Des retrouvailles mouvementé. PV Kei

- "Je te suis mais je te préviens t'as pas intérêt à me servir de l'alcool!"

- Si j'avais voulut profiter de toi, je l'aurais fait depuis longtemps ma petite Kei-chan.

Je remet encore sur le tapis l'accident de tout a l'heure, cette atout majeur était maintenant de mon côté, je pouvais lui rappelez pour la taquiner a n'importe quels moment. Suite a ma deuxième phrase a se sujet elle me répondit qu'elle n'allait pas le redemander, mais j'avais un doute, si elle l'avait demander une fois pourquoi pas une deuxième fois ? Nous avions commencer a marché en direction de ma chambre, une fois de le hall Kei me pose une question qui devait être posé au bout d'un moment, j'étais mentalement prêt a répondre a cette question.

- "Pourquoi tes épées ont l'air si importante à tes yeux ?"

- Ces deux épées on étaient forgé par mon père, puis donné par ma mère avant de rejoindre l'académie.

Un flash d’évènement dans la forêt, mon dos qui me fessait mal, je devais arrêté de revoir ses image horrible dans ma tête, je respire un bon coup avant de reprendre la marche et continuer a raconter les fait.

- Tu as surement entendu une rumeur a mon sujet, ''le démon de la forêt'' ou autre surnom que les gens s'amuse a inventé. Je haie ma propre race plus que les autres. Cela peut te sembler absurde, mes ses deux épées sont un peu une partie de mes parents qui mon laisser avant de ''partir''.

Une fois arrivé devant ma porte je l'ouvre avec ma clef, une fois dedans je pouvais voir Kyu, un camarade un peu spécial. Il s'agit d'un genre de démon mi-humain mi-renard, il n'était pas distant avec moi, mais il aimait bien squatter ma chambre, cela me dérange pas beaucoup, il me donner souvent des informations, toujours celle que je voulais savoir. Quand il vu que j'était pas tout seul il se leva, me fit un sourire en me glissant un mot dans la main et partie tranquille en fessait signe a Kei de la main avec un sourire. C'est lui d'ailleurs qui m'avait permis de retrouver Kei dans l'institue.

- Je t'en pris Kei entre, ''met toi a l'aise''.

Je met encore cette histoire sur le tapis, quand je disais ''met toi a l'aise'' j'entend dire qu'elle ce met pas en sous vêtement cette fois-ci, enfin même si cela me dérangerais pas pour autant. J'avance vers le mini frigo pour saisir deux brique de jus fraie, je vais m’assoie sur mon lit en laissant la brique de Kei a côté de moi et en ouvrant la mienne. Je fixe Kei avec un air comme si j'avais les idées ailleurs, je me rendais même pas compte que je la fixer d'un peu partout, nos yeux fini par ce croiser et l'image de la demoiselle dans sa chambre me revenu en tête. Les joue change de couleur et je détourne le regard en buvant mon jus.

- Sinon Kei-chan, si tu me disais comment tu tes retrouver dans un Casino a l'autre bout du monde ?

Si il avait voulu profiter d'elle il l'aurait fait ?! Pensait il vraiment qu'elle l'aurait laissé faire ?! Mais il n'avait pas tout à fait tort.. Si il avait voulu abuser d'elle il aurait pu le faire tout à l'heure. Elle ne savait pas pourquoi mais elle se doutait qu'il utiliserai encore ce qui s'était passé il y a à peine quelque heures pour la taquiner. La jeune fille retint un soupire avant de l'interroger sur son affection pour ses deux épées. Bizarrement, il lui répondit sans trop de réticence alors qu'ils se dirigeaient vers sa chambre:

"Ces deux épées on étaient forgé par mon père, puis donné par ma mère avant de rejoindre l'académie. Tu as surement entendu une rumeur a mon sujet, ''le démon de la forêt'' ou autre surnom que les gens s'amuse a inventé. Je haie ma propre race plus que les autres. Cela peut te sembler absurde, mes ses deux épées sont un peu une partie de mes parents qui mon laisser avant de ''partir''."

"Démon de la forêt" ? C'était ce qu'avait dis les gamins de ce matin ?! Elle n'en avait pas entendu parler. Après tout, elle se contrefichait des rumeurs, elles étaient trop souvent exagérées. Elles avaient donc une valeur sentimentale. La demoiselle réfléchit quelques instants. Elle n'avait rien qui pouvait lui rappeler son père adoptif. Et elle ne s'en portait pas si mal que ça. Après chacun était différent selon ses relations avec autrui.

