De bon conseil. PV Daisuke Gisen

Comme tout les Jeudi du mois, Kaen se rend au cour d'arme blanche enseigné par l'enseignant Daisuke. Un personnage un peu spécial, du genre a plaire au fille avec ses cheveux blond et ses yeux bleu. Une nouvelle qu'avait aussi un peu perturbé un peu les filles qu'il lui tourné autour était qu'il était encore un homme disponible.
Je ne le détesté pas, un enseignant plutôt normal, ni trop gentil ni trop méchant. Les entrainement qu'il donnait était un peu difficile par fois, mais aucun problème le concernent.
Pour une fois j'avais envie de testé quelque chose, a ma grand habitude je me combat deux arme en main. Mais quels serait le résulta avec une troisième arme dans la bouche ? J'en avait entendu parlé de personne qui venait du futur, un épéiste surpuissant, les cheveux vert et il aidait quelqu'un a trouvé le ''One piece'' ou quelque chose du genre.
Je pris une troisième épée pour tenté la même chose que ce fameux épéiste ! Dans mon coin je tente d’enchaîné plusieurs coup, mais impossible, l'épée dans ma bouche m’empêche de bougé mon bras droit vers le haut, c'est juste pour frimé de ce battre avec une épée dans la bouche.
Je regarde les trois épée pendant quelque seconde, puis j'ai eu une idée a testé. Augmenté ma vitesse pour géré trois épée en même temps. Pendant qu'une épée est dans les airs les deux autre frappe, et avant que l'épée tombe je laisse une autre épée dans les airs pour rattrapé l'autre et enchaîné. Comme sa la cible recevrais trois attaque de différant endroit, et si la vitesse était assez important les coups serait tels une pluie battante la nuit d'un orage.
Malgré mes efforts la méthode de combat n'est pas mal, mais trop fatiguant !

- Le combat a la double épée reste celle que je maîtrise le mieux.

Je regarde de loin l'enseignant Daisuke puis soupir. Tout le monde ou presque savait pourquoi j'étais dans cet école, pour devenir enseignant, j'avais deux possibilité, celle des art a l'arme blanche ou a main nue. J'étais doué dans les deux domaines, mais la place de l'enseignant d'arme blanche m'aurais bien plus. Mais Daisuke occupé la place, je n'avais pas le choix de prendre l'autre discipline si je devais devenir enseignant.
Je devais déjà faire mes preuves dans l'école avant de pouvoir devenir enseignant, j'attend seulement le meilleurs moment pour allers voir la Directrice, qui sans le caché me fessait légèrement peur. Malgré que je ne l'ai jamais rencontré et que je savais qu'elle était jeune, je l'imaginé attirante, mais énormément méchante.

- Attention !

Une voix surgit de nul part, un duel a l'épée qu'avait lieu tout proche avait fait rage, l'un des duelliste avait désarmé son opposant et l'épée avait voltigé dans ma direction. Par réflexe je l'attrape a main nue, mais aujourd'hui on utilisé de vrai arme, ce détail m'avait échappé. Heureusement pour moi aucun de mes doigt n'avait était coupé, j'avais bloqué net la lame, mais j'avais une coupure sur la paume de la main. Je ne perdais pas énormément de sang, mais beaucoup pour une si petite blessure, un sang trop fluide surement. Une jeune fille alla prévenir l’enseignant de l'accident, je regardais bêtement ma main, je n'avais toujours pas trop compris comment tout cela avait pu arrivé.

Aujourd'hui le cours était principalement axée sur la manipulation des épées et des dagues. La majoritée des élèves manipulaient assé facilement ces armes même si quelques autres avaient un peu de mal, plus habitués aux armes futuristes et aux fusils. Passant parmis les élèves, je constata que leur efforts portaient leur fruit. Arrivée près d'un jeune homme qui avait quelques difficultées aux lancés de dagues, je me plaça à côté de lui.

-Fais attention, tu bouges trop ton coude et pas assé ton poignet. Quand tu lances une dague fait bien attention à avoir un mouvement fluide et à bien te concentrer.

