Deux combattants. PV Cybella.

Un matin je me lève avec une drôle d'impression, comme si j'avais oublié quelque chose la veille et que je devais faire aujourd'hui. Peu importe, je m'habille normalement comme chaque matin, je prend mon petit déjeuné dans la cafétéria puis je me dirige vers le cour que j'ai a huit heures. L'enseignant est absent, bon je vais devoir me promené j'avais cour avec lui toute la matinée. Je me balade dans toute l’institue, j'observe chaque mouvement des élèves et des surveillants, rien de passionnant, mais j'aime resté a regarder les gens sans raison. Je change d'endroit a plusieurs reprise, puis je passe devant la boutique de l'école. Je n'avais jamais mis les pieds dans leur boutique, j'entre tranquillement dans le magasin, choix en tout genre d'arme et d'armure. L'un des vendeurs semble être un étudiant, un peu trop agressif a mon goût il me propose déjà d'essayer l'un des épées du magasin, il avait remarquer que j'étais un épéiste en quelque seconde. Un peu forcé j'accepte de l'essayé, il me présente une cible, il s'agit d'un épouvantail fait en métaux, il m'assure que je pouvais me donné a fond, la lame n'allais pas se cassé. J'enchaîne trois coup de suite, l'un a la tête, l'autre au torse et le dernier au niveau du ventre. L'épée est légère comme tout, puis suite au quelque coup porté a la cible on peut entendre un petit ''crack''. L'épée n'avait pas explosé, mais elle était abîmer, le vendeur n'en revenait pas du tout, pourtant que m'était pas retenu comme il me l'avait demandé.

- Mon ... mon épée ... Dit-il larme a l'oeil.

- Désolé, j'y suis allers un peu fort.

Le vendeur était un peu triste, d'avoir ratée son épée ? Ou que je l'ai abîmé ? Qui sait. Je décide de quitté les lieux quand une jeune demoiselle au cheveux roux entre dans le magasin, je remarque rapidement qu'il s'agit d'une elfe, les signe ne trompe pas. Un autre étudiant non loin d'elle déplace plusieurs dague qui son stocké dans un carton depuis une échelle, étant en train de regardes les article de la vitrine l'elfe n'allais surement pas voir que le jeune étudiant fait tombé l'une des dagues et qui se dirige dangereusement sur elle. Devrais-je dire par réflexe ? Je ne sais pas, mais je sors l'une de mes épées pour la jetée telle une flèche pour dévié la dague qui tombe sur la demoiselle. L'épée fini dévie la dague et fini planté dans le mur. Je soupir de soulagement de voir que je me suis pas loupé dans mon lancée. Puis je regarde l'elfe que n'a peut-être pas compris la situation.

À huit heures tapantes, l’elfe se réveilla encore un peu endormie vu les péripéties qui l’avaient conduite à l’Institut. Une fois habillée comme elle l’était toujours, soit un pantalon de camouflage vert kaki, un foulard orange attaché à ses hanches, un haut assez court du même kaki recouvert d’une sorte d’armure au niveau de la poitrine, un gant sur le bras gauche et des bandages sur son épaule et sur son avant-bras droit. Finalement, elle coiffa ses cheveux d’un bandeau brun sur le front. Ainsi toute arrangée, simpliste pour sa première journée hors de la forêt, elle monta au deuxième étage pour aller à la boutique, ce devait bien être là qu’on se procurait l’uniforme de l’école, non? Et bien, c’était la pensée de Cybella et elle pourrait surement demander au caissier qui s’y trouverait où c’était pour les uniformes.

Une fois arrivé près de l’embrassure de la boutique, elle vit quelques armes ici et là qui attirèrent son attention. Elle n’avait pas mis tout son argent dans la poche qu’elle maintenait dans sa paume, mais elle pourrait certainement en avoir assez pour les deux dagues dans une vitrine tout près. Alors qu’elle allait entrer, elle entendit deux voix, celle d’un vendeur et à ses dires, un épéiste. Elle les épia, restant un peu en retrait ne voulant pas se faire remarquer. Elle ne voulait pas se faire remarquer tout simplement car les deux semblaient des étudiants et elle ne voulait pas leur demander où se procurer les uniformes, car juste à l’œil, on voyait bien que ce n’était pas là que se trouvait les pulls, les tricots, les jupes et les bas de l’uniforme. Elle allait rebrousser chemin et revenir plus tard quand l’épéiste porta son premier coup à la tête de l’épouvantail en métal. Il avait pris un élan parfait, la vitesse et la puissance avec laquelle le jeune homme frappa la cible à trois reprises fit ouvrir la bouche et les yeux de l’elfe qui n’avait jamais vu de tels coups.

C’est à cet instant qu’elle se rappela qu’elle ne devait pas rester plantée là sans rien faire si elle voulait être un jour comme lui. Elle lui demanderait de lui enseigner. Il était la personne parfaite, elle ne voulait pas personne d’autre, ça serait lui! Elle entra donc dans la boutique alors qu’il semblait vouloir quitter les lieux. Elle n’était pas du genre à faire demi-tour, mais maintenant qu’elle regardait son plan premier, elle voyait bien qu’il ne marcherait pas. Marcher vers lui, lui demander de lui enseigner… Oui, c’est sur que si elle tombait sur un superficiel elle le regretterait ou pire si elle tombait sur un Don Juan sans scrupules. Elle devait d’abord savoir comment il était. Et ne voyant pas d’autre option plus intelligente, elle se décida à se faire passer pour une surveillante. Elle avait bien remarqué que le jeune homme ne portait pas la cravate de la tenue obligatoire, alors voilà! Elle se décida à regarder de nouveau le garçon qui la regardait maintenant à son tour. Avoir été une fille plus gênée, elle aurait certainement rougit au lieu de quoi elle promena son regard jusqu’à son torse. Bien qu’elle n’était pas plus grand que lui, et loin de là d’ailleurs, elle prit sa voix la plus adulte pour essayer de faire gober qu’elle était une surveillante. Ne pas avoir l’uniforme l’aidait en quelque sorte. Après tout, vu ses oreilles et vu le cours de Bêtes et Créatures, il devait savoir que les elfes ne faisaient pas leur âge, cet aspect l’aiderait surement.

-Jeune homme, je crois que vous avez oublié de m’être la cravate de la tenue de notre Institut…

C’était bien beau, mais maintenant que devait-elle faire? Non pas qu’elle essayait vraiment de s’arranger un rendez-vous, à moins que se soit un rendez-vous pour apprendre à se battre, avec lui ou quelque chose de vraiment embarrassant, d’ailleurs ça serait un honneur pour elle d’entendre quelqu’un lui demander des conseils, c’était gratifiant et flatteur, non? Elle regarda alors la vitrine qui lui faisait dos, se souvenant que c’était les dagues dans cette vitrine et vit l’épée avec laquelle s’exerçait le garçon il y a à peine quelques secondes dans le mur. Elle vit aussi une dague au sol et essaya vaguement de comprendre, sans le vouloir, elle se retourna vers l’étudiant et le regard avec un sourcil en l’air.

-Pouvez-vous me dire se qui vient de se passer?, dit-elle un rire aux lèvres en sortant finalement l’épée de cette place incongrue qu’était le mur.

Après que le jeune homme est eut l'aimabilité de lui expliquer, elle ne pu qu'ajouter:

-Vous me semblez un élève assez qualifié.