Les deux étudiants arrivèrent devant la chambre du jeune garçon, qu'il ouvrit avec sa clé. L'humain entra en premier puis l'élémental suivit. Son lieu de sommeil était simple, identique à la sienne à l'exception d'un mini frigo placé dans un coin. Une drôle de personne était assisse sur son lit. Ce dernier se leva et sortit de la pièce en souriant. Il semblait sympathique mais Kei sentit qu'il ne fallait pas qu'elle s'en approche. Une intuition féminine dirons nous.

"Je t'en pris Kei entre, ''met toi a l'aise''. "

Encore une allusion à ce qui s'était passé! Il le faisait exprès celui là! Kaen se dirigea vers le mini frigo, l'ouvrit et en sortit des briquettes de jus de fruits. Elle l'interrogea sur l'étrange garçon par pure curiosité:

- "Qui c'était ?"

Il n'était bien entendu pas obligé de répondre. Le jeune homme s'installa sur le lit, posa une briquette sur le lit surement celle qui lui était destiné et garda la sienne en main. Au lieu de l'entamer, il la fixa d'un regard étrange comme si il était ailleurs. Pourtant ses yeux scrutaient quasiment chaque parcelle de son corps. Elle en rougit un peu puis leur regard se croisèrent. Il détourna presque aussitôt ses yeux et but sa briquette. Lui aussi avait les joues un peu rosées. L'élémental s'avança et s'installa à la place de sa briquette une fois celle ci dans sa main alors que le brun l'interrogea sur le comment elle s'était retrouvé au casino.

Elle ouvrit sa brique et la porta à sa bouche pour boire une gorgée avant de lui répondre:

- "J'avais envie de changer d'air et comme j'ai des facilité à me déplacer où je veux quand je veux j'en profite, c'est tout. C'est l'un des seuls avantages à être ce que je suis." elle lui rendit la question "Je te retourne la question. Qu'est-ce que tu faisais là bas ? Et ne me dis pas que tu cherchais une fille pour t'amuser je ne te croirais pas."

Elle avait planté son regard sur le jeune homme. Aucun mensonge ne sera toléré!

- "Qui c'était ?"

- L'étudiant de la chambre d'en face, je ne sais pas pourquoi il aime venir dans la mienne, mais je lui fais confiance.

Kei decide de s'installer pour commencer a boire sa brique a son tour, après avoir bu une gorgé elle répond a ma question que je lui avait posé au sujet du casino, elle avait donc juste envie de changer d'air ? Je m'attendais a une réponse un peu plus passionnant a vrai dire, mais enfin bon. La jeune demoiselle me retourne la question. Elle avait lu en moi comme un dans un livre ouvert pour savoir quels bêtise j'allais répondre. D'un ton sérieux je lui répond pour ne pas l'offensé.

"Je te retourne la question. Qu'est-ce que tu faisais là bas ? Et ne me dis pas que tu cherchais une fille pour t'amuser je ne te croirais pas."

- Pour le travaille, je devais transporté quelque chose a quelqu'un, rien de plus simple.

J'ouvre le petit papier que m'avait donner Kyu, il me demandait un petit service, c'est assez rare de sa part a vrai dire. Et quand on parle du loup on en voit la queue, il avait laissé sa tête passer la porte puis il pose sa main sur sa bouche puis laissa un petit bruit d'une bise pour le faire dans ma direction. Une action qui pourrait faire croire qu'il est gay ... Mais j'avais compris le message, il voulait que je vienne le voir et vite. Je me lève puis je souris a Kei pour lui dire que j'en est pas pour longtemps. Une fois dehors Kyu m'explique qu'il aurait besoin que je fais diversion pour qu'il puisse entrer dans les archives de l'école, et que le prochain service que je lui demanderais serait cadeau. J'accepte de l'aider parce que ses services sont précieux, puis j'en est pour 10 minute, ni plus ni moins. J'entre a nouveau dans la chambre pour dire a Kei que je reviens dans 10 minute.

Une fois dans le couloir des archive Kyu et moi-même enfilons des cagoule pour ne pas être reconnaissable. Comme prévue j'attire les gêneur pour qu'il puisse voir les informations qu'il souhaite, puis on revient a ma chambre comme si de rien n'était. Une fois dans ma chambre Kei n'était plus la, il resté seulement une chaussure et un odeur d'une odeur masculine. Qu'est qui c'est passer ici ? Je prend dans ma main la chaussure de Kei puis je me retourne vers Kyu.

- Tu me dois un service n'est ce pas ?

- Kaen tu sais que j'honore toujours mes paroles. Tu veux que je retrouve leur trace ?

