Xander Adams Roublard
Messages : 7Date d'inscription : 02/04/2013Feuille de personnage Points de Vie : (100/100) Jauge de Survie : (100/100) Points d'Énergie : (0/0) Sujet: Un amant au coeur rempli d'espoir, Alexander Adams W. Mer 10 Avr - 0:15 Âge : 200 ans (19 ans physiquement) Race : Vampire Sexe : Masculin Classe Choisie : Roublard Village de Naissance : Ivarnum Époque de Naissance : Moyen-Âge Taille : 1m65 Poids : 54 kg (120 lbs) Aime : Andy White, sa protégée et sa propre justice. Déteste : La royauté, l’autorité, les autres vampires et le conformiste. Rêve : Retrouver sa dulcinée. Alignement : Chaotique Neutre Orientation Sexuelle : Hétérosexuel Situation Amoureuse : Célibataire, mais au cœur déjà pris. Soumis ou Dominant ? : Dominant Êtes-vous un Étudiant de la Zen'shi Institute ? : Étonnement, oui.
Description Physique Sans vouloir paraître narcissique, je sais assez bien les bienfaits de ce visage fait sur le long avec un menton assez pointu tout simplement époustouflant. Sans parler de mes cheveux noirs coupés courts dont quelques mèches rebelles me taquine parfois le bout du nez ou mes pommettes, qui même aussi blanchâtres et sans teinte que les ont les vampires, sont rebondies et charmantes à souhait. Je suis si beau que je n’ai pas toujours besoin d’utiliser mon charisme surnaturel pour amener mesdames à me regarder aussi avidement que vous devez le faire en ce moment même. Parlant de regard, le mien est perçant et si prenant, digne du plus beau des garçons au look mystérieux, ténébreux, d’un mauve assez étrange, comme le dit mesdames, dont ma belle Andy. Vous vous demandez pourquoi mes yeux sont mauves, et bien, c’est assez facile, vu mon régime alimentaire, dût à ma race, je prends un petit peu de sang humain par ci, un petit peu de sang animal par là, tant que ma soif soit rassasiée, je serais satisfait. Ensuite, continuons le long de ce visage merveilleux que moi vampire, possède… Alors, mon nez est assez fin et long, mais ce n’est certainement pas ça qui m’a permis d’étendre mes champs en séduction. Peut-être est-ce mes lèvres qui sont si plaisantes à regarder… Elles sauraient vous faire craquer avec ma moue la plus maligne qui ne vous sera peut-être ou peut-être pas permise de voir. Ensuite, mon corps, comme seul cicatrice de guerre, il y a sur mon épaule une petite brûlure d’eau bénite. À propos de mon corps, alors que vous pourriez peut-être espérer le meilleur des parties, baraqué ou un homme muscle, mon corps est disons simplement la continuité de celui d’Andy. Mes mains me semble conçut pour agripper sa taille de guêpe… Bon, cela n’est pas de vos affaires, alors continuons sur ma personne. Je ne suis pas très grand pour un garçon, mais rien ne me satisfait plus que d’être à cette hauteur de laquelle je ne peux pas manquer le minois de ma bien-aimée. Pour compléter se que vous pourriez dire de déjà achevé, je m’habille souvent de complet assez contemporains avec un petit chapeau parfois, tout ça ne fait qu’ajouter à mon charme. Description Psychologique Et bien, pour me comprendre, il faut d’abord commencer par se rendre compte qu’être neutre est pour moi temporaire, mais plus à l’équilibre de mes valeurs. La liberté n’est pas toujours juste, alors, je ne suis pas toujours juste. Une véritable liberté peut aller très loin, il faut simplement savoir de quel côté est notre penchant. Malheureusement, pour mon cas, le mal était beaucoup plus accessible à l’époque. J’ai toujours été fourbe, je savais tromper adroitement, je savais et je sais encore tromper les autres à propos de mes sentiments. Même encore aujourd’hui, ma main est portée à se tendre pour attraper les plus beaux trésors, comme vous vous en