Alors que son approche semblait fonctionner, qu’elle pourrait peut-être pu dire qu’elle avait entendu parler d’une élève qui avait besoin d’un tuteur, un vrai surveillant toussota dans son dos.

-Où est passé votre uniforme, demoiselle?

Et bien, que pouvait-elle dire maintenant. Pour une rare fois, elle rougit un peu, et passa sa main dans son visage, comme pour enlever sa rougeur sans que ça marche. Elle regarda le jeune homme avec un regard suppliant pour lui venir en aide.

-Jeune homme, je crois que vous avez oublié de m’être la cravate de la tenue de notre Institut…

La jeune demoiselle semblait être une surveillante, ou une personne qui veut faire respecté la loi a tout pris, dans tout les cas elle va me faire passé un mauvais quart d'heure. Je tente de me justifié avec un minimum de crédibilité, l'excuse habituelle, je ne l'ai pas trouvé ce matin en me levant, ou quels a était découpé en morceau pendant un entrainement, etc... Apres l'incident passer, la demoiselle veut des explications, surement qu'elle est dans le flou vu quels n'avait rien vu de son angle. Je lui explique en détaille qu'une dague était dangereusement tombé vers elle et tout les détails qu'elle veut entendre pour assouvir sa soif de curiosité. Apres avoir entendu ce que j'avais a dire, elle dit un compliment, mais quelque chose d'amusant viens d'être dit juste derrière elle.

-Où est passé votre uniforme, demoiselle ?

Me regardant avec les yeux qui me supplie de l'aider de sortir de la mauvaise situation ou elle se trouve je laisse un sourire apparaître sur mon visage, je n'avais pas vraiment bonne réputation dans cette institutes, pour l’incident dans la forêt juste avant mon arrivé a l’institut et les rumeurs au sujet de Kei et moi. L'image des gens devait être d'un psychopathe qui tue et saute sur toute les jeunes demoiselle qui croise, cela m'étonnerais pas beaucoup si le surveillant me regarderais avec mépris. Je m'avance pour me mettre entre le vrai surveillant et la fausse, comme prévue la tête du surveillant change quand il me voit s'opposé devant lui, je répond calmement.

- Excusez la, elle vient l'acheté ce matin et c'est moi qui la guide. Vu qu'on a le temps, on regardait les différente arme mit en vitrine.

Je n'aimais pas du tout la réaction du surveillant, ce regard de mépris et la main sur son épée près a dégainé a n'importe quels instant, je n'avais mis aucune pression pourtant, je suis autant mal vue par les autre ? Enfin bon je m'en fiche un peu de ses idiots qui ne font qu'écouté les rumeurs droite a gauche. Avant de partir le surveillant regarde la demoiselle derrière moi pour la mettre en garde.

- Mademoiselle, je ne vous conseille pas de traîné avec quelqu'un comme lui, il n'a pas bonne réputation, alors si vous ne souhaitez pas être infecté par celle-ci acheté votre uniforme et trouvez quelqu'un d'autre avec qui faire les boutiques.

J'avais un peu envie de lui en collé une belle dans la figure, les poings serrez je me retiens pour ne pas craquer. J'avais pas envie qu'on dise également que j'agresse les membres de l'ordre de l'institue. Je me tourne vers la jeune demoiselle avec quelque question a cause de son comportement de tout a l'heure a mon sujet.

- On me critique pour ma cravate, mais on n'a pas son uniforme au complet. Dis-je avec un petit rire.

Je l'aide a trouvez l'endroit de la boutique pour les uniforme féminin, une fois la bas j'attend quels mis un uniforme pour savoir qu'allait se passé ensuite.

Dès que Cybella l’avertit, le garçon sort une excuse assez facile selon elle, après tout, elle savait quand les gens mentait, car elle aussi elle savait mentir, elle l’avait longtemps fait pour expliquer pourquoi elle ne rentrait pas le soir à la maison, par exemple. Elle l’avait écouté d’une oreille alors que ses yeux étaient émerveillés par les dagues de la vitrine.

Finalement, l’intervention d’un vrai intervenant fit changer la donne. Voilà qu’elle le regardait d’un regard suppliant, alors que lui il lui souriait. Pas moqueusement, sinon, elle aurait été du genre à lui mettre son poing dans la figure, bien que le surveillant derrière elle l’aurait certainement punie… Bon, finalement, le garçon l’aide, encore une fois. Elle allait vraiment lui être redevable aujourd’hui… Il lui avait sauvé la vie, il l’aidait avec un surveillant et elle allait lui demander quelque chose! Il se plaça entre elle et le surveillant lui cachant la vue, car le garçon avait un bon 20 centimètres en plus. Elle s’accrocha au bras du garçon et sortit la tête de derrière la silhouette de Kaen et vu le regard de mépris du surveillant, même qu’il avait sa main sur son épée prêt à dégainer, mais c’était quoi ça? Quel genre de surveillant il y avait ici? C’était une voute verbale et elle espérait que ça en resterait ainsi. Elle fut soulagée lorsque le surveillant allait pour partir avant qu’il ajoute quelque chose qu’elle jugeait déplacé.

-Mademoiselle, je ne vous conseille pas de traîné avec quelqu'un comme lui, il n'a pas bonne réputation, alors si vous ne souhaitez pas être infecté par celle-ci acheté votre uniforme et trouvez quelqu'un d'autre avec qui faire les boutiques.

Alors qu’elle avait encore la main sur l’épaule du garçon, elle sentit ses muscles se contracter. Elle resta un peu surprise, les elfes n’agissaient jamais ainsi, jamais ils n’avaient des réactions aussi fortes, elle regarda le visage du garçon, et ne sut pourquoi, mais elle ne prit pas compte du commentaire de cet intervenant. Elle prit tout cela de façon très sérieuse et sut immédiatement quoi faire. Elle fit passer sa main dans la fente du tronc et du bras du garçon et mit les doigts de son autre main sur le poing serré du garçon, pour le calmer et l’apaiser, elle ne savait que trop bien ce qu’on pouvait ressentir lorsqu’on se faisait juger aussi hâtivement. Elle aimait bien le fait de voir ces émotions chez quelqu’un d’autre qu’elle, c’était une première.

-Il est bien gentil de votre part de me tenir avertie, mais je le connais depuis suffisamment longtemps pour le savoir, elle fit un clin d’œil aux deux garçons qui se faisait face et continua sur sa lancée. Je n’aimerais pas vous dire comment faire votre travail, mais je crois qu’il faudrait maintenant que vous vous occupiez des élèves plus perturbants que nous… Il est assez exagéré de porter votre main à votre arme pour deux étudiants sans armes comme nous qui ne faisaient que les boutiques. Nous n’oserions point défier l’autorité, rajouta-t-elle en elfique pour ne pas trop provoquer l’intervenant qui ne comprit pas cette réplique vu son visage un peu confus.

Et il repartit comme il était venu, alors qu’elle se mit à rire. Le garçon n’avait certainement pas comprit, ou peut-être que si, mais elle ne connaissait que très peu d’autres espèces qui parlaient sa langue, peut-être des demis-elfes, mais sinon il était assez rare de voir cela. Était-il un demi-elfe? Sinon, peut-être que le garçon lui poserait la question... Elle continua tout de même à rfléchir. Vu ses coups, elle ne le crut pas, beaucoup de demi-elfe savait se servir habilement de leur longue épée, mais possédait-il cette chose qui s’appelait de la colère? Ils étaient tous si dociles et soumis qu’elle n’en croyait pas un seul instinct, mais qu’était-il pour avoir une force aussi romanesque? Elle voulut le savoir, mais le garçon se retourna vers elle qui avait un sourire encore un peu rieur et cette lueur de concentration dans le fond de ses yeux.