- Oui et vite si te plait.

Kyu et moi-même partons a la recherche de Cendrillon, il n'est pas encore minuit après tout. Pourvut que cette idiote ne sait pas fait attiré des gros ennuie une fois de plus !

Le drôle d'individu de tout à l'heure était donc l'étudiant de la chambre voisine à la sienne. Il accordait sa confiance à une personne qui venait squatter sa chambre et qu'il ne connaissait pas depuis longtemps. Étrange quand même non? Kei se douta qu'il lui cachait quelque chose mais ne lui en tient pas rigueur. Le jeune homme répondit ensuite à son interrogation bien qu'il sembla déçu de la réponse qu'elle lui avait fourni. Celle du brun fut vague mais semblait sincère. Il ouvrit un petit papier et lut rapidement ce qui y était inscrit. Alors qu'elle allait un nouveau l'interroger à ce sujet, la tête du gamin de tout à l'heure réapparu dans l’entrebâillement de la porte. Étrangement, il posa sa main sur sa bouche et envoya un baiser à son homologue masculin. Était il gai ? Elle tourna la tête vers le brun qui prenait ça assez sereinement. Lui aussi il était gai ?! Kaen se leva et sourit à la demoiselle en lui disant qu'il n'en avait pas pour longtemps. Il la laissait toute seule, dans sa chambre. Il n'avait décidément pas peur qu'elle fouille dans ses affaires. Le garçon rejoignit son voisin d'en face puis il revient quelque secondes plus tard en lui disant qu'il partait pour une dizaine de minutes.

La voilà maintenant seule dans la chambre de son "ami". Elle termina son jus et posa la briquette vide sur la table de chevet. Où pouvait elle le poser d'autre ? Elle n'avait pas vu de poubelle.. La jeune fille regarda un peu plus précisément la chambre de son homologue. Identique à la sienne en tout cas. Elle se leva et se posta devant la fenêtre d'où elle regarda le calme des jardins. La plupart des élèves devaient dormir à cette heure. Le bruit de la porte qui s'ouvrit attira son attention. Kaen était déjà revenue ? Il avait bien dis dix minutes pourtant. Elle n'eut pas le temps de se retourner qu'une ombre lui saisit les poignets et la tira vers elle. La jeune femme se débattit. Ils tombèrent au sol et la lutte commença dans laquelle elle perdit une chaussure. Le dominé devenait dominant et le dominant prenait à son tour le rôle de dominé. Plusieurs fois les rôles s'inversèrent. Mais l'ombre était bien plus puissant qu'elle. Il la releva puis le trou noir. Un complice avait placé un linge humide contre sa bouche et son nez, la faisant ainsi s'évanouir.

Lorsque la belle se réveilla, ses poignets et chevilles lui faisaient mal. Plus précisément, ils lui brûlaient. Elle était assise sur une chaise, pieds et mains liés par des anneaux dégageant de la chaleur, dans une salle de classe. Devant trois étudiants étaient debout et discutaient à voix basse. Elle n'entendait pas ce qu'ils disaient pourtant les regards se tournèrent vers elle à la fin d'une dernière messe basse. Celui qui paraissait être le chef de la petite bande fut le seul à rester dans la pièce. Avait il envoyé ses sous fifres monter la garde ? Le kidnappeur s'approcha d'elle. Son regard ne lui inspirait rien de très rassurant bien au contraire. Un mélange de perversité et l'envie de jeu s'y lisait. Elle déglutit lorsqu'il lui fit relever la tête vers lui en tenant son menton entre son pouce et son index. Leurs regards se confrontaient et elle n'avait pas l'intention de perdre. L'homme prit la parole:

- "On se réveille enfin ma jolie"

Le regard de la jeune fille ne se fit que plus dur et elle répondit tranchante:

- "Relâches moi!"

Il se rapprocha un peu plus d'elle:

- "Cesses de faire ton étudiante modèle" Il continua au creux de son oreille "D'après la rumeur qui circule tu prends soin des garçons contre quelques pièces. Et vu ton accoutrement je n'en doute plus."

Non mais il plaisantait là ou quoi ?! Ce qui s'était passé ce matin avec Kaen c'était traduit par ça ?!! Son regard et son visage étaient complètement dépités. Comment en étaient ils arrivés à ce stage là ?! Elle comprenait mieux pourquoi il l'avait amené ici et ça ne la rassurait pas. Il voulait profiter d'elle et il pensait qu'elle aimait ça ? Il y avait vraiment des crétins ici.. L'étudiant libéra les liens qui maintenaient ses pieds prisonniers. Elle voulu tenter une fuite rapide vers la sortie mais ce fut un échec. Et pour cause, il augmenta la chaleur des anneaux de feu de ses poignets, rendant la douleur et la brûlure plus intenses et par conséquent l'affaiblirent. Était il un démon ou un mage de feu ?! Le pervers la bloqua contre le bureau et approcha ses lèvres des siennes. Il n'allait pas oser tout de même ?! Elle lui réservait une surprise même si ses mains étaient inutilisables.