doutez, Andy m’avait un peu ramené vers le droit chemin, bien qu’elle soit la plus belle prise que j’ai acquise, du moins, avant… Mais, comme le dit plusieurs, l’amour nous change. Avec Andy, on pourrait croire que je l’idéalise, mais n’est-ce pas important de rappeler à ma tendre moitié que je ne suis toujours pas partit, et que je suis toujours là pour elle? Longuement, on a put croire que ma fidélité brisait des ménages, mais je peux vous assurez que c’est faux. J’avais longuement craint l’engagement, mais maintenant que je savais que sa main pourrait être à jamais mienne… Et bien, vous l’avez surement constaté à travers mes mots que je suis assez égoïste, comme chaque escroc, je suis très possessif, surtout en amour. Alors que j’aurais cru que l’amour pouvait être quelque chose d’acquise, je me la suis fait voler. J’ai peine à l’avouer, mais le sujet d’Andy est pour moi un sujet très délicat, encore aujourd’hui, c’est un terrain glissant. Alors, tassons ma philosophie et mon amour inconditionnel pour parler de moi. J’ai une curiosité trop vive et facile à alimenter, je suis du genre téméraire et du genre tout ou rien. Finalement, mes coups ont souvent fait battre quelques fois mon cœur inerte, c’est ce qui me fait sentir comme l’un de vous. Histoire Comme vous le savez surement, l’éducation forme la personne. Mon éducation est bien simple, le mal à l’état brute. Je viens d’Ivarnum, il n’y a pas à se tromper, bien que peut-être il existe des exceptions, ma famille à moi était le stéréotype presque parfait, ça m’en fait même rire parfois, sauf peut-être pour les crocs, mais même cela c’est devenu une caractéristiques assez courante chez les habitant de ce village. Alors, mes deux parents, je vous les présente, Mr. Vampire, et madame Vampirettes, surement porteur des gènes surnommés méchanceté, fourberie et égoïsme dans ce monde. Gène que j’ai d’ailleurs acquis avec facilité et consentement dès mon plus jeune âge, quel con j’étais! La mère que j’ai eue était surement tout le contraire des autres mères, contre la pitié, aucunement affectueuse, et pour ajouter sur le lot, sévère. Alors que je me savais encore tout jeune et fringant à mon âge, ma mère essaya de me trouver une compagne, disant que l’intérieur serait mieux à deux, car bien entendu, il ne m’était que très rare de mettre le pied dehors, mes parents avaient prévus le coup, on habitait tous les trois dans un grand manoir un peu à l’écart du quartier. Bien qu’on ait pu croire que la verdure n’y aurait sa place, à la place, elle grimpait sur toute la surface de la maison. La cours était gigantesque, parfaite pour une famille de vampire richissime. Revenons un peu sur ces soit disantes parfaites épouses, bien entendu, elles étaient toutes un peu trop soumise à mon goût, il fallait bien qu’il y ait cette petite tension pour qu’une fille m’intéresse, mais mère ne comprenait pas cela, même moi de nature dominante j’aurais du aimer savoir ce pouvoir entre mes mains, mais non. Elle me présentait que d’autres vampirettes, comme je me préférais à les appeler tellement elles se présentaient en grand nombre ici, prétextant que les humaines étaient inférieures, que seul les vampires changeraient ce monde vu nos nombreuses longueurs d’avances, du genre notre espérance de vie, notre rapidité et notre pouvoir de persuasion. Et puis un jour, alors que je me trouvais seul à la maison, je déambulais, sachant que mes parents reviendraient avec d’autres gentilles mignonnettes toutes identiques sur ce point qu’elle n’était pas faite pour moi. C’est alors que je vis deux jeunes gens passer ma clôture, j’aurais pu les faire fuir en sortant dehors, mais quelque chose m’avait retenu, des jeunes