Prenant une des armes en bois je lui fis une démonstration, l'arme se figea dans le second cercle central de la cible. Je lui tapota l'épaule puis repartit voir si d'autres personnes n'avaient pas besoin d'aide. Ravi je constata que mes élèves s'entrainaient plus vite par paire que tout seul sur un mannequin.

Soudain, j'entendis un bruit métallique. Métallique? Je me tourna mais pas assé vite. Deux adolescents avaient trouvé marrant de sortir de véritables armes malgré mon interdiction à se sujet. Et, évidemment, l'un des deux impudents avaient réussi à désarmé l'arme du second en un grand arc de cercle. Une belle maneuvres certe mais dangereuse. Partant au quart de tours je rata la lame d'une vingtaine de centimètres, elle partit donc droit vers un jeune homme. Par instinct ou par réflèxe le jeune élève rattrapa la lame de sa main libre.

Bientôt une odeur de sang vint me titiller les narines. Je soupira puis m'approcha du jeune homme et posa ma main sur son épaule.

Ca va aller?

Le soulevant à moitier avec ma main, je me tourna vers les deux fautifs en les fusillant du regard une fois qu'il fut relever.

-Qu'est-ce qui vous a pris de prendre vos armes? Je l'avais formellement interdit pourtant. N'espèrer pas vous en sortir indemne, nous allons nous rendre chez la directrice pour voir quel sera votre sentence.

Après cette petite tirade je me tourna vers le blessé.

-Viens, je t'emmène à l'infirmerie.

Pas besoin de regarder la blessure, rien que la forte odeur de sang m'informait que la blessure saignait abondamment. Après m'être retrouvé avec les trois gaillards sur le pas de la porte, je pointa Kei, la jeune élève que j'avais rencontrer à la piscine et un petit gars aux cheveux noir et aux yeux d'argent.

-Vous deux, je vous confie la classe pendant mon absense. Je vais prévenir un surveillant pour qu'il vienne mais en attendant pas de grabuge.

Laissant un regard froid et sévère dans chaque paires d'yeux que possible, je me détourna en poussa les trois garçons dans le couloir en laissant la porte entr'ouverte.

Je regarde toujours bêtement ma main, quand quelqu'un me touche l'épaule. Il s'agit de Daisuke Gisen l'enseignant.

- Ca va aller?

- J'ai connu pire.

La réponse est un peu ironique, les cicatrices dans mon dos prouve que cette coupure n'est pas la pire blessure que j'ai eu. Il commence a disputé les deux responsable de l'accident, ma main commence enfin a réagir a la blessure, sa commence a piqué un peu.

- Viens, je t'emmène à l'infirmerie.

Je n'ai pas le temps de dire quoi que se soit que je suis traîné de force a le suivre. Je n'en veux pas aux deux personne responsable, ils m'ont prévenu du danger au moins, sinon sans sa je l'aurais eu dans le dos cette fichu épée. Mon dos et les épées semble s'attiré, enfin bref. Une fois arrivé a l’infirmerie, je reçois les premiers soin. Puis je fixe Daisuke.

- Je cicatrice bien, je devrais pouvoir remanié l'épée avec cette dans quelque jour.

L’infirmier avait préparé du thé, mais par une maladresse de sa par, le thé bouillant fini par se renverser sur moi. C'est chaud non d'un chien ! Il s'excuse, puis me demande d'enlevé ma chemise et me donne un t-shirt blanc pour que je ne reste pas a moitié nue. Pendant les quelque seconde ou je me change mes cicatrices dans le dos son visible, je ne les caches pas particulièrement, mais je ne les montres pas sur tout les toit non plus.
Une fois changé je remarque que mon agresseur au thé chaud était parti cherché de quoi pouvoir nettoyé l'endroit. Le petit silence n'étant pas agréable je décide de le rompre avec une question de plus banal.

- Daisuke-sensei, pour un enseignant beaucoup de fille on le béguin pour vous. Et enseignant a l'académie, je vais pas vous mentir je suis légèrement jaloux pour ses deux choses la.