Une fois le contact établit entre leurs bouche, l'élémental n'hésita pas une seconde à le mordre violemment, et ce jusqu'au sang. Elle n'eut aucun plaisir à ce baiser contrairement à celui qu'elle avait échangé avec le brun.. Lorsqu'il se retira ses lèvres étaient encadrées par un filet de sang. Si le regard de la belle pouvait tuer, il serait déjà mort à l'heure qu'il est. Elle cracha au visage de son agresseur le sang qui lui était resté en bouche avant de prononcer sur un ton menaçant:

- "Ne t’avises plus jamais de recommencer."

L'amusement se lisait dans le regard de l'étudiant alors qu'il essuyait le sang de son visage et surtout de ses lèvres. Si il en re-voulait aucun souci elle pouvait recommencer autant de fois que ça serait nécessaire et ce jusqu'à ce qu'il comprenne! Il la souleva suffisamment pour la contraindre à s'allonger sur le bureau professoral. L'homme plaqua les mains liées de la jeune fille contre le meuble en bois et était quasiment allongé sur elle. Sa force qu'il exerçait contre ses poignets liés et brûlés était forte. Impossible pour elle de faire le moindre mouvements. Il approcha lentement son visage de son oreille, en bloquant ses jambes des siennes puis lui murmura:

- "Tu ne manques pas de cran et dieu sait que j'aime ça" Il se redressa un peu après ses mots en dégageant quelques mèches blanches de sa victime de son cou. Un sourire s'afficha sur son visage malsain lorsqu'il vit le suçon que Kaen lui avait fait il y a quelques heures, avant d'ajouter avec un petit rire mauvais: "Les rumeurs disaient vrais. C'est celui de ce matin qui t'a fait ça? Et si je te marquais moi aussi... "

Non mais c'était pas possible ça! Elle était maudite ou quoi ?! Il avait fallu qu'il voit la marque de Kaen. Déjà que ça l'ennuyait d'avoir une telle rumeur sur elle, alors si en plus elle avait des preuves qui les approuvaient... Ses pensées se dirigèrent vers son camarade. Que pouvait bien faire le brun ? Peut être dormait il en pensant qu'elle était retourné dans sa chambre las de l'attendre. Étrangement elle voulait le voir, qu'il vienne l'aider et même qu'il la serre dans ses bras. Prêt à la marquer à son tour, son agresseur approchait dangereusement ses lèvres de son cou, alors que de sa main libre il remontait doucement son débardeur. Le cœur de la demoiselle battait fort contre sa poitrine. Elle ferma les yeux attendant résignée l'empreinte qu'allait lui laisser cet étudiant aux idées pas très catholiques. Kei murmura,presque mentalement, espérant peut être que cela le ferait apparaitre devant la porte:

- "Kaen.."

Seuls quelques millimètres séparaient la peau pâle de la jeune fille des lèvres du garçon...

La recherche de la demoiselle était toujours en cour, Kyu avait un peu de mal a retrouver sa trace, chose assez facile dans son cas habituellement. Qui sait quels tordu lui est tomber déçu en notre absence, je n'aurais jamais du la laissé dans ma chambre. Kyu a finalement réussi a repéré leur cachette, pas exactement, mais une zone précise de l'école. Il décide de prendre congé maintenant que son rôle est terminé, il n'aime pas combattre, même si je l'ai jamais vu ce faire marcher sur les pieds bizarrement. Une fois dans le couloir de la zone qui m'avait indiquer je pouvais dire avec certitude que c'étais le bon couloir, plusieurs abruti monte la garde. Je me met a avancer doucement pour passer inaperçu au début, même uniforme, et aucune façon de me démasqué s'il ne connaisse pas mon visage. Malheureusement a mi-chemin l'un des gardes du couloir me reconnait et hurle pour demander de l'aide a ses camarades. Je les neutralise un par un avant d'arriver devant une grande porte, surement celle d'un club ou autre qui sait. Je décide de saisir la poignet tranquillement quand j'entend un chuchotement de la voix de Kei m’appeler

- Kaen..