humains de mon âge… Je les scrutais, tout spécialement la demoiselle, cheveux sombres, yeux verts émeraude. Simplement de la façon dont elle se déplaçait, ses traits, il semblait qu’elle avait un petit quelque chose. Seulement, aussitôt que la fille croisa mon regard à travers la fenêtre, elle prit son ami et repartit en courant. J’étais sortit, j’avais essayé de la voir, mais elle était déjà loin. Ce ne fut que le début de notre histoire pourtant, j’attendis qu’elle revienne, seulement elle n’était pas revenu, je pris cependant mon temps, trouva quelques manoirs abandonnés où je la recroisa à nouveau. Je n’avais pas eu tort, elle avait ce quelque chose, elle avait du caractère. C’était elle, point à la ligne. Et ainsi, on devient ami, ensuite plus proche et enfin j’allai officialiser le tout devant ma mère, mais alors que j’allais la retrouver dans notre planque, je vis la chevelure blonde et si familière de cette mère indigne, alors que de ses griffes, elle déposait le corps agonisant de ma belle et très chère Andy White. Bien entendu, je ne lassai rien aller au hasard… Bon, c’est un peu mentir, je m’étais emporter, bien qu’on aurait pu croire à un combat si violent, si difficile, j’eus tellement mal, j’étais tellement en colère que je ne frappais que pour arrêter l’hémorragie inexistante de mon cœur, car c’était si douloureux, si poignant, si saignant…! Tout cela ne pouvait être que de ma faute… Je réussis tout de même à récupérer l’âme d’Andy, sans pour autant savoir quoi en faire, je l’avais mis à l’abri, dans la sphère de mon collier. Elle était donc toujours avec moi, près de moi, collé à moi. Pour être sur de ne jamais oublier se que j’avais fais à Andy, je mis White à la fin de mon nom en son honneur. Wow, on pourrait presque croire à une fin qui allait bien finir, n’est-ce pas, et bien, arrêtez de lire sinon, le malheur continue pour les plus curieux. Bien que mère n’était plus dans la course, il restait lui, mon père. Un combat s’ensuivit lorsque j’arrivai à la maison quelques nuits plus tard. On fut tout les deux blessé, moi par de l’eau bénite au niveau de l’épaule, et lui par une des pattes de la table que j’avais arrachée. Bien qu’il y aurait dut avoir un autre mort dans cette histoire, il en n’eut pas, il fut presque clément en me bannissant de la maison, ne voulant plus jamais entendre parle de son bâtard de fils. Oui oui, ce sont ses propres mots, pourquoi vous mentirais-je à ce stade-ci de l’histoire? Bien que j’aurais pu me sauver aller hors d’Ivarnum, je préférai y rester sachant qu’ici, je saurais mener mon combat. Je deviens rapidement un roublard, facile dans une ville pareille et avec l’éducation que j’avais eu. Plusieurs d’entre vous me connaîtront d’ailleurs plus sous le nom d’Oliver Powell. J’étais sur un nouveau coup, j’allais entrer dans la maison d’un haut réputé d’Ivarnum, y voler leurs biens matériels, un des plus grands coups de l’histoire au lieu de quoi, je ne puis me rendre jusqu’au bout. Cet homme s’en allait pour vendre sa fillette au marché des esclaves, bien entendu, je ne puis me contenir et le vida de son sang. L’impulsion du moment, quoi? La fillette n’avait pas de mère non plus, bien qu’on aurait cru penser que mon cœur alourdi de cette vie sans ma Andy me ferait redevenir l’homme le plus noir, je fis ce que je crus bon de faire. La solitude ne m’aiderait en rien, donc, je la pris sous mon aile, je la transformai. Elle devenu rapidement aussi habile qu’un vampire adulte, alors que pourtant, elle gardait toujours ce visage attendrissant d’enfant. Je la traînais partout avec moi, essayait de lui donner l’éducation et l’amour dont elle méritait et qu’elle n’avait surement jamais connu avec