dorée des siens. Les mots semblaient être devenus inutile après ce moment intime. La jeune fille ne disait rien. La sensation à son ventre était toujours présente. Sa main caressa doucement la joue du garçon qui se décida à rompre le silence en la complimentant d'une certaine manière:

"Tu te débrouille plutôt bien Kei-chan."

Si elle avait pu rougir encore plus, elle l'aurait fait. Il n'était plus question de gêne à présent. Du moins, elle n'avait plus la lucidité pour y prêter attention. L'étudiante s'approcha de son homologue masculin. Lui avait toujours sa chemise sur ses épaules alors qu'elle se retrouvait en sous vêtement. Mais elle s'en fichait: le contact frais du sol sur sa peau brûlante lui faisait le plus grand bien. L'élémental s'installa sur les genoux du garçon, non pas de face ou de dos, mais plutôt de profil. Le garçon pouvait ainsi juger, dans une certaine mesure, l'effet qu'il avait prodigué à la demoiselle de glace. La main de cette dernière, auparavant sur la joue du brun descendit jusqu'à ses lèvres où son regard s'attarda également. Elle osa y re-déposer ses lèvres avant de les descendre à la base de son cou, tout en retirant la chemise du jeune homme. Dans un premier temps elle se contenta de petits baisers puis, dans un éclair de lucidité, elle se souvient qu'il l'avait déjà marqué à deux reprises. Par conséquent, elle lui rendit l'appareil avec un suçon beaucoup moins réussis que les siens. Après sa "vengeance", sa tête se posa sagement contre le cou de l'étudiant masculin et sa main gauche sur son pectorale droit en murmurant un "j'ai chaud".

Le temps semblait s'être arrêté pour les deux pseudos adolescents. Cependant tout à coup, la demoiselle se mit à trembler. Non pas de peur ou de froid, ces tremblements s'approchaient plutôt des sanglots. Des gouttes salées commençaient à perler aux coins de ses yeux dorées, et sa main qui était posée à plat sur le torse du garçon se serra. Sa réaction pouvait être assimilé à un enfant plongé en plein cauchemar. Les sanglots redoublèrent d'intensité mais elle ne laissa pas le brun voir ses larmes en cachant sa tête un peu plus dans son cou. Les mots qu'elle murmura étaient entrecoupés de sanglots:

- "Restes av.. avec moi.. Kaen.. Ne me laisses pas tou... toute seule... s'il te.. plait"

Quelques larmes atterrirent sur le torse du garçon. Ce dernier ne devait plus trop savoir quoi faire face à tant de faiblesse de la part de sa camarade. Il finit cependant par la rassurer avec des mots gentils et la calmer en se balançant de gauche à droite comme pour la bercer. La jeune fille, qui était épuisée à cause de la fièvre de son corps et de ce qui s'était passé, se laissa aller contre lui et ferma les yeux. Quelques minutes suffirent pour faire cesser ses pleurs. Sa main se desserra et elle sombra, apaisée, au pays des rêves dans les bras de son doux tortionnaire.

- "Restes av.. avec moi.. Kaen.. Ne me laisses pas tou... toute seule... s'il te.. plait"

On aurait dit qu'elle pleurait, les coupures dans les phrases et d'autre signe qui ne trompe pas. Je fis comme je peut pour la calmé, et mes efforts fut récompensé la jeune demoiselle s'était endormir sur mes genoux appuyer contre mon torse et la tête dans mon cou. Je mis une main sur sa tête pour lui caressé la tête comme si je m'occupé d'un enfant. Apres être resté un moment dans cette position, mon regard avait fixé pendant tout ce temps la fenêtre, je pensais a plusieurs chose, mais j'avais décidé de partir, j'étais dans un lieu ou je ne dois pas être. Je me lève en portant Kei, je me dirige vers le lit pour la déposé délicatement sans la réveiller. Puis je prend de quoi écrire pour lui laissé un message, je n'allais pas partir comme sa puis j'étais venu pour une raison précise au début. Dans le message on pouvait lire ''Je t'attendrais dans les Jardins vers 22 heures, n'oublie pas de me rendre mon bien, cordialement Kaen''. Je plie en quatre le papier puis je le glisse dans le soutien-gorge de la demoiselle, au moins je sais qu'elle ne le perdra pas ici. Je remet ma chemise tranquillement quand j'entend quelqu'un courir, et le bruit se rapproche. Je craint le pire et je saisi toute mes affaires rapidement, je cherche ma cravate quand je vois que c'est Kei qui l'avais entre les mains, je me dirige vers elle pour la récupéré quand la porte s'ouvrir soudainement. Le bruit réveille un peu Kei qui se rendormi sur le champs. Je me retourne vers la porte et je vois la surveillante de tout a l'heure armé d'un sabre, et ce n'est pas un faux.