Je retire ma main de la poignet de porte puis je fais un tour sur moi-même en armant ma jambe pour frapper la porte brusquement, tel que les deux porte font un bruit terrible suite au coup porté sur celle-ci. D'un sourire forcé en regardant la scène j'avance doucement vers celui qui ''prend soin'' de Kei. Il se lève, la bouche en sang puis il s'écarte doucement a reculons. Un peu fou de rage de voir comment la demoiselle avait était traité, je laisse percevoir dans mes yeux une envie de me défoulé sur eux, ma stupide réputation de monstre aura était utilise cette fois-ci vu a la vitesse ou les trois chenapan s'enfuie suite a ce regard.
Me voila maintenant devant Kei, assis et enchaîné sur place avec un peu de sang sur le visage. Je décide de lui enlevé ce sang sale de son visage en passant mon pouce déçu, ensuite je lui défait les chaines qui l’emprisonne. Même les menottes avait était conçu pour elle, lui manquant une chaussure j'avais la paire manquante dans ma seconde main, je met un genou a terre puis je saisie délicatement la jambe de la demoiselle pour lui remettre ce qui lui appartiens. Je relève la tête avec un sourire chaleureux, heureux de voir que j'étais arriver a temps cette fois-ci.

- Je vois que tu t'ai fais de nouveau ami.

Peut importe la réponse contradictoire ou non qu'elle allait me dire a ce sujet je la saisie pour la porté a bout de bras comme une princesse sortie du lit. N'étant peut-être pas encore prête a marcher a cause des chaîne chauffante je préfère la porté juste qu'a ma chambre, d'une vue extérieur on pourrait croire pas mal de chose quelqu'un qui porte une demoiselle pour allers dans sa chambre. Une fois arriver je la place sur le lit puis je me dirige vers le réfrigérateur pour saisie des glaçons, puis je les met sur les parties chaude.

- Tiens, sa devrais soulager la douleur.

J'étais dans un état un peu instable, un peu furieux qu'un autre homme l'ai touché je décide de la punir a ma façon. Laissant les glaçons sur la zone chaude je fais pression sur Kei qui est obliger de s'allonger pour évité le contacte au niveau du torse. Je plonge mes yeux dans les siens, pour lui faire deviner mes intentions un peu habituellement maintenant pour elle, mais cette fois-ci mes lèvres ne font que la moitié du chemin, s’arrêtant a quelque milimetre de sa bouche, l'invitant a s'auto châtie dirais-je. Puis je dis une phrase plutôt embarrassante, mais sur le moment elle sortit d'elle même.

- L'idée qu'un autre te touche m’insupporte Kei-chan. Dis avec un sourire disons vicieux, mais honnête.

Ses poignets la faisaient atrocement souffrir et les lèvres de son agresseur approchaient dangereusement des siennes. Inconsciemment elle avait appelé le brun au secours. La porte de la salle de classe s'ouvrit dans un grand fracas laissant apparaitre celui qu'elle attendait. Son agresseur avait cessé toute action sur la demoiselle et s'était redressé pour faire face à l'intrus. Le méchant de l'histoire recula de quelques pas avant de prendre ses jambes à son cou accompagné de ses deux camarades qui avait, sans doute, montés la garde lorsque Kaen leur lança un regard noir de chez noir. Pendant ce temps, la jeune élémental s'était difficilement assise sur le bureau, ses mains liées sur ses cuisses. Son visage s'était éclairé et adouci avec l'arrivée de son camarade.

Ce dernier se posta devant elle. La demoiselle regarda le jeune homme avec un air gratifiant. Elle détourna le regard, les joues légèrement rougit par la gêne et la honte lorsqu'il essuya le sang qu'avait laissé son "attaque" avec un pouce. Pendant qu'il retirait ses liens, elle reporta son regard sur lui et lui dit en murmurant:

- "Merci d'être venu me chercher.."

La jeune fille avait toujours un pied à l'air, ayant perdu sa chaussure dans la bagarre dans la chambre du brun. Ce dernier avait ramené son bien. Il saisit doucement sa jambe, puisque la douleur de brûlure était toujours présente puis lui remit son soulier. La pose fait pensé au conte de fée Cendrillon. La Princesse avait perdu sa pantoufle de verre et c'était son Prince qui venait la lui rapporter. Le contexte actuel des deux étudiants n'était pas très très différent. Elle regarda faire le brun, légèrement rougissante. Lorsqu'il releva la tête, un sourire chaleureux égayait son visage. Il semblait heureux et rien qu'à son sourire et sa présence il avait su la rassurer. C'est sur un ton taquin qu'il "gâcha" les retrouvailles:

"Je vois que tu t'ai fais de nouveau ami."