Finalement ce n'était pas vraiment une question, je serre ma main blessé pour voir si forcé me fait mal. Mais je ne suis pas surpris du résulta, sa fait vraiment mal. Enfin bon, je saisie mes deux armes et je décide de sortir de la pièce. A peine le pied dehors qu'une fille roquette me rentre dedans, mauvais réflexe je me rattrape avec la main qu'est blessé. En même temps je n'avais pas le choix, mais maintenant je fais une grimace digne d'un enfant de trois en train de s'amuser, sauf que moi c'est la douleur qui me fait faire cette tête.
Je ne suis vraiment pas chanceux aujourd'hui on dirait. Qui sait quels genre de truc du genre m'attends. Je fixe la fille, elle se frotte la tête en disant ''Aie Aie''.

- Je crois que je vais allers finir ma journée dans mon lit moi.

La cloche sonne, c'est toujours agréable d'être surpris par la cloche des cours. J'avais pas vu le temps passer depuis que je suis sortir du cour. Autant avoir Daisuke avec moi, autant lui posé des questions sur comment devenir enseignant ici.

- Excusez moi Daisuke, mais j'aurais quelque question a vous posez sur le boulot d'enseignant a la Zenshi Institute. Que direz-vous d'en parlé autour d'un repas ?

Alors que je m'acquis de la gravité de sa blessure, l'élève me répondit qu'il avait connu pire. Même si ce n'était qu'une égratignure je n'allais tout de même pas le laisser la à se vider d'une partie de son sang, après tout ça risquait et de l'affaiblir inutilement, de ne pas être très bon pour sa santé, de salir le matériel et ferait une jolie petite tâche.. Rouge, sur mon dossier. Je lui dis donc que je l'emmenais à l'infirmerie et le pris par l'épaule pour le soutenir à moitié (On ne sait jamais.). Petit sermon au deux rigolos, choix de deux élèves "responsable" puis direction l'infirmerie. Au passage je m'arrêta devant le bureau de la directrice pour y "déposer" les deux malfrats. Après un résumé de la situation je les laissa au bon soin de madame Fujihara et reparti avec le petit blessé. Une fois arrivé à l'infirmerie, une infirlière à l'apparence elfique le pris sous son aile et commença à le soigner. Voyant que je ne servais pas à grand chose, je partis chercher un surveillant pour surveiller la classe durant mon absence, on ne savait jamais que pouvait faire les élèves, même avec deux "délégué à la surveillance" puisque je n'en avais croisé aucun sur le chemin. Une fois cela fait (malheureusement je n'étais pas tombé sur Alexander) je retourna à l'infirmerie.

La-bas, l'adolescent me fixa un temps avant de dire, peut-être une manière de ma rassurer vu que j'étais légèrement anxieux tout de même, après tout si déjà maintenant les élèves se blessaient alors qu'est-ce que ce serai vers la fin de l'année? Evidemment j'aurais déjà du faire plus attention..

- Je cicatrice bien, je devrais pouvoir remanié l'épée avec cette dans quelque jour.

Je lui fis un sourire conciliant mais n'eu pas le temps de répondre quoi que se soit que l'infirmier qui lui avait préparé un thé bouillant le laissa tombé droit vers l'étudiant. Après s'être excusé le soigneur lui donna un t-shirt blanc pour lui permettre de ne pas s'ébouillanter le corps plus longtemps. Il enleva donc sa chemise pour mettre le t-shirt, montrant deux cicatrices, probablement de guerre, dans son dos. Entre temps l'infirmier était parti chercher de quoi essuyer le thé à terre, installant un silence tangible dans la pièce. Alors que j'allais partir, après tout il était entre de bonne mains, il dit.

- Daisuke-sensei, pour un enseignant beaucoup de fille on le béguin pour vous. Et enseignant a l'académie, je vais pas vous mentir je suis légèrement jaloux pour ses deux choses la.

Le béguin.. Pour moi? Il fallait dire que je n'en faisais pas grand cas, après tout c'était interdit. Jaloux? De moi? J'en resta légèrement coi , ne sachant que répondre. En même temps qu'y avait-il à répondre à cela? Le silence revint. Perdu dans mes pensées, je ne vis pas tout de suite qu'il s'était levé. Levant un main pour le coucher à nouveau je dis.

-Il vaudrait mieux que tu restes assis.