-On me critique pour ma cravate, mais on n'a pas son uniforme au complet.

Il se mit alors à rire un peu. C’était une question, c’était une critique, l’elfe ne prit pas de chance et se mit à expliquer le quiproquo.

-En fait, je suis nouvelle et je ne voulais pas demander où se trouvait les uniformes, mais il est arrivé et a, disons-le, fait rater mon plan.

Elle ne put s’empêcher avant que le garçon lui montre où se trouvait les uniformes. Elle regarda donc l’ensemble et vit des sous vêtements ayant l’emblème de l’Institut… Mais c’était quoi ça? Elle n’avait pas le droit à ses propres sous-vêtements, elle regarde le garçon perplexe avec dans la main un cintre soutenant un soutien-gorge.

-C’est une blague, non?

Elle prit la jupe par la suite et fut assez étonnée de la longueur, une fois sur elle, ça serait surement plus long se dit-elle. Elle prit une chemise, un complet, les longs bas, les chaussures appropriés et se dirigea vers la cabine d’essayage. Elle avait remarqué qu’il l’avait suivi et pendant qu’elle se changea derrière le rideau, elle décida d’employer la conversation.

-Bon, j’espère que le surveillant n’est pas un rapporte-panier, sinon il aura une autre histoire à raconter sur vous. Cette fois, elle se couvrit du rideau en sortant la tête en ajoutant: J’espère que vous n’avez pas de petite amie, si elle venait à savoir ça, elle ne pourrait pas trop apprécier, si vous voulez, je lui expliquerais.

Elle ne laissait que très peu de temps au garçon pour répondre, après tout, il n’aurait qu’à répondre d’un bloc se disait-elle. Elle mit alors tout l’uniforme et sortit, en tirant sur la jupe qu’elle trouvait vraiment courte. Elle se sentait nu, ça pourrait ne pas avoir de sens vu le chandail qui ne lui couvrait aucunement le ventre, mais bon, elle avait toujours des pantalons qui couvrait sa cicatrice sur sa cuisse gauche, qui partait du coté de son genou jusqu’à sa hanche. Elle se regarda dans le miroir et joncha sa main gantée et son bandeau brun qui jurait avec le reste. Elle retira donc son gant et son bandeau et alla prendre un pantalon dans la section des garçons.

-En passant, moi c’est Cybella, dit-elle en lui tendant la main avant de retourner dans la cabine pour enfiler les pantalons et de ressortir. Je crois que ça va être plus efficace lors des cours de combat, qu’en dites-vous?

Le pantalon était un peu grand, mais avec une ceinture, tout irait bien selon Cybella. Ce n’était pas super, mais bon, peut-être que Kaen saurait lui dire franchement ce qu’il en pensait. Elle voulu lui poser d'autres questions et lui parler de son idée, mais disons-le, elle ne voulait pas paraître désespérée ou aussi ouverte que l'avait été Miyake avec elle la veille.

Elle fit passer sa main dans la fente du tronc et de mon bras et mit ses doigts de son autre main sur mon poing serré, cette action m'avait un peu surpris sur le moment, le bon côté c'est que cela m'avait calmé a cause des paroles du surveillant.

-Il est bien gentil de votre part de me tenir avertie, mais je le connais depuis suffisamment longtemps pour le savoir. Puis elle continue sa phrase dans une autre langue, une langue elfique surement, j'étais aussi confus que le surveillant sur le moment.

J'apprécie déjà cette fille, elle n'a pas peur de répondre et de mordre s'il le faut, je crois qu'elle a largement mérité mon attention. Je suis curieux au point de mieux la connaitre, elle s'avait répondre avec plus d'autorité que n'importe qui sur cette académie cela ne fait aucun doute.

-On me critique pour ma cravate, mais on n'a pas son uniforme au complet.

-En fait, je suis nouvelle et je ne voulais pas demander où se trouvait les uniformes, mais il est arrivé et a, disons-le, fait rater mon plan.

- Ton plan ? Donc c'étais prévue tout cela, enfin sauf pour le gêneur. Qu'attendais-tu de moi ?

Je ne pouvais me retenir de laissé un petit sourire sur mon visage, cette demoiselle m'amusait beaucoup, même énormément. Les conversations s’enchaîne, elle se plaint des sous-vêtement obligatoire par l'institue.

-C’est une blague, non?

- Si une tenue est obligatoire, pourquoi pas dans les moindres détails ?

Une fois a côté des cabine d'essayage, la demoiselle prend la parole encore une fois, elle était un peu bavarde cette fille, mais je devrais pas me plaindre les sujets de conversation n'était pas bizarre ou incohérent.

-Bon, j’espère que le surveillant n’est pas un rapporte-panier, sinon il aura une autre histoire à raconter sur vous. Cette fois, elle se couvrit du rideau en sortant la tête en ajoutant: J’espère que vous n’avez pas de petite amie, si elle venait à savoir ça, elle ne pourrait pas trop apprécier, si vous voulez, je lui expliquerais.

- Ne t'en fait pas, les rumeurs sont toujours abusé, je n'y prête même plus attention avec le temps. Dis-je avec une voix calme. Je suis célibataire, tu n'aura pas besoin de te justifié devant quelqu'un. Dis-je en lui tournant le dos et tentant de pas éclaté de rire.

Elle sortie de la cabine avec la tenue de l'institue, elle demoiselle avait de jolie jambe, on pouvait remarqué des cicatrice a sa jambe gauche. Une douleur au dos survenu d'un coup, le seul faite de voir ses cicatrice me fit pensés au mienne. Je prend l'une de mes mains pour me massé l'une de mes épaules, c'est chiant que cette douleur me hante chaque jour. Elle partie dans la section pour les hommes et prit un de leur pantalon.

-En passant, moi c’est Cybella, dit-elle en me tendant la main avant de retourner dans la cabine pour enfiler les pantalons et de ressortir. Je crois que ça va être plus efficace lors des cours de combat, qu’en dites-vous?

- Kaen, Kaen Goldrun. Des présentation rapide et claire au moins. Hum ... Je ne suis pas d'accord, l'atout féminin est redoutable, caché de belle jambe n'est peut être pas une si bonne idée. Dis-je en vexant les jambes de la demoiselle.

J'étais sérieux a ce sujet, je me moquais aucunement d'elle en disant qu'elle avait de belle jambe malgré les cicatrices, peut importe les races, du côté masculin ils sont tous pervertis ! Enfin surement les elfes qu'ont un peu de tenue et j'en suis pas sûr encore. Une fois la demoiselle dans sa tenue je décide de sortir en sa compagnie, et peu importe son choix, elle décide la tenue dans la quels elle est la plus confortable. Je n'ai pas vu de règlement sur porté les habits de l'autre sexe, en même temps le règlement de l'école n'est pas un livre que j'ai lu au complet. Une belle voix grave crie mon prénom de tout ses forces.

- Kaen !!!