Tu parles d'un nouveau ami. Un salaud de première! Elle espérait ne jamais le revoir ou même le croiser dans les couloirs de l'école! Sans lui laisser le temps de réagir, il la saisit et la porta telle une princesse. L'élémental le laissa faire sans même se débattre, les maux étant toujours présent. Ce n'est qu'une fois sortit de la pièce qu'elle répliqua, bougonne:

- "Tu parles d'amis.."

La demoiselle posa ses poignets meurtris sur son ventre et sa tête contre le torse du jeune homme. Il n'y avait pas à dire, sa présence l'apaisait et lui faisait plaisir. Elle regarda ses mains. Brulées, à vifs et rougies. Il la porta de cette façon jusqu'à sa chambre. Le brun la posa sur le lit puis s'éloigna vers le réfrigérateur. Qu'est-ce qu'il faisait ? Il revint vers elle et posa des glaçons sur les bases de ses poignets et chevilles en lui disant que cela devrait la soulager. Kei grimaça à ce contact gelé même si la sensation qui suivit lui fit du bien. Elle le gratifia d'un léger sourire pour le remercier.

L'homme qui se trouvait en face d'elle semblait éprouvé de la colère. Enfin c'est en tout cas ce qu'elle ressentait en ce moment. Il la força à s'allonger en faisant pression sur son épaule. Allongée sur le dos, il planta ses prunelles écarlates dans les siennes dorées. Cette position commençait à devenir habituelle pour les deux jeunes gens. Kaen approcha ses lèvres de celles de la jeune fille. Cette dernière s'attendait à un contact mais non, il en décida autrement. Quelques millimètres à peine séparaient leurs bouches lorsqu'il prononça ces mots avec un sourire pas très net sur le visage:

"L'idée qu'un autre te touche m’insupporte Kei-chan"

Les joues de la demoiselle prirent une teinte rosée et elle déglutit à ses paroles. Il se fichait d'elle encore une fois! Pourtant le ton de sa voix montrait l’honnêteté... Elle détourna les yeux, trouvant tout à coup le mur très intéressant, même si cette action tenait plus du fait de la gêne que de l’intérêt de la paroi de béton.

- "Arrêtes de dire n'importe quoi. Ce n'est plus drôle! "

Elle avait redirigeait ses yeux dorés sur ceux de son compagnon à l'énoncer de sa dernière phrase. L'espace entre leurs lèvres étaient toujours aussi infimes et facilement franchissable. L'envie de franchir la limite autorisée était présente. Du moins, chez la demoiselle. Pour son compagnon elle ne pouvait pas en être sure. Les battements de son cœur devenaient plus bruyant et rapide. Le cœur prit le pas sur sa raison et leurs lèvres finirent par se frôler puis, la raison reprit le contrôle. Ses lèvres se posèrent au coin des siennes.

Le bisou ne dura que quelques instants. Elle posa sa main droite sur la joue du propriétaire de la chambre. Ses joues étaient toujours un peu rosées et es yeux étaient plongés dans les siens. Elle aimerait rester comme ça en compagnie du brun, même si il la taquinait et l'embêtait, ça restait gentil. Comment allait il réagir à son action ?

Pendant que j'enlever le sang de son visage un léger murmure me laisse entendre quels que mot.

- "Merci d'être venu me chercher.."

Suite a ses paroles je ne pouvais être que content qu'elle me remercie d'être venu spécialement pour elle. Quand je lui dis d'un ton ironique pour ses ''nouveau ami'' elle me répondit en bougonnant un peu.

- "Tu parles d'amis.."

Des ami un peu douteux en effet, mais bon suis-je si différant ? Or mis le faite que je n'ai pas besoin de la kidnapper ou de l'attaché ? La seul différence que j'avais avec eu était le choix laissé a la personne en face. Je ne forcerais jamais quelqu'un a faire des choses sans qu'elle ne le souhaite contrairement au ravisseur de Kei.