A peine ai-je dit ces mots qu'une jeune femme le percuta de plein fouet. La jeune femme tomba mais j'eus le temps de rattraper le jeune Kaen in-extremis. Le relevant d'un bras, je le conduis à son lit pour qu'il puisse s'y asseoir.

- Je crois que je vais allers finir ma journée dans mon lit moi.

Je lui souris, légèrement amusé. Ce n'était pas vraiment faux. Soudain la cloche sonna, il s'était déjà passer autant de temps? Apparemment oui. Je jette un coup d'oeil au gamin et, comme l'infirmier était de retour, me retourna pour partir préparer mon cours de l'après-midi lorsque je fus interrompus dans mon geste par ses mots.

- Excusez moi Daisuke, mais j'aurais quelque question a vous posez sur le boulot d'enseignant a la Zenshi Institute. Que direz-vous d'en parlé autour d'un repas ?

Je tiqua légèrement à l'entende de mon prénom mais n'en fit pas cas. Un repas? Pourquoi pas. Mon estomac répondit plus vite que moi en émettant un petit grondement.

-Pourquoi pas? A la cafétéria ?

Un peu forcé a allers a l’infirmerie. Je fini au petit soin, par accident le soigneur n'arrange pas les chose, mais je n'étais pas vraiment énervé. J'étais même plutôt calme. J'avais tenté de me levé, mais en vain, le blond m’empêche de faire quoi que se soit.

-Il vaudrait mieux que tu restes assis.

Je ne pouvais pas vraiment m'opposé contre lui, un élève reste un élève. Et je ne suis pas quelqu'un qui veut se mettre a dos un enseignant. Suite a ma demande pour discuté autour d'un repas était une bonne idée et celle-ci plus aussi a Daisuke qui propose un endroit.

- Excusez moi Daisuke, mais j'aurais quelque question a vous posez sur le boulot d'enseignant a la Zenshi Institute. Que direz-vous d'en parlé autour d'un repas ?

-Pourquoi pas? A la cafétéria ?

- On se rejoint la-bas a la pause déjeuné alors.

Il était 11h46, la sonnerie n'allais pas tardé, mais il devait retournée au près de la classe pour les surveiller, il me laissa sous bonne garde. Un peu avant la sonnerie je décide de quitté l’infirmerie en douce, histoire d'arrivé dans les premiers de la file d'attente pour acheté son petit sandwich, je m'installe a une table pour deux le temps que Daisuke arrive. Plusieurs personne passe a côté de moi en m'ignorant, d'autre parle de moi dans mon dos au sujet du carnage dans la fôret, mais il semblerait pas assez a voix basse et d'autre m'ignore et mange tranquillement.
Mon repas fini, j'attend toujours avec un jus dans les mains, je regarde par la fenêtre le beau temps qui commence a se dégradé.

- On se rejoint la-bas a la pause déjeuné alors.
J'hocha la tête puis parti, le laissant au bon soin de l'infirmier. Une fois de retour dans la classe, je leur donna quelques exercices simples pour les entraîner puis donna des conseils à ceux qui en avait besoin tout en observant leur niveau pour tenter de leur donner des adversaires à leur niveau. La cloche sonna, libérant les élèves pour la pause déjeuner. Je me rendis à la cafétéria, pris mon plateau que je rempli puis parti à la recherche du jeune Goldrun.

Après avoir jeté un coup d'oeil circulaire dans la salle, je le vis sur une table de deux personnes et le rejoignis. Je m'assis en face de lui en lui souriant avant de dire.

-Alors, quels sont tes questions?

En attendant une quelconque question de sa part je commença à manger mon plat, commençant par par le gratin dauphinois. Les cheveux noirs, le jeune homme avait les yeux foncés. Portant son uniforme, je n'aurais su dire qu'elle était son style vestimentaire, bien qu'il ne me sembla pas être du genre à porter des cravates et à toujours être sur son trente et un.

-Alors, quels sont tes questions ?

- J'ai entendu certaine rumeur a votre sujet.