Je me souviens vaguement de lui et de ses petits camarade. Le petit au milieu, même s'il en pas l'air est le chef de leur petit bande de voyou, il s'agit d'un Nain, son camarade a sa gauche qu'est déjà plus impressionnant est un Orcque assez stupide, le nain doit le contrôler avec de la nourriture je présume, ensuite celui a l'opposé de l'orcque est un Humain banal qui pense être fort quand il est dans une bande de voyou comme celle-ci. Puis le petit dernier qui se cache dans notre dos, prêt a bondir telle un assassin est un Démon qui n'attaque jamais de face. Je me souviens vaguement de leur avoir mis une correction l'or ce qu'ils m'avaient prit de haut l'or d'un bousculade volontaire de leur part. Enfin il n'y avait que l'humain et le nain, je suppose que les deux autres sont supposé comblé le trou de différence de force ?

- Je suppose que tu te souviens de comment je m'appelle Kaen ! Tu m'a ...

- Non je me souviens pas trop de toi. Dis-je en lui coupant la parole.

- Comme ose-tu sale vermine ! Occupé vous de lui les gars !

L'orcque et l'humain fonce tête la première vers nous, inutile de sortir les armes, ils n'ont pas sortie les leur. L'humain arrive plus vite que l'orcque a cause de sa vitesse, ses mouvements me vont pensé a celui d'un boxeur, je me calque a son rythme puis j'esquive son premier coup et je contre avec un coup puissant dans son menton. L'homme tombe sur le côté telle une feuille morte, maintenant le tour de l'orcque, déjà un peu plus massif, mais très lent. Une méthode assez simple contre quelqu'un avec une masse importe, le faire perdre l'équilibre, je me calque a nouveau sur le rythme de mon adverses pour le faire tombé, pendant sa chute je place trois coup de poing dans son ventre, il ne perd pas connaissance, mais il mes ses deux mains sur son ventre en se tortillant de douleur. Le nain commence a prendre peur en regardant la scène et ordonne au démon derrière nous de s'attaquer a la demoiselle, je l'avais un peu oublié celui la, en espérant qu'elle sait se défendre.

- Oni ! Chope sa petite amie ! On va s'en servir comme otage !

- Tu es a moi ma mignonne ! Dit-il en ce lançant sur elle.

Le démon n'avait pas encore saisie la demoiselle, elle pouvait encore réagir. Je ne pense pas que ses cicatrices soit la pour aucune raison précise, elle devrait savoir ce débrouiller. Puis si la prise d'otage râte le nain s'enfuira aussi vite que possible.

Intérieurement, elle s’en voulait, elle semblait vraiment quelqu’un d’hautain en parlant dans sa langue maternelle comme si elle disait qu’elle était plus intelligente que ce surveillant. Ce n’était pourtant pas son intention, pas du tout! Bien que ses paroles auraient aussi été mal perçut par le surveillant. Alors qu’il partait, elle se retournait vers l’épéiste avant de répondre la vérité à son propos. Oups… Elle venait de dire plan. Que tout cela était un plan. Ce ne fut pas long que le garçon posa la question. Ne laissant même pas assez de temps à son visage pour qu’il puisse afficher la moindre trace d’embarras.

-Ton plan? Donc c'étais prévue tout cela, enfin sauf pour le gêneur. Qu'attendais-tu de moi?

Aussitôt qu’il pose la question, un sourire se pose sur son visage. Il semblait trouver cela drôle, quoi, personne ne lui avait déjà demandé une faveur? Elle ne savait pourquoi, elle imaginait bien toutes les filles lui dire cette réplique, il était quand même beau garçon, elle lui imagina un petit côté séducteur avant de finalement le suivre alors qu’il allait vers la section des filles. Elle lui en parlerait à l’extérieur de l’école, elle ne voulait pas avoir encore des ennuis, à l’extérieur serait le mieux pour lui dire.

-Je vous le dirai une fois qu’on aura acheté ma tenue, voulez vous?

Elle espéra qu’il acquiesce, ce qu’il fit. Elle s’exclama devant les sous-vêtements, ce ne pouvait-être qu’une belle et grosse farce, rien d’autre. Il lui confirma pourtant que c’était obligatoire. Alors, elle en prit avec elle, il fallait bien qu’il soit de la bonne taille, sinon elle ne serait pas avancé, elle se demanda pourtant comment les surveillants pouvaient bien savoir si elle portait bien les sous-vêtements de l’Institut, elle fit de gros yeux ronds à son interlocuteur. Mais ils étaient bizarre ici! Elle fit finalement un signe de la main pour signifier laisse faire, elle préférait mieux ne pas savoir. Elle entra donc dans une cabine. Elle se sentait vraiment idiote à cet instant, en voyant le garçon se retourner, alors que ses épaules remontaient comme s’il contenait un fou rire. Pourtant, elle s’était bien couverte du rideau qui n’était pas transparent et en plus, elle lui avait proposé d’expliquer le tout à une éventuelle copine. Alors pourquoi il riait alors qu’elle avait voulu lui rendre service?

Elle rentra la tête dans la cabine, soupirant un peu de soulagement, après tout, elle n’aurait pas voulu l’apprendre à quelqu’un, plan pour se faire crêpé le chignon par une maniaque ou quelque chose du genre. Ensuite, les présentations se fit tout de seul, alors qu’elle remettait la jupe, mais cette fois, elle mit les sous-vêtements de l’institut et elle mit son bandage le long de sa cuisse gauche, jusqu’à son genou. Elle arracha toutes les étiquettes et se présenta aux caisses.

Ils sortirent enfin, elle mit ses vêtements habituels dans un sac à deux ganses qu’elle avait aussi acheté à la boutique. Une fois dehors, elle fut bien heureuse de voir quelques arbres par ci par là sur le terrain de l’école, ils prirent un sentier. Tout les deux étaient silencieux, sans pourtant que ça la dérangea, même que ce silence n’était pas du tout pesant. Elle était la reine de la solitude, alors une minute sans rien, lui fit un peu réfléchir. Alors qu’elle allait prendre la parole, lui demander pourquoi il ne posait pas des questions comme, tu n’es pas un elfe comme les autres? Pourquoi tu n’es pas avec les autres elfes dans la forêt? Ou tout autres du genre, les questions habituelles quoi, le nom du garçon se fit entendre.

Elle se demandait bien à qui cette belle voix grave appartenait. Et bien, elle vit alors un nain qui semblait connaître le jeune homme qui était à ses côtés, même qu’il était accompagné d’un démon, d’un humain et d’un orque, les nains et les orcques ne s’entendaient pas bien se souvenait Cybella. Elle fronça des sourcils réfléchissant jusqu’à ce que l’orcque fonce sur le garçon, elle aurait bien put voler à son secours, mais le garçon se débrouilla très bien seul. Mais les orcque ne détestait pas les elfes, alors pourquoi il ne s’était pas aussitôt élancer vers elle? Surement parce qu’elle ne lui avait rien fait ou parce que ses cheveux cachaient ses oreilles, oui se devait être ça. Alors que l’humain s’élançait à son tour, elle voulut de nouveau intervenir, mais bon, le garçon semblait bien prêt à parer les attaques de l’autre homme.