un père aussi occupé que le sien, seules les gouvernantes devaient s’occuper de la gamine de 7 ans. Finalement, pour fêter son anniversaire, j’avais choisit de la fêter le jour que je l’avais trouvé. À chaque anniversaire, j’amenais ma protégée dans la toute nouvelle boutique de poupée en ville. Sur un tabouret, je l’a vis, sa réplique même. Pendant un an, deux ans, trois ans, j’essayais toujours de la faire acheter à ma protégée, mais celle-ci voulait les petites poupées blondes. Je ne faisais abstraction au désir de ma protéger et laissais la poupée taille humaine glisser du tabouret. L’année suivante, je reviens, encore accompagné de ma protégée, cette fois, la copie conforme de ma Andy ne s’y trouvait plus. Je laissai ma protégée choisir en lui disant que j’allais revenir dans un instant. J’allai voir le monsieur qui un peu triste me dit qu’il avait pris la décision de la mettre dans l’arrière-boutique. Non mais confiner une si belle chose dans une arrière boutique, c’était dingue! Je lui proposai donc une chose, j’allais ‘’animer’’ la poupée, bien entendu, c’était beaucoup plus pour moi que pour lui qui ne savait aucunement que j’utiliserais plus qu’un sort d’animation sur sa création. Alors, le lendemain, j’arrivai sans ma protégée, cape sur la tête, collier en main. Je réussis à faire l’impossible selon moi, grâce à un vieux grimoire appartenant anciennement à ma famille. L’âme d’Andy était alors de nouveau dans un corps qui bien entendu était que du bois. J’aurais tant voulu passer mon pouce sur sa joue, savoir si c’était aussi doux, mais sans me retourner, je partis, laissant la poupée prendre vie sans pourtant regarder, par peur, je ne sais trop. Même ma curiosité c’était envolé. Pourtant, cela ne m’empêcha pas de repasser quelques fois derrière la boutique où la poupée y passait son temps. Cela aurait dut me déranger, mais en quelque part, je savais que ça la conservait hors de la vue des autres, qu’elle était comme dans une haute tour qui ne pourrait être atteinte que par moi. Après tout, l’âme de la vraie Andy saurait me reconnaître, m’étais-je convaincu. Pendant longtemps, je repassais devant la fenêtre même que j’avais presque osé cogner à celle-ci pour la saluer. Maintenant que le propriétaire m’avait vu rôder dans le coin, il me faisait entrer, même qu’il me disait que je pouvais aller la voir, après tout, elle ne mordait pas, ce qui m’avait fait un peu sourire la première fois. Ainsi, une routine se développa sans même que je m’en rendre compte, amenant maintenant ma protégée avec moi, à qui j’avais dut tout dire, elle était curieuse elle aussi après tout. Je ne pouvais lui refuser grand-chose. Et puis un jour, alors que je m’apprêtais à aller la voir pour la deuxième fois, pour dire rien de plus intelligent qu’un salut, elle n’était plus là. J’entrepris les grands moyens, je partis avec rien de plus que ma protégée, interrogeant le plus grand nombre de gens possible jusqu’à cette vieille dame que j’avais un peu rendu fébrile avec cette accolade. Ma Andy allait étudier à la Zen’shi Institute, avouons-le, elle n’avait pas du passer inaperçu avec sa superbe robe fleurit que j’aimais déjà tant, et avec ce visage inexpressif. C’est alors que Valkar était ma destination avec la petite. On s’y rendit en moins de temps qu’il ne le faut. Arrivé, je m’inscris au même cours qu’elle, technique en combat. ________________________________________________________________
Derrière L'Écran Surnom : Xander Âge : 16 Que pensez-vous du forum ? Two thumbs up! Comment avez-vous connu le forum ? Andy & Cybella Code de Validation : Validé par Goldrun. P.S: J'ai envoyé un message à Andy, et elle a conssenti à cette idée d'histoire.