L'expression du visage avait complètement changé, de l'idiot dans les nuages a celui d'un sérieux incomparable. Les loup-garou n'était pas vraiment quelque chose que j'apprécier, ni que je détesté, mais d’après les légendes, les contes ou autre histoire dans le genre, les lycans étaient de redoutable animal autant craint qu'admiré. Je dépose sur la table une tige en argent que je fais glissé juste qu'a mon conjoint de table. Juste pour lui faire comprendre le sens de quels rumeurs j'avais entendu parlé a son sujet.

- Je n'ai rien contre ''vous'' personnellement, des humains sont pire que des bêtes des fois. De loin je rabaisse votre deuxième moitié, mais je suis intrigué par tout ses légendes et histoire a ce sujet. Mais la question que je me pose c'est quoi-je me méfié la nuit ou non ?

Je fixe ses yeux, pour voir si il décide d'esquivé la question ou non, j'avouerais que je suis plutôt directe, mais je pense que c'est la meilleur solution pour savoir ce que je veux savoir.


HRP ; Désolé bug, je suis dégouté d'avoir perdu mon long poste donc j'ai fais un resumé ><

Une fois que nous fûmes installé, je lui demanda qu'elle était ces fameuses questions qu'il souhaitait me poser. Le garçon n'hésita pas deux secondes et répondit d'un ton direct et sérieux.

- J'ai entendu certaine rumeur a votre sujet.

J'arqua un sourcil, imperturbable, croisa les jambes ainsi que les bras et attendit la suite. Je n'accordai que peu de foi aux différentes rumeurs qui circulaient dans l'école comme celle selon quoi un des professeurs de Zen'shi voulait former une bande d'élèves pour dominer le monde. Les rumeurs n'étaient basés que sur des on-dit et étaient majoritairement absurde. Le jeune homme sorti une petite tige sur la table qu'il fit glissé vers moi. Je n'y jeta pas même un coup d'oeil, ma main proche de l'argent m'avait averti contre la menace que ce petit bout de métal représentait. Restant neutre, je continua à le regarder droit dans les yeux. Voila donc le contenu de la rumeur dont il avait parlé il y a peu.

- Je n'ai rien contre ''vous'' personnellement, des humains sont pire que des bêtes des fois. De loin je rabaisse votre deuxième moitié, mais je suis intrigué par tout ses légendes et histoire a ce sujet. Mais la question que je me pose c'est quoi-je me méfié la nuit ou non ?

Je ne bougea pas d'un poil, c'était le cas de le dire. Évidemment que les élèves devaient se poser des questions à mon sujet, mais de là à montrer qu'il avait les moyens de me menacer pour que je réponde à ses questions ? Je retint un soupir d'exaspération et me leva avec gravité pour me retrouver debout face à lui. N'attendant pas une seconde de plus pour ne pas entretenir un silence qui pouvait sembler peureux, je lui répondis :

-Sachez, monsieur Kaen, que non vous n'avez rien à craindre. N'avez-vous pas pensez que la directrice avait pris cela en compte lorsqu'elle m'a engagé ? Mon regard se durci, lui montrant que cela n'était pas une question anodine qu'on pouvait lancer sur le ton de la conversation. La prochaine fois, veuillez à prendre tout les paramètres en compte avant de poser des questions incongrues et impolie. Et, finalement, sachez qu'on ne peut pas menacé un professeur impunément.

Je me retourna et, laissant mon plateau vide sur la table trop proche de l'argent, me rendis vers la porte. Je ne savais pas comment le jeune homme allait le prendre mais je n'avais pas à flancher inutilement. Le laissant donc assis seul sur la table, j'avais maintenant presque atteint la sortie dans le flot incessant d'élèves.

-Sachez, monsieur Kaen, que non vous n'avez rien à craindre. N'avez-vous pas pensez que la directrice avait pris cela en compte lorsqu'elle m'a engagé ? Son regard se durci, me montrant que cela n'était pas une question anodine qu'on pouvait lancer sur le ton de la conversation. La prochaine fois, veuillez à prendre tout les paramètres en compte avant de poser des questions incongrues et impolie. Et, finalement, sachez qu'on ne peut pas menacé un professeur impunément.