- "Arrêtes de dire n'importe quoi. Ce n'est plus drôle! "

Dis-elle en fixant le mur a côté de nous, puis elle revenu dans la position précédente, les yeux plongé dans les siens et nos lèvre toujours aussi proche l'une de l'autre, elle décide d'elle même de s'aventurer sur les miennes pendant quelque seconde. Suite a ce doux sentiment éphémère donner par la demoiselle, elle posa sa main sur mon visage puis elle resta immobile dans cette position qu'elle semblait apprécié elle aussi. Quand un soudain sentiment d'horreur pris possession de mes pensés pendant une fraction de seconde et me donna un petit vertige, je repris conscience de mes moyens rapides, mais qu'est ce que ce sentiment horrible ? Un mauvaise présage allers arriver bientôt ? Mon attention ce replonge dans les yeux de la demoiselle, son seule regard avait chasser les mauvaises pensés que j'avais au sujet de ce vertige étrange. Puis un nouveau évènement viens perturber notre petit moment paisible. L'autre surveillante de l'autre fois, autant furieuse que la fois dernière. Impossible de s'enfuir cette fois-ci, je n'avais plus la force de faire des efforts physique, le sauvetage m'avais vidé. J'embrasse rapidement le bout du nez de Kei avant de la recouvrir d'une couverture en lui fessant un clins d'oeil. La folle furieuse entra dans un fracas de hurlement.

- Je t'ai retrouver sale mioche ! Tu as tellement ''bonne'' réputation que te retrouver fût un jeu d'enfant. Maintenant tu va connaitre ta punition ! Que dirais-tu de ...

- La directrice est-t-elle au courant pour l'alcool dans votre casier pour la pause de midi ?

La surveillante un peu fofolle coupé dans sa phrase change complètement de couleur quand je lui dis que j'étais au courant pour son petit péché mignon du midi pendant la pause. Un surveillant qui boit une tel chose pendant son service devrais avoir de gros problème s'il quelqu'un devrais l'apprendre. Un peu pris au dépourvu, elle change d’attitude envers moi, elle fit mine de m'avoir jamais auparavant et referma la porte doucement derrière elle en sortant. Encore une fois Kyu était mon sauveur, sans lui je n'aurais déjà su pour ce petit point faible. Je retire la couverture qu'était sur la demoiselle, ma main fini par se glisser sur son ventre et mon doigt s'amusais a faire des cercle sur son ventre, l'esprit un peu étourdit par pas mal de question.

- Kei, que dirais-tu de passer plus de temps avec moi pour les prochaines jours ? J'étais clairement en train de l'inviter a un rendez-vous dans un sens. Je crois que je suis tombé amoureux de toi ma belle. Dis-je avec un sourire innocent.

Cela pouvait ressembler a une confession, mais cela n'en n'étais pas une, enfin peut-être que si, mais dans cette situation je cherche juste a avoir des réponses a mes question, je ne pense pas que faire les choses que je fais avec elle et les sentiments qu'elle me fais éprouvé est a la porté de n'importe qu'elle demoiselle. Serait-je amoureux ? L'était-t-elle aussi ? Un humain et un élémentaliste est-ce possible ? Comme je le disais beaucoup de question ce bousculé dans ma tête, je voulais avoir le sentiment d'être certain de mes choix.

Le baiser n'avait duré qu'une poignée de seconde et pourtant la demoiselle était troublée par cela. Son cœur habituellement muet et froid s'était assagi pour le jeune garçon. Les preuves de ce qu'elle avançait s'accumulaient: le baiser qu'elle lui avait demandé dans son état fiévreux, l'envie qu'il vienne la sauver et maintenant ça, un bisou en étant complètement consciente de ses actes. Qu'est-ce qui pouvait bien lui arriver ?!

Sa main droite était posée sur la joue du jeune homme et ses yeux plongés dans les siens. Elle espérait que son regard ne trahirait pas son trouble. Son compagnon sembla être pris d'un léger vertige. Qu'est ce qui lui arrivait ? Il replongea ses yeux écarlates dans ceux de la jeune fille quelques fractions de seconde plus tard et paraissait un peu plus apaisé. Quelque chose le tracassait ? Inconsciemment et comme pour le rassurer, elle caressa doucement sa joue du bout des doigts. Leur moment de tranquillité, si agréable fut interrompus par des bruits en provenance du couloir. C'est vrai qu'elle ne devrait pas être dans la chambre de Kaen. C'était interdit par les règles de l'Institut. Un bisou furtif sur le bout de son nez suivi d'un petit clin d’œil et il la cacha sous sa couverture juste avant que la surveillante n'entre dans la pièce comme une furie.

L'élémental resta silencieuse durant l'échange qui avait lieu entre les deux humains. La surveillante semblait vraiment être très en colère contre le brun. Ce dernier n'hésita pas à lui couper la parole. Le ton de sa voix montrait son sang froid. Et ce fut logique vu sa réplique. Comment avait il bien pu découvrir qu'elle cachait de l'alcool dans son casier? Le silence revint dans la petite chambre et la porte se referma. Il retira, une fois la pièce sécurisée, la couverture qui la camouflait. La main de l'étudiant atterrit sur le ventre de la demoiselle où il commença à y dessiner des cercles. L'étudiante frissonna au contact même si le tissu de son débardeur la "protégeait". Ses joues avaient repris une teinte rosée. Le trouble se lisait dans les prunelles du jeune homme. Les mots qu'il prononça appuyaient son avis la dessus:

"Kei, que dirais-tu de passer plus de temps avec moi pour les prochaines jours? Je crois que je suis tombé amoureux de toi ma belle."