- Je t'ai trouvé sale gosse ! Règlement intérieure, page 4. Deux élève de sexe opposé n'ont pas le droit d'être dans les chambre.

J'ouvre la fenêtre et je saute pour m'enfuir, mais la surveillante reste collante et saute aussi. Dans la chute elle sort même son sabre de son fourreau, elle a l'intention de s'en servir ? Elle a droit ? J'utilise l'épée que j'ai pour me défendre, mais je ne tente pas de gagné mais de fuir. Apres plusieurs heure de poursuite je réussi a semé cette surveillante collante, je décide d'allers mangé un morceau avant de me rendre au point de rendez que j'avais fixé a Kei. Une fois la bas, j'attend tranquillement sur un banc a regardé les étoiles qu'avait déjà montré le bout de leur nez.

Endormie, la demoiselle ne se rendit pas compte de ce qui se passait autour d'elle. Elle avait cependant perçu la main du garçon dans ses cheveux lorsque son sommeil était qu'à son début. Plus le temps passait et plus il serait difficile de la réveiller. Il la souleva et la déposa doucement sur le lit sans même la faire sortir des bras de Morphée. Inconsciemment, un frisson la parcourut lorsque le jeune homme glissa quelque chose dans son soutien gorge. L'élemental tenait dans sa main la cravate et n'avait pas l'intention de la lâcher. Pour preuve, lorsqu'elle sentit qu'on essayait de l'en séparer, elle ne fit que la serrer un peu plus fortement contre elle.

La porte de sa chambre s'ouvrit dans un fracas et une voix hurla:

"Je t'ai trouvé sale gosse ! Règlement intérieure, page 4. Deux élève de sexe opposé n'ont pas le droit d'être dans les chambre. "

Kei ouvrit un œil pour le refermer aussitôt et s'était retourné, tournant le dos ainsi aux deux individus dans la pièce. Une fois le calme revenu, elle se rendormit complètement et ceux pour quelques heures. La belle au bois dormant sortit totalement de ses songes vers 18 heures. Elle avait largement rattrapé sa nuit dernière. Sa jupe était sur le sol, sa chemise sur son lit et elle tenait une cravate dans sa main. Qu'est-ce qui s'était passé ?! Elle se rappelait que Kaen était venu, qu'ils avaient commencé à "jouer", qu'elle lui avait gelé les mains et qu'il avait pu profiter d'une belle vue. La suite lui était inconnue. Un léger frisson la parcourut une nouvelle fois et sa poitrine la démangea un peu. L'étudiante était carrément en sous vêtement et sa fenêtre était ouverte! Mais qu'est ce qui s'était passé ?! Il fallait qu'elle retrouve Kaen pour lui demander! Là où ça lui grattait, elle sortit un petit papier plié. Elle le déplia et constata que c'était de la part du brun justement. Tiens quand on parle du loup!

"Je t'attendrais dans les Jardins vers 22 heures, n'oublie pas de me rendre mon bien, cordialement Kaen"

Jardin à 22h ? Elle y serait. Par contre méritait il qu'elle lui rende ce qu'il voulait ? Elle l'apporterait tout de même. Les réponses à ces trous noirs se trouveront là bas. Kei s'habilla légèrement: un short en jean et un débardeur rouge. Pendant qu'elle couvrait ses sous vêtements quelques flashs lui revinrent en mémoire. Une proximité hors norme dans un lieu confiné. Un corps brûlant. Des larmes. De la douceur. Elle s'inquiéta de ce qui s'était vraiment passé...