C’est alors qu’elle se souvient de la présence du démon derrière eux quand le nain demanda au démon de prendre sa petite amie en otage. Non mais, elle n’était nullement sa petite amie, n’avait-il pas vu qu’elle ne lui tenait aucunement la main lui? Il fallait croire que non. Alors qu’elle aurait put faire une bouchée du démon en lui mettant son coude en plein nez, au lieu de quoi elle se laissa faire tirer par l’arrière par son sac avant que son agresseur lui emprisonne les deux bras, croyant réellement que la fille n’avait plus moyen de s’enfuir. Elle décida de jouer les filles prudes. Elle savait très bien que le nain se serait aussitôt enfuit si elle aurait mit son dernier joueur hors d’état de nuire, donc elle cria le prénom de Goldrun, comme si elle était la princesse en détresse qui ne savait pas se défendre. Lorsque le nain sourit et s’avança pour dire quelque chose à la rousse, elle donna un coup sur le sol les deux pieds collés se donna un élan et porta ses pieds au cou du nain. Un lui maintenant la nuque, l’autre sur le côté du visage écrasé sous sa semelle.

-Alors si nous reprenions cette histoire depuis le début, qu’est-ce que mon, elle émit un petit rire, mon petit ami a encore fait. Elle croisa le regard du garçon, alors qu’il la regardait pour voir comment elle s’en sortait et qu’il allait se refaire chargé par l’humain. Attention derrière toi Kaen!

Elle attendit un bon moment pour laisser à Oni ou au nain le temps de lui parler de cette fameuse péripétie. Le nain ne semblait pas vouloir parlé, elle tassa un peu plus son pied pour mieux écrasé son visage.

-Désolé pour les petits cailloux, dit-elle comme si elle se souciait de son confort, mais même à cela, le nain ne dit pas un traite mots. Alors tu parles oui ou merde?!

-Joli couleur le noir, fut les mots du nain.

-…

Hein? Elle regarda donc de plus près son accoutrement, vu la position qu’elle avait prise, le nain avait une assez belle vue sur son nouveau slip, tout comme tout le groupe, la jupe s’était retroussé. Elle savait qu'elle aurait du prendre un pantalon! Sur cette merveilleuse nouvelle (voyez bien le sarcasme de cet adjectif..), le démon descendit un peu sa poigne, pourtant, elle ne fut pas déséquilibré, seulement, elle sentit son poignet se tordre. Elle ne cria pas, elle ne fit qu’un son étouffé entre ses lèvres.

-Écoutez bien chéri ou mon petit Oni, si vous ne lâchez pas la mignonne, comme il vous fait plaisir de l’appeler, tout de suite, elle va tordre le cou de votre petit ami sans scrupules! Alors lâchez-moi bon dieu! Kaen, tout va bien de ton côté, prit-elle des nouvelles de lui sans pourtant détourner le regard de ce petit nain qui lui donnait la nausée.

Elle n’était pas du tout comme les autres elfes, elle ne détestait pas les nains, mais lui, lui il était juste… détestable, il ne pouvait en être autrement.

La jeune demoiselle ne semblait pas avoir besoin d'aide, loin de la. Elle avait feint l'ennemi avec une facilité impressionnante. Les deux abruti se retrouve neutralisé, puis elle me met en garde subitement.

-Alors si nous reprenions cette histoire depuis le début, qu’est-ce que mon, elle émit un petit rire, mon petit ami a encore fait. Elle croisa mon regard, alors que je la regardait pour voir comment elle s’en sortait et que j'allait me refaire chargé par l’humain. Attention derrière toi Kaen!

L'humain me fonce a nouveau sur moi, malheureusement cette fois-ci je n'ai pas le temps de réagir, j'ai a peine le temps de me retournée que son poignard et déjà prêt a me poignardé le ventre. Je met ma main droite pour me protéger, celle-ci ce retrouve poignardé a la place de mon ventre, j'ai au moins limité les dégâts on peut dire. Je saisie sa tête dans le creux de mon autre main pour le dirige vers mon genou qui viens le taper de pleins fouet, j'ai du surement lui cassé la nez avec cette action, on est quitte pour la main. La rousse décide d’interroger le nain.

Alors tu parles oui ou merde?!

-Joli couleur le noir, fut les mots du nain.

-…

La scène actuelle était un peu bizarre, un nain qui mate la culotte d'une elfe. Quels genre d'ironie est-ce que ce monde nous réserve ? Je n'allais pas me plaindre, moi même j'avais une belle vue sur la demoiselle, je reste un homme, je ne peut pas faire semblant de m'avoir rien vu. Pendant un instant je cru entendre la demoiselle gémir, il semble que le démon tente quelque chose et cela ne dois pas être agréable.

-Écoutez bien chéri ou mon petit Oni, si vous ne lâchez pas la mignonne, comme il vous fait plaisir de l’appeler, tout de suite, elle va tordre le cou de votre petit ami sans scrupules! Alors lâchez-moi bon dieu! Kaen, tout va bien de ton côté ?

- Juste un main en sang, et toi tu prend du bon temps avec tes nouveaux amis ?

Dis-je en retirant la dague de ma main, je fis naturellement la grimace, ce n'était pas une sensation agréable. Je décide de faire fuir les abrutis avec mes méthodes radicale, je sors l'une de mes épées puis je la place non loin des partis reproductrice du nain, d'un regard noir je lui ordonne de partir et que je ne le recroise plus avant un moment. Il me fit une signe de la tête qu'il était d'accord, Cybella les relâche peut-être a contre coeur pour ne pas avoir frapper le nain qui l'avait bien reluqué. Puis je regarde la demoiselle pour répondre a la question qu'elle avait posées au nain.

- Il se trouve qu'on a déjà une petite bousculade dans le passer.

Etant en pleins milieu de se bazzar les gens autour de nous commençais a commenter la scène, j'avais déjà était vu d'une certaine façon avait Kei qui m'avais encore crée des rumeur stupide, mais Cybella l'avais dit dans le sensé ironique pour leur répondre, mais les gens autour semblait l'avoir pris au sérieux.

- C'est encore ce gars, maintenant il est avec une rousse ? Il change de copine tout les jours celui-la ! Dis un jeune homme.

- Il est polygame ? Dis une jeune fille.

Encore et encore ses rumeurs sur moi qu'allait être dit sur moi, dans un sens cela m'arranger pas des masse, je me fessait remarquer, mais au moins personne venait me chercher des noises, sauf les plus têtue bien sûr. Ma main commence a faire mal, la douleur s’amplifie a chaque minute, je n'étais pas loin de ma chambre autant passer récupérer de quoi se soigner, inutile d'allers voir a l’infirmerie pour une bête pareil. J'invite Cybella a me suivre, je n'allais pas la laissé seule et dans cette situation, tu je me sentais un peu coupable dans le fond. Une fois sur place je saisie de quoi me soigner la main, puis je me dirige vers le frigo pour prendre deux boisson, je dépose l'une a côté de mon inviter. Puis j’enchaîne la conversation

- Cadeau. Alors comment trouve-tu ton premier quart-heure avec moi, plutôt mouvementé non ? Dis-je en rigolant.

On n'étais pas obliger de resté dans ma chambre, j'avais soigner ma main, et j'avais ma boisson pour me raffraichir, on pouvait continuer a ce balader, je laisser le choix a mon inviter.