Il réagit qu'une manière assez amusante, j'ai hâte de voir la suite des évènements, je me lève laissant mon repas sur la table, j'avais pris simplement le brique de jus. Je rattrape l'enseignant que j'avais un peu mis sur les nerf surement. Je ne le touche pas, mais je passe devant lui en tournant le dos a la sortir de la cafétéria et en le regardant.

- Je n'ai fais aucune menace, j'aimerais juste savoir qui est vraiment Daisuke Gisen. Je plongais mon regard dans le sien, les yeux ne peuvent mentir, elle montre la détermination avec la quels j'ai l'intention de ne pas en resté la.

Je sors en premier, a lui de choisir s'il veut me suivre ou non, je ne le force pas a me suivre. Je me rend dans la cour, regardant si l'enseignant m'avais suffit je m'installe tranquille sur un banc avec le sourire, les yeux plongé dans les vastes cieux. D'apres vous quelqu'un nous surveille d'en haut ? Je prefere largement les ciel remplie d'étoiles, on peut s'y perdre facile avec une douce brise.

L'adolescent paru plus amusé qu'autre chose par ma réponse, c'était vraiment agaçant. Après que je me fus levé, lui aussi laissa son plateau tel quel sur la table, n'emportant qu'un jus de fruit. Bon, et bien.. En espérant que cela n'était pas trop grave. Le jeune homme me rattrapa mais passa devant moi plutôt que de m'arrêter. Un choix judicieux pour lui. Se retournant pour pouvoir me regarder en face, il dit :

- Je n'ai fais aucune menace, j'aimerais juste savoir qui est vraiment Daisuke Gisen.

Ses yeux trahissaient une détermination presque maladive. Il était idiot. Le jeune Kaen se rendit dans la cour où il s'assit, observant la voûte céleste. Mieux valait clarifier les chose une bonne fois pour toute plutôt que de le laisser imaginer n'importe quoi. Je me posta face à lui, bras toujours croiser, et tapota mon doigt sur mon coude.

-Premièrement, je ne répondrais pas aux questions indisposées, deuxièmement, n'espère rien savoir de mon passé et troisièmement fait vite...

Au fur et à mesure que je parlais, mes doigts énuméraient les conditions. Je soupira une dernière fois, toujours debout face à lui et plongea mon regard bleu arctique, aussi sauvage et déterminé que la mer dont il tirait le nom. J'attendis la première de ses questions tout en restant stoïque.

-Premièrement, je ne répondrais pas aux questions indisposées, deuxièmement, n'espère rien savoir de mon passé et troisièmement fait vite...

Je ne pouvais pas m'empêché de sourire, mais je n'avais pas une tonne de question a lui posé, mais seulement une seule. Suite a réponse je leva l'index puis je dis fermement.

- Une seule question suffira. Croyez-vous au destin ? Celui qui dicte chacun de nos pas dans ce monde.

Naturellement on pouvait s'attendre a une question a son sujet, alors pourquoi j'avais posé une question aussi étrange ? Parce que cette seule question permet de comprendre le personnage au quels on est confronté. J'avais fini cul sec ma brique, je tourne la tête a la recherche d'une poubelle, quand j'en aperçois une je lance la déchet en question, il entre du premier coup. J'étais content pour quelque chose d"aussi insignifiant, mais ne faut-t-il pas s'amusé des petites choses de la vie ?
Je me retourne vers celui que j'avais questionner, après avoir eu ma réponse, j'avais prévue de partir, sauf si il m'en empêche.

Suite à ma phrase le jeune homme.. Sourit. Il était vraiment agaçant. Croisant les bras, je tapota mon index contre mon coude en attendant la première de ses fameuses questions. Il leva un index comme je l'avais fait avec lui précédemment et dit fermement.

- Une seule question suffira. Croyez-vous au destin ? Celui qui dicte chacun de nos pas dans ce monde.

J'haussa un sourcil, restant muet un instant durant lequel il finit sa brique de jus de fruit et la jeta dans une poubelle où elle atterri droit en son centre. Décroisant les bras, je porta négligemment ma main vers la lame courte qui m'accompagnait toujours et le fixa droit dans les yeux. Ce garçon n'était pas comme les autres, comme tous dans cet institut, mais celui-ci ce permettait presque d'être insolent. Après avoir laissé la tension monter et les minutes s'égrenées, je finis par lui répondre:

-Oui, je crois au destin. Au destin aux différents choix. Au destin aux différentes branches. Au destin indéfini. Il ne peut pas y avoir qu'un seul chemin dans notre vie, se serait trop facile. Nous avons des épreuves à surmonter, des choix à prendre. Ce n'est pas pour rien.