21h45. Elle sortit de sa chambre pour se rendre au lieu de rendez vous. Elle avait pris avec elle, la cravate du brun qu'elle avait noué à son poignet et son arme favorite dérobée cette nuit. Le ciel s'était assombrit et la fraicheur régnait. Du frais. Qu'est-ce qu'elle appréciait.. On pouvait entendre les bruits de certains insectes. A part ça tout était calme. Une ombre était assise sur un banc. Était ce Kaen ? L'élémental s'approcha tranquillement et effectivement c'était lui. Il regardait les étoiles ?! On dirait un romantique. Elle sourit à cette idée. La jeune fille s'installa à côté de lui et posa son arme sur les genoux de l'étudiant. Lorsqu'il tourna la tête vers elle, leur regard se croisèrent et un autre flash lui revint. Une demande de baiser! Lui avait elle vraiment demandé ça ?!! Ses joues durent virer un peu au rouge, mais la noirceur de la nuit cacha un peu ses rougeurs.

- "Voilà ton arme Kaen." Elle hésita un peu avant de continuer "Qu'est-ce qui s'est passé tout à l'heure?"

Kei craignait un peu la réponse du brun. Mais au moins elle aurait des réponses claires.

Les étoiles étaient plutôt agréable a regardé ce soir, quand soudainement un poids venu subitement sur mes genou. Je regarde mes genou, aussi content qu'un enfant ouvrant son cadeau je saisie mon épée manquante, le l'ouvre légèrement pour voir l’état de la lame, on se sait jamais.

- "Voilà ton arme Kaen."

Content de voir qu'elle avait bien vu le mot, et qu'elle avait pensé a ramené ce que je lui avait demandé je lui souris chaleureusement, puis juste après je me lève du banc avec un petit bond. Quand j'étais debout tranquillement en train de regardé les étoiles avec une tête d'un homme heureux, la demoiselle pose une question un peu étrange, avait tel tout oublié ? Expliqué serait un peu compliqué. Je me retourne avec les joue légèrement rouge, on pouvait accusé le froid, mais bon cela serait mentir, lui dire comme cela était un peu gênant.

- Qu'est-ce qui s'est passé tout à l'heure?

- Je peut t'assurer que tu n'a aucune chance d'être enceinte. Dis-je avec un petit rire.

Je voulais naturellement lui dire qu'aucune pratique sexuelle n'avait eu lieu, je décide de lui racontez en détaille qu'est qui c'est passé dans sa chambre, tel que la demande de l'embrassé, quels soit en sous-vêtements puis qu'elle c'est endormi sur mes genous, enfin bon je dis tout les détails qu'elle voulait entendre, je ne précise pas que j'étais celui qui lui avait enlevé la jupe, je ne dis pas que c'est elle, ni moi, je ne fais que évité de le préciser on va dire. Pou l'aider a se souvenir je tente une approche un peu malsaine, toujours assise sur le banc, je m'approche d'elle puis me plie pour venir l'embrassé, je m'aide de ma main droite pour lui relevé le menton pour facilité les choses.

- Tu devrais t'en souvenir maintenant .. Kei-chan. Dis-je en lui tirant légèrement la langue.

Kaen ne l'avait pas entendu arrivé puisqu'il sursauta légèrement lorsqu'elle posa son arme sur ses genoux. Son regard pétillait et il semblait heureux comme un enfant qui venait d'ouvrir son cadeau de Noël. Cette épée comptait autant pour lui ? Il alla jusqu'à la sortir de son fourreau. Il ne lui faisait pas confiance ?! Elle n'allait pas s'amuser avec l'arme ni l'abimer. Le jeune homme se tourna vers elle et lui sourit chaleureusement. La demoiselle rougit légèrement. C'était bien la première fois qu'elle le voyait sourire. Enfin, un vrai sourire égayant son visage pas un sourire taquin de pervers. Il se leva d'un bond, tout content. C'était étrange de le voir ainsi. Vraiment.