Et bien, même avec son intervention, le garçon s’était fait blesser. Une main en sang, elle était réellement sensé le prendre comme une moindre chose? Non, mais ce n’était pas rien, il était blessé à cause d’elle, parce qu’elle n’avait que parlé au lieu d’agir, si elle aurait retenu sa langue et qu’elle aurait tordu le coup du nain, il n’aurait pas eu cette blessure aurait-elle voulu lui dire. Elle se sentit mal, si elle n’avait pas commencer à menacer les deux hommes qui la tenaient et qu’elle aurait simplement frappé le démon qui allait fondre sur elle, elle aurait pu aider Kaen, mais non, elle n’avait fait qu’à sa tête encore. Au lieu de quoi, le garçon le prenait à la blague en ajoutant quelque chose qu’elle était loin de trouver drôle, s’amuser avec eux? Elle ne trouva cependant pas que c’était le bon moment de lui parler de son dégoût envers ce commentaire pervers, et après tout, peut-être n’était-il pas toujours ainsi…? Elle l’espérait, car elle avait vraiment l’intention de l’engager comme tuteur.

Elle se trouvait réellement dans une position ingrate et elle n’aimait guère que son allié lui fasse remarquer de cette façon. Ensuite, un rire s’échappa presque de sa bouche. Quel tête ferait le nain s’il avait su qu’elle était un elfe? Elle se demandait si le nain aurait une face de dégoût ou non, du moins, elle, elle était dégoûtée par ce petit homme. Elle ne put le savoir, car aussitôt que Kaen mit son épée près du dit deuxième cerveau de l’homme, il essaya de se dégager d’entre ses pieds. Elle aurait voulu relâcher ses pieds et lui donner un coup en pleine figure, mais le démon qui la retenait la lâcha aussitôt et elle se retrouva les fesses au sol. Ça ne prit pas beaucoup de temps avant que les deux malfrats déguerpirent, pendant que les commentaires des autres étudiants vinrent jusqu’à l’oreille de la rousse.

Il n’avait pas dit qu’il n’avait pas de petite amie lorsqu’elle était dans la cabine? Finalement, il semblait qu’il avait quelqu’un, elle se demandait vraiment comment les autres pouvaient être aussi affolés, les rois ne faisaient pas ça à cette époque du Moyen Âge? Ah oui, elle avait oublié les gens qui étaient arrivés du futur, ils avaient donc tout changé ici? La mentalité des gens étaient disons-le beaucoup plus ouverte à ce qu’elle avait constaté en voyant un couple formé que de garçons un peu plus loin. Une fois qu’elle fut debout et qu’elle enleva la poussière de sur sa jupe, elle chuchota dans l’oreille du garçon.

-Tu ne m’avais pas dit que tu n’avais pas de copine?, elle laissa échapper un petit rire.

Encore une rumeur, peut-être… Elle laissa un moment passer alors qu’une autre question lui brûla les lèvres. Il semblait vraiment que ce garçon n’avait pas une belle réputation ici. Elle osa regarder les autres avec un petit regard de pitié avant de reprendre le bras de son nouvel ami, espérant que le garçon ne déteste pas cette mauvaise habitude de répliquer ou de réagir sans demander la permission de la personne concernée.

-La polygamie c’est maintenant mal vu chez vous aussi?, dit-elle à voix haute. Je suis contente de savoir que votre fidélité ne tient pas qu’à un fil, mon cher et beau soupirant. Moi qui croyais que vous me trompiez tout le temps que j’étais resté en forêt, dit-elle émotive et en essuyant le bord de son œil tel une comédienne qui en met trop, beaucoup trop, après tout, ce n'était pas comme si c'était son métier.

C’est alors qu’elle se mit à rire devant tous ses gens aux yeux hébétés. Elle voyait bien que le garçon ne se souciait même plus des rumeurs, mais elle, elle n’aimait guère ce genre de coup bas. Elle allait régler cette histoire une fois pour toute après les avoir un peu menés en bateau.

-C’est que vous êtes jaloux, monsieur?, dit-elle en arquant un sourcil, devant le garçon qui avait partit le bal. Je dois avouer qu’une rouquine de mon genre on en trouve que très peu ici. Sans parler que vous n’avez peut-être pas tous les filles qui vous glisse entre les doigts vu votre…, elle le scruta de la tête au pied, physique. Et vous demoiselle, ce n’est tout de même pas parce que vous aviez un faible pour notre cher homme ''libre'', insista-elle sur le mot, par hasard que vous ayez ajouté ce commentaire déplacé, ça fait vraiment pitié à voir tous les deux, elle s’essuya les mains, comme si elle avait fini une sale corvée. Et en passant, informez-vous avant de lancer quelconque sornette, il n’est ni polygame ni tout ce dont on raconte point!

Sur ce, elle fit un beau au revoir de la main aux deux personnes qu’elle venait surement de ce mettre à dos, mais que voulez-vous, elle était réaliste, elle savait qu’elle ne se ferait pas aimer de tout le monde. Maintenant, le garçon n’aurait plus à s’en faire des rumeurs, du moins c’est e qu’elle pensait réellement, elle pensait avoir crevé l’abcès, au lieu de quoi, elle en avait peut-être concrétisé une autre. Niveau rumeur, elle ne s’y connaissait pas réellement, car disons-le, son seul ami se résumait en un rôdeur qu’elle n’avait plus vu depuis une trentaine d’années.

Elle suivit le garçon jusqu’à sa chambre, un peu inquiète pour la main du garçon qu’elle n’avait pas vu. Ça ne prit pas de temps, dès qu’il entra, il se fit un bandage. Elle allait lui proposer, mais il fallait croire que le garçon semblait débrouillard même qu’avec une main. Ensuite, il déposa une boisson à ses côtés, alors que tous l’aurait porté à ses lèvres, elle mit plutôt la bouteille sur son poignet qui lui faisait mal. Bien entendu, sa douleur ne devait pas être comparable à celle du garçon, mais elle fit tout de même la grimace lorsque le froid alla jusqu’à l’os tel de petites aiguilles.

Il posa alors la question la plus saugrenue qu’elle n’avait jamais entendu vu la situation.

-Merci pour la bouteille, dit-elle en levant les deux mains, celle qui tenait la bouteille et celle où elle s’acharnait à laisser la bouteille pour calmer la douleur. Ce doit être le quart d’heure le plus mouvementé que je n’ai jamais connu. Vous avez un don pour attirer les ennuis dites-moi?

Elle ne pouvait pas se plaindre d’un quelconque ennui, juste en à peine 15 minutes, elle avait passé de la boutique à la forêt, à sa chambre… Voyons, ne voyez pas cela de ce sens! Dès lors qu’il proposa de continuer la promenade elle accepta espérant qu’elle soit plus paisible pour lui vu sa main. Elle posa d’ailleurs son regard sur le bandage, avant de lui demander s’il était capable de la mouvoir correctement.

Alors qu’il allait ensuite se diriger vers la porte, elle lui prit le poignet, s’assit sur le lit et lui demanda :

-Attends…, il la regarda et à ce moment, elle aurait crut que ses joues allaient rougir, mais elle, elle ne rougissait jamais, même en ce moment, ces joues restaient de la même couleur qu’à l’accoutumé. Elle était une de ces rares filles (si on ne compte pas les vampires) qui étaient capable de cacher ce petit défaut de fabrication de l’amour. Attendez, corrigea-t-elle. J’avais un plan pour vous approchez, je dois l’avouer, car je voulais vous abordez pas seulement pour savoir où était l’uniforme des filles.