Passer un peu plus de temps avec lui ? Qu'est-ce que c'était que cette demande ?! Sa question sonnait étrange, et la suite le fut encore plus. Il pense être tomber amoureux d'elle ?! Il se fichait encore d'elle ça pouvait pas être possible! Et pourtant.. Son sourire était si innocent et sincère. Il était vraiment sérieux ?! L'élémental ne savait pas trop quoi répondre à une telle déclaration. Elle était incapable de dire non, pas à lui en tout cas. Plus que gênée par les mots du brun, son visage habituellement pâle avait pris une teinte rougit et les battements de son cœur s'étaient accélérés. Elle tira sur la couverture pour cacher sa bouille embarrassée.

Ses pensées se bousculaient dans sa tête. Que voulait elle bien lui répondre? Bien sur qu'elle voulait passer plus de temps avec lui et aussi le connaitre un peu plus. Après tout, ils ne se connaissaient que depuis la veille. Et pourtant il fallait qu'elle reconnaisse qu'il ne la laissait pas indifférente. Comment l'incarnation d'un élément, et surtout le sien, pouvait être sous le charme, parce que c'était bien le cas, d'un simple humain? C'était quasiment inconcevable.. Ils n'étaient pas du même monde tout les deux mais elle sentait bien que quelque chose les liée. C'était incompréhensible. Quant à ses sentiments à son égard, ils étaient tout aussi confus.. La jeune femme appréciait la présence de son camarade qui avait tendance à l'apaiser et à la rassurer mais aussi à l'agacer à force de taquineries. Cependant les deux fois où elle avait eu des problèmes, il était venu à son secours. Raahh! Tout ça l'agaçait !! Être autant dans le doute ne lui ressemblait pas.

Plusieurs minutes étaient passées avant qu'elle ne lui réponde timidement, toujours cachée sous la couverture:

- "Je.. veux bien apprendre à mieux te connaitre.."

Elle évita volontairement la déclaration que lui avait faite le jeune homme. Il valait mieux passer outre pour le moment. La demoiselle se demanda comment réagirait le brun. Il allait surement la découvrir, taquin comme il l'était. Elle laissa cependant apparaitre son front sans montrer le reste.

- "Je.. veux bien apprendre à mieux te connaitre.." Dit-elle tout en restant caché sous la couverture.

N'importe qui pourrait remarquer que Kei était un peu gêné a cause de la tournure de la conversation, je n'allais pas lui en vouloir j'en étais un peu le responsable et ceci était un peu volontaire. Pour finir cette nuit un peu agitée tranquillement je décide de réfléchir a un endroit tranquille pour demain. Vu que demain il y a pas cour c'est le jour idéale pour allers ce balader. Bien sûr on ne pouvait pas allers trop loin non plus, les cours reprend trop vite pour ce permettre de partir trop loin. Je réfléchir pendant quelque minute, puis une idée banal me vient en tête. Pourquoi ne pas ce balader dans Valkar tout simplement. On pourrait ce rejoindre vers 11h30 puis allers mangé dans un coin puis ce balader l'aprem midi dans la ville.

- Que dirais-tu de demain 11h30 dans l'une des rues bien fréquenté de Valkar ? On irait mangé un morceau puis on pourra ce balader.

L'idée n'était pas glorieuse, mais il n'en vaut peu pour être heureux après tout. Je me sens un peu obliger de la raccompagnez, après ce qui lui est arriver la laissé seule est une mauvaise idée. Sur le chemin pour allers dans sa chambre un long silence ce laisse entendre, faut dire qu'on avait eu une nuit un peu mouvementé dans tout les sens. Une fois arriver, elle entre puis se retourne, voulant surement me remercie de l'avoir raccompagnez, je ne lui laisse pas le temps de s'exprimé et je viens déposé mes lèvres une dernière fois sur les siennes. Cela ne dure qu'une fraction de seconde, je me remet droit avec un sourire satisfait, comme si j'avais passé une très bonne soirée, enfin c'est le cas mais ce souris n'était pas apparut beaucoup de fois cependant. Une fois les lèvres décollé des siennes je la quitte avec un :

- Bonne nuit Kei-chan.

Suite :

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