Il se tourna vers elle après son interrogation. Ses joues s'étaient teinte de rouge. Était ce le froid ? Les humains étaient généralement sensible à celui ci. Il lui répondit en riant légèrement:

" Je peut t'assurer que tu n'a aucune chance d'être enceinte."

La manière dont il avait dit la chose ne lui avait pas particulièrement plu. Cependant, ça la rassurait. Ils n'avaient pas fait de "bêtises". Puis il lui raconta en détail ce qui s'était passé tout à l'heure: la demande de baiser, le baiser en lui même, qu'elle s'était retrouvée en sous vêtement et qu'elle avait fini par s'endormir sur ses genoux. Au fur et à mesure qu'il lui parlait, ses souvenirs revenaient. L'élémental se rappela de l'horrible chaleur qu'elle avait ressentit et en frissonna. Elle cessa ses rêveries lorsque le brun se pencha vers elle. Il releva son visage en tenant son menton de la main droite, l'obligeant ainsi à le regarder. L'étudiant posa ses lèvres contre les siennes. Il les sépara bien vite puis il tira la langue en prononçant:

"Tu devrais t'en souvenir maintenant .. Kei-chan"

Oui.. Elle s'en souvenait à présent. Et le petit quelque chose à son estomac avait refait surface. Elle rougit légèrement et tourna la tête à l'opposé du brun:

- "Oui je m'en souviens maintenant.. Mais t'avais pas besoin de me le démontrer! "

Elle planta cependant ses pupilles dorées dans celles écarlates du brun à l'énonciation de sa seconde phrase. La jeune femme constata qu'il était marqué à son tour. C'était elle qui lui avait fait ? Kei s'en étonna elle même, et s'en voulait un peu. C'était de sa faute si le brun avait déboulé dans sa chambre et s'était fait surprendre à l'intérieur. Tout ça à cause d'une "vengeance". Et avec ce qu'elle lui avait fait "vivre", elle se sentait plutôt honteuse même si c'était Kaen qui avait commencé. Elle baissa alors un peu la tête, échappant ainsi au regard de son compère et murmura:

- "Je suis désolée... Ça n'a pas du être amusant tout à l'heure..."

Elle resta vague sur le pourquoi de sa demande de pardon. Le brun pouvait donc l'interpréter comme il le souhaitait et pour ce qu'il voulait. Mais la jeune fille tenait à lui dire qu'elle s'en voulait un peu.

- "Oui je m'en souviens maintenant.. Mais t'avais pas besoin de me le démontrer! "

- Disons que j'ai pris gout a tes lèvres. Dis-je avec le sourire.

J'était plutôt de bonne humeur, surement a cause de l'épée que j'avais retrouvé saint et sauve dans mes mains. Mais une autre sensation de bien être était présente, elle semblait être du a la présence de Kei, je ne pouvais pas être amoureux quand même, cela ne fait que deux jours qu'on c'est rencontré au Casino, même si on a vécu d'étrange situation, même plus qu'étrange un coup de foudre serait possible ? Je n'étais sûr de rien, comment le savoir ? Ou c'étais seulement que je me sentais bien et simplement bien quand elle est avec moi ? Cela me changeais de la méfiance permanente des autres étudiant, enseignant ou surveillant a mon égard. Puis la jeune demoiselle dis quelque chose en s'excusant.

- "Je suis désolée... Ça n'a pas du être amusant tout à l'heure..."

Je dis mes pensés a voix haute sur le moment, mais en chuchotant.

- Si tu savais comment j'ai du me retenir.

Puis je dis a haute voix pour lui répondre.

- Ce n'est pas grave, je n'ai pas passer une aussi mauvaise soirée, un peu spécial, mais je ne regrette pas. Dis-je avec un sourire sincère pour une fois.