Elle attendit une certaine réaction de la part du garçon, elle avança même la tête vers l’avant pour essayer de mieux crypter son expression comme pour dire ''Alors…?'' Alors que le garçon ne réagissait toujours pas, elle crut enfin comprendre que ces mots pouvaient être mal interprêter, ce n'était pas du tout une déclaration d'amour! Alors qu'elle aurait voulu tout de suite démêlez cela et dire quelque chose, le garçon réagit enfin...

[Hors R-P: Moment de suspense, placé juste à la bonne place! xD]

-Tu ne m’avais pas dit que tu n’avais pas de copine? Dit-t-elle en chuchotant.

- Je ... Disons que ... Je m'interresse a une fille, mais je ne suis pas avec officiellement ! Dis-je un peu gêné et tel un enfant cherchant une excuse pour une bêtise qu'il aurait fait.

Puis la demoiselle pris la parole a haute voix.

-La polygamie c’est maintenant mal vu chez vous aussi?, dit-elle à voix haute. Je suis contente de savoir que votre fidélité ne tient pas qu’à un fil, mon cher et beau soupirant. Moi qui croyais que vous me trompiez tout le temps que j’étais resté en forêt.

Hein ? Qu'est qu'elle raconte la ? Attention si tout sa viens au oreille de Kei je risque d'avoir des problèmes, mais quand elle continua elle parle maintenant directement au public et non a moi même. Elle retourna dans tout les sens les valeurs des abrutis avant de les écraser a nouveau avec des mots percutant. Une fois fini direction la chambre, elle saisie la bouteille que je lui avait donné.

-Merci pour la bouteille, dit-elle. Ce doit être le quart d’heure le plus mouvementé que je n’ai jamais connu. Vous avez un don pour attirer les ennuis dites-moi ?

- Aussi doué que toi, ta du t'en mettre a dos des gens avec ton beau discours de tout a l'heure. Dis-je en rigolant chaleureusement. Tout courage mérite récompense, demande moi n'importe quels faveur et si je peut je t'aiderais, disons que c'est un cadeau pour cette acte et de bienvenue en tant que guide.

Puis une fois que je décide de sortir, elle m'attrapa par le poignet et s'installa sur le lit, puis hésitante elle demanda d'attendre puis se rectifie avec politesse.

Attendez, corrigea-t-elle. J’avais un plan pour vous approchez, je dois l’avouer, car je voulais vous abordez pas seulement pour savoir où était l’uniforme des filles.

Elle me fait une déclaration la ? On dirait bien, mais je me disais que le coup foudre ne semblait pas être son genre, je ne pu m'empêché de rigolé un peu suite a la situation puis je pris la parole.

- Tu n'est pas oublié d'utiliser les marques de politesse, tu peut m’appeler Kaen et ... tu sais que tu viens de faire une scène qui prête a confusion, un peu plus et j'aurais pu y croire tu sais. Dis-je en rigolant légèrement.

- Donc quels est cette raison, je t'écoute.

J'étais curieux de savoir quels genre de chose elle allait me demandé, après tout elle semble gentille, mais pas stupide, donc qu'elle demande va-t-elle faire ? Je peut l'écouté, je lui doit bien ça.

( Hors rp : Beau suspense, mais je ne peut pas avancé a cause de celui-ci xD Et désolé de l'attente >< )

Alors qu’elle aurait crut voir le jeune homme toujours assuré vu son commentaire sur ses jambes, ainsi que le commentaire assez déplacé lorsque sa jupe était retroussé, juste cette allusion à cette fille et on aurait dit qu’il avait perdu ses moyens. C’était presque mignon, mais tout se qui était amour ne faisait ni chaud ni froid à l’elfe, ça ne l’attendrissait pas, du moins essaya-t-elle de le faire croire. Elle en aurait presque rit au lieu de quoi, comme toujours sans demander l’accord à la personne concernée, elle proclama le discours de plaidoyer pour l’épéiste. Seulement, lors de ses premiers propos, alors qu’elle voulait introduire les gens dans son piège et attirer leur attention, elle vit que le garçon avait une certaine confusion dans le fin fond de ses yeux. Elle lui fit un sourire quelque peu rassurant, vu ses superbes habilités d’expressivité limités, avant de ne faire qu’une bouchée de ces deux rigolos avec des arguments assez difficile à contourner, bien qu’ils ne devaient pas être totalement vrais vu les visages ahuris qui se présenta à elle. En faisant ça, elle savait qu’elle donnait un certain petit coup de main au garçon et à la mystérieuse jeune femme, elle l’avait fait surtout parce qu’elle s’apprêterait à demander à Kaen un énorme service. Était-ce de l’égoïsme de penser ainsi, surement, mais bon, on ne pouvait pas toujours être droit et juste, il fallait bien penser à soi une fois de temps en temps.

Elle se mit ses deux idiots qui ne faisaient qu’alimenter les rumeurs à dos en se disant que ce peut-être futur couple lui serait reconnaissant d’extirper tous ses commérages sur leur relation surement difficile. Après tout, elle ne voulait pas que la futur de Goldrun en question vienne la voir pour un règlement de compte, elle en serait vexée et pas du tout d’humeur. Sans parler que ça ferait qu’excités ses jeunes à la recherche de bataille et de désobéissance à l’autorité, car il faut se l’avouer, ce n’est jamais très jouissant d’être toujours surveiller et coincé entre ses règlements pour quelques uns complètement ridicule selon elle, mais c’était ça la vie d’étudiants. Il fallait simplement qu’elle s’y habitue elle aussi…

Alors dès qu’elle se frotta les mains pour montrer qu’elle avait finit cette sale tâche que de les confronter à la réalité du guerrier et non à ce lot de rumeurs qui lui collaient à la peau tel une ombre, ils allèrent dans la chambre du garçon. Rendu là, elle trouva que c’était l’endroit parfait, qu’il n’y aurait certainement pas des gens qui allaient la déranger pour les tuer alors qu’elle voulait simplement lui demander une chose. Une toute petite chose, bien non, il avait fallu que ce nain vienne se venger, petit emmerdeur. Il déposa une bouteille près de Farrell, elle la prit, le remerciant tout en répondant à la question du garçon et en posant une question à son tour.

- Aussi doué que toi, ta du t'en mettre a dos des gens avec ton beau discours de tout a l'heure, dit-il en rigolant chaleureusement. Tout courage mérite récompense, demande moi n'importe quels faveur et si je peux je t'aiderais, disons que c'est un cadeau pour cette acte et de bienvenue en tant que guide.

Elle fut assez heureuse de la réponse du garçon, croyant s’en tirer en bon compte, peut-être même qu’elle ne lui devrait rien, une service en amenant un autre, tout se qu’il y a de plus naturelle, car après tout, elle ne voulait pas être prit pour faire le génie du garçon, lui devant toujours un souhait, car si elle comptait bien, ça serait peut-être la troisième fois que le garçon venait à son secours. Une fois avec les uniformes, deux avec l’intervenant et le dernier et non le moindre, se qui l’embarrassait tant, lui demander de l’aide à devenir une des meilleurs guerrières, elle voulait qu’il l’aide à développer ses aptitudes pour cette carrière. Elle ferait tellement tout pour cela! Lorsqu’elle le retient par le poignet, le garçon n’ose pas s’asseoir à côté d’elle, bien entendu, en ce moment, tout cela semblait si… Si pas Farrell!