Légèrement sur le qui vive, lui-même semblait près à prendre le choix de partir. Je soupira. La première intuition n'était pas toujours la bonne et il aurait été malheureux de me baser sur une rencontre d'une dizaine de minutes pour le juger. Soupirant un bon coup, je lui demanda.

-Et toi ? Crois-tu au destin ?

Je n'attendis pas qu'il me réponde pour lui indiquer en pointant du doigt un banc au travers d'une vitre exposant les jardins.

-Allons-nous asseoir, nous serons mieux installé si tu veux entrer dans le vif du sujet.

À peine ses mots dit, je me rendis à l'endroit dit en faisant de grandes enjambées; Ce n'est qu'une dizaine de mètres plus loin que je jeta un coup d'oeil pour voir s'il me suivait. Une fois assis sur le-dit banc, j'attendis sa réponse, tant attendue.

-Oui, je crois au destin. Au destin aux différents choix. Au destin aux différentes branches. Au destin indéfini. Il ne peut pas y avoir qu'un seul chemin dans notre vie, se serait trop facile. Nous avons des épreuves à surmonter, des choix à prendre. Ce n'est pas pour rien.

- Donc si je venais a vous agresser avec mes armes, ou que je tente de vous embrasser par surprise cela aurait un impacte sur votre destin.

-Et toi ? Crois-tu au destin ?

- Croire est un grand mot, mais je dirais que je pense comme vous.

-Allons-nous asseoir, nous serons mieux installé si tu veux entrer dans le vif du sujet.

Je suivi le blondinet, puis une fois installé je me permet de reprendre la conversation. Mais cette fois je dis mes véritables intention.

- J'aimerais avoir votre place a vrai dire, aucune autre place est disponible pour cette discipline. Alors je voulais voir comment est le magnifique Daisuke enseignant des armes blanche.

Le regardant, je me leve et je regarde le ciel, puis mon regard est attiré par un groupe de voyou qui n'a que trop l'habitude t’embête les faibles, un jeune homme avec des lunettes est un peu leur cible, je saisie une pierre via le sol puis je décide de le lancé sur les idiots, je fis un double. Attirant leur attention, leur provocation habituelle s'installe, mais les rumeurs a mon sujet son souvent utile dans ce genre de situation que les voyous recule de quelque pas subitement apres m'avoir reconnu.

- Tu est le monstre de la forêt !

Un deuxième pris la parole.

- C'est Daisuke derrière-lui ! Partons avant d'avoir des ennuies !

Daisuke allait-t-il les laissé partir ? Etant éléve je n'ai pas droit de les cogner devant un enseignant, mais s'il m'attaque je ne ferais que me défendre n'est ce pas ?

Je lui donna ma réponse, le plus sincèrement possible et auquel il répondit sans hésiter.

- Donc si je venais a vous agresser avec mes armes, ou que je tente de vous embrasser par surprise cela aurait un impacte sur votre destin.

Je souris faiblement, une réponse on ne peut plus classique.

-Je dirai plus sur le tien et ton avenir..

Je lui posa donc la même question, pour connaître son point de vue personnelle sur ce sujet dont les plus grands sages y débattaient encore. Il choisit une réponse un peu.. Facile.

- Croire est un grand mot, mais je dirais que je pense comme vous.

Excédé, je lui intima plus que je ne lui proposa d'aller nous asseoir sur un banc à l'extérieur, un peu plus loin.

- J'aimerais avoir votre place a vrai dire, aucune autre place est disponible pour cette discipline. Alors je voulais voir comment est le magnifique Daisuke enseignant des armes blanche.

J'haussa un sourcil, les bras croisés. Le visage impassible, je lui répondis du ton le plus neutre possible.