Bon maintenant que j'avais récupéré mon épée je pouvais filez a n'importe quels moment, mais je n'allais pas la laissé ici bêtement et vu dans l'état d'esprit de confusion quels est je devrais mieux l'invité a venir boire quelque chose dans l'une des tavernes de Valkar ou tout simplement dans ma chambre, j'avais de quoi faire dans un petit frigo que j'avais ramené de mon côté. Je lui propose ma main pour l'aider a ce levé tout en lui disant ma proposition.

- Je t'invite a boire un verre Kei-chan, je connais un endroit sympathique et tranquille.

Je lui précise qu'il s'agit de ma chambre, ce n'est pas de l'alcool et que je n'ai aucune idée bizarre derrière la tête a l’emmené la-bas, puis je refais allusion a la demande qu'elle m'avait fait dans sa chambre en lui disant sauf si elle me le redemande encore lui dis-je pour la taquiner.

Le jeune homme continuait à la taquiner. Il disait avoir pris goût à ses lèvres. Il se fichait d'elle encore! Elle fit la moue avec une mine boudeuse. Il n'y avait rien d'amusant à jouer avec elle à ce niveau là. Cependant Kaen semblait heureux. Probablement du au fait qu'il avait retrouvé son épée. Elle était si importante que ça pour lui ? Kei aimerait l'interroger à ce sujet. Mais elle fut prise de remords quant à la tournure des évènements de tout à l'heure. La jeune fille s'excusa donc en baissant la tête. Il sortit une phrase en d'abord en chuchotant puis à voix haute:

"Si tu savais comment j'ai du me retenir. Ce n'est pas grave, je n'ai pas passer une aussi mauvaise soirée, un peu spécial, mais je ne regrette pas. "

Il était sincère. Son sourire le traduisait. Il avait su se retenir et elle lui en était reconnaissante. Sinon elle n'osait pas imaginer ce qui se serait passé si il n'en avait pas été capable... Il ne lui tient pas rigueur également de son comportement passé. Au contraire, il ne regrettait pas ce qui s'était passé. L'élémental ne savait pas trop comment prendre ça mais n'y porta pas plus attention que ça à cette remarque.

L'étudiant lui tendit sa main pour l'aider à se relever tout en prononçant sa proposition:

"Je t'invite a boire un verre Kei-chan, je connais un endroit sympathique et tranquille."

Elle la saisit et se releva alors qu'il lui précisait que ça serait dans sa chambre, qu'il ne lui servirait pas d'alcool et qu'il n'avait aucune idée mal tourné en tête. Ça elle en doutait un peu vu comment il l'avait embêté les fois précédentes. Le fait de se rendre dans la chambre du garçon la gêna un peu. La même scène que tout à l'heure pouvait tout à fait se reproduire. Et si ils se faisaient prendre par un surveillant, ils seraient vraiment dans le pétrin. Cependant elle accepta sa proposition:

- "Je te suis mais je te préviens t'as pas intérêt à me servir de l'alcool!"

Elle le poussa gentiment pour le taquiner alors que lui continuer en lui disant que sauf si elle lui demandait un baiser il ne ferai rien. Quelque peu gênée, elle répliqua de suite:

- "Comme si j'allais te redemander ça!"

Du moins c'est ce que son esprit lui disait. Qui sait comment son corps réagirait une fois dans un lieu confiné et seul à seul avec lui. Qui aurait raison: le corps ou l'esprit ?

Ils commencèrent à marcher. Elle marcha à ses côtés et le silence régnait. Seul le bruit des animaux nocturnes et du vent se faisaient entendre. C'était agréable et ça lui plaisait. Étrangement, être avec le brun ne lui déplaisait pas non plus. Les deux étudiants arrivèrent dans le hall du bâtiment. A partir de là, la jeune fille laissa le garçon prendre les devants pour les emmener à sa chambre. Elle rompit le silence pour lui poser la question qui lui avait brulé les lèvres tout à l'heure:

- "Pourquoi tes épées ont l'air si importante à tes yeux ?"