Elle s’attendait à une réaction, peut-être un scandale, une sortie rapide du garçon, bref n’importe quoi sauf qu’il rigole. Elle aurait voulu le ramener à l’ordre, lui disant qu’il n’y avait rien de drôle dans son offre, mais le rire était presque contagieux. Elle réussit tout de même à garder son sang froid même quand le garçon se remit à rire une deuxième fois.

-Bon, premièrement, je vais m’excusez pour toute à l’heure, j’ai failli te mettre dans de beaux draps…

Ah non, elle n’aurait pas du dire ça, car maintenant, le service qu’elle lui avait fait s’annulait, elle n’avait pas besoin de contrat le rattachant à lui, elle ne voulait pas être obligé de donner ce que monsieur voulait quand il le voulait. Car bien entendu, il pourrait peut-être essayer de la manipuler, car bien entendu, elle n’apprendrait pas qu’en une séance, les cours 101, ça ne marchait pas dans ces cas-ci. Il n’aurait qu’à lui enseigner et à se battre avec elle, ça le maintiendrait aussi en forme, c’était donnant-donnant de cette façon, elle en vendrait les mérites ainsi dès qu’il accepterait, c’est tout.

-Alors, pour ce plan, c’était plutôt parce que… Bon c’est embarrassant, depuis quand elle disait se qu’elle ressentait au juste?, mais je t’ai vu donner ses coups sur l’épouvantail en métal et… C’est fou, vous êtes un guerrier, pas vrai? Alors, je voulais savoir si vous ne voudriez pas m’aider en devenir une.

Elle espérait que le garçon ne rigole pas une autre fois, car c’était promis, et même au fond de ses tripes elle le sentait, elle savait que sa main partirait pour ajouter un nez cassé à l’état de santé physique du garçon. Elle le toisa, et dans son regard on pouvait bien y lire un avertissement. Elle espérait qu’il comprendrait qu’il était mieux de penser à deux fois avant de dire quoi que se soit. Bien entendu, elle n’était pas effrayante du tout, elle ne voulait pas mettre de la pression sur le garçon tout de même.

-Avant d’accepter monsieur Goldrun, je veux juste que quelque chose soit mit au clair, ce n’est pas parce que je suis une femme que vous devez me laissez des chances. Je sais me défendre et si je veux un jour être de même niveau qu’un guerrier, vous ne devez pas me laissez de moment de répit, je dois être en mesure de vous battre.

Alors qu’elle était toujours assise sur le lit, elle se disait que ce n’était pas très imposant devant le garçon qui devait faire près d’un mètre quatre-vingt-dix. Donc, en même temps de dire ces derniers mots, elle se leva du lit et frappa donc avec son poing l'épaule du garçon comme un geste de camaderie qu'elle avait souvent vu lorsque les troupes d'elfes revenaient au village. Mettait-elle la barre trop haute, trop tôt? Peut-être, mais elle savait que ça c’était la dose d’action qui lui manquait lorsqu’elle était dans la forêt. C’était un défi qu’elle se lançait et aussi un au garçon. C’était une attente à l’orgueil, maintenant qu’elle avait utilisé sa méthode de persuasion, peut-être que son offre ne partirait pas dans le beurre. Elle n’avait plus qu’à attendre.

-Bon, premièrement, je vais m’excusez pour toute à l’heure, j’ai failli te mettre dans de beaux draps…

Pourquoi s'excuse t-elle ? J'étais un peu responsable de la situation après tout, puis elle continua de s'expliqué, mais un peu flou cette fois au début.

-Alors, pour ce plan, c’était plutôt parce que… Bon c’est embarrassant, mais je t’ai vu donner ses coups sur l’épouvantail en métal et… C’est fou, vous êtes un guerrier, pas vrai? Alors, je voulais savoir si vous ne voudriez pas m’aider en devenir une.

- Je ne suis pas vraiment un guerrier, je sais juste me servir d'une arme. Cela me dérange pas de t'apprendre ce que j'ai appris, mais j'aimerais savoir tes motivations, on ne veut pas devenir fort sans raison.

-Avant d’accepter monsieur Goldrun, je veux juste que quelque chose soit mit au clair, ce n’est pas parce que je suis une femme que vous devez me laissez des chances. Je sais me défendre et si je veux un jour être de même niveau qu’un guerrier, vous ne devez pas me laissez de moment de répit, je dois être en mesure de vous battre.

Suite a ses paroles la jeune demoiselle se met debout et me porte un coup au niveau de l'épaule. Je ne fit pas la grimace lors du coup, mais je ne pouvais pas nié quels avait de la force dans les bras. Le coup quels m'avait porté allait laissé un beau bleue. Je sens que j'allais pas regretté d'avoir fait connaissance avec cette jeune fille.

- Joli coup, mais j'aimerais qu'on continue dehors. J'aimerais que ma chambre reste dans un état correcte.

Nous voila maintenant dans la salle d'entrainement, je savais qu'aucune classe n'est présent a cette heure, le tableau sur la porte indiquant les horaires des classes aide beaucoup. Je me dirige vers le stock d'arme en bois, je prend deux sabre en bois. J'en lance un a la demoiselle.

- Tu semble savoir taper fort a main nue, mais les armes seront plus utile pour un combat. Puis ne te retiens pas, malgré ma main ne puisse pas tenir une épée correctement j'ai l'habitude d'avoir une arme dans chaque main.

Je lance le départ du combat, comme dans la chambre l'elfe fonce sans hésité, elle enchaîne trois coup rapide et violent. Je les esquives les un après les autres, je me claque sur le rythme de la jeune fille, je pense qu'elle avait du déjà le remarqué l'or du combat avec les abrutis, je me bat généralement toujours de cette façon. Quand elle décide de faire encore un coup, je me rapproche au maximum d'elle puis quand son coup tente de m'atteindre je disparais de sa ligne de vue, me cherchant du regard, je profite de l'effet de surprise pour l'attrapé au niveau de la bouche avec ma main blessé pour la faire basculé vers le sol, une fois par terre je me met a cheval sur et je fais appuie avec mes genoux sur ses épaule pour évité tout geste de sa part. Puis je met le sabre en bois au niveau de sa gorge. Mon regard était différant en combat, beaucoup plus froid et vide. Une fois le combat fini je me relève puis mon regard redeviens normal, celui de quelqu'un de relax et pleins d'expression. Puis je me retourne vers la demoiselle.

- J'ai gagné a cause d'un seul mouvement que tu n'a pas pu comprendre.

Je lui explique que quand je me suis rapproché d'elle j'ai simplement pivoté sur le côté quand son propre bras lui avait gêné la vue pendant quels fit le mouvement. Puis la suite fut facile, parce qu'elle devait surement ne pas comprendre et perdre ses moyens. Puis tout en l'aidant a ce relevé je lui propose une revanche, elle semblait vouloir sa revanche.
Cette fois-ci au départ l'elfe ne partie pas tête la première, la pointe de nos sabre ce colle et se frotte, on attendait chacun une ouverture, puis l'elfe pensa en trouvé une, bien sur je l'avais crée volontairement. Je mit en place mon coup pour gagné ce deuxième round, quand elle disparu subitement de mon champs de vision. Incroyable, une seule démonstration lui suffit pour reproduire le coup, mais je connais le point faible de