-Si tu souhaites ma place... Il faudrait que je démissionne, que tu attendes ma mort.. Ou que j'ai un accident. Qui plus est, la directrice n'accepterait certainement pas le premier venu ni un enfant. Et si tu veux avoir comment est monsieur Gisen, le professeur d'arme blanche, tu l'as dit toi-même.

Je dis ma dernière phrase un sourire aux lèvres, peut-être comprendrait-il cette légère pointe d'humour. Ou pas. Il me regarda, se leva et commença à observer le ciel. Après quelques instants durant lesquel nous restâmes silencieux, son regard se tourna vers une bande d'étudiants dont les conseils de classes étaient souvent... Chargés. Un jeune homme seul passa un peu trop près d'eux, réveillant leur habituel "rivalitée" contre ceux qu'ils considéraient plus faible que et souvent, seul. Alors que j'allais me lever, Goldrun prit une pierre et la lança dans leur direction, sa pierre heurtant deux gamins de la bande. Ceux-ci détournèrent leur attention ainsi que celui du reste de la troupe pour à présent la maintenir vers nous deux. Je soupira, ce Kaen n'était vraiment pas diplomate.. Quelques un reculèrent après avoir identifier leur "opposants".

- Tu est le monstre de la forêt !

- C'est Daisuke derrière-lui ! Partons avant d'avoir des ennuies !

Goldrun semblait indécis de la décision à prendre, peut-être par peur de me déplaire. Me relevant doucement, je laissa le petit groupe de malfrats prendre un peu d'avance. L'espoir leur donnait des ailes. Les bras croisés je les laissa entrer dans le bâtiment. Je compta calmement à voix basse.

-Un... Deux... Trois.

J'étais déjà à la moitié du chemin, laissant l'étudiant seul près du banc. Trois secondes plus tard j'avais rejoins les mécréants et le temps que Goldrun nous rejoigne ils étaient tous bien attaché.

-Reste ici, je vais chercher un surveillant pour les emmener. Pas de bêtises.

Je partis donc dans les nombreux couloirs en direction de leur bureau, laissant les adolescents ensemble le temps de quelques minutes.

-Je dirai plus sur le tien et ton avenir..

Le sourire au lèvre et content d'avoir pu placé cette phrase Daisuke avait donc un léger sourire sur le visage. Je vois que cet enseignant avait le mérite d'être amusant. Puis il venu ou il répondit sur le faite que je souhaite avoir sa place dans l'académie.

-Si tu souhaites ma place... Il faudrait que je démissionne, que tu attendes ma mort.. Ou que j'ai un accident. Qui plus est, la directrice n'accepterait certainement pas le premier venu ni un enfant. Et si tu veux avoir comment est monsieur Gisen, le professeur d'arme blanche, tu l'as dit toi-même.

- Oh mais j'ai le temps, comme vous le dit je suis encore jeune. Vous pourrez démissionner dans quelque année.

Dis-je avec un ton plaisantin, il est normal que je ne le force pas a partir ou quitté son poste par pur caprice de ma part, mais sa réponse semble remplie d'humour, je décide de le suivre dans ce petit manège amusant. Puis maintenant c'était au tour des abrutis, après avoir pris la fuite Daisuke pris le temps de compté juste qu'a trois. Je commence a tombé amoureux de cet enseignant, il m'amuse plus que les autres. A peine le temps de le rejoindre qu'il avait deja fini, puis il me demande de gardé un oeil sur eux le temps qu'il revient.

-Reste ici, je vais chercher un surveillant pour les emmener. Pas de bêtises.

- Oui oui Dai-sensei.

Une fois partie je me retourne vers les deux abrutis, puis je dégaine doucement mon épée de son étuie.

- Alors on veut jouer les petits rebelles ?

Le temps que Daisuke reviens je pratique plusieurs torture mental a nos deux amis, puis a son retour avec quelqu'un, j'étais tranquillement assis a côté et les deux jeune homme semblait être conscient mais absent, comme s'il avait eu un grand choc.

- Dai-sensei, vous revoila enfin. Vous aviez fini par me manqué vous savez. Dis-je d'un ton taquin.


( Désolé Daichou j'avais pas d'imagination pour la suite donc j'ai suspendu puis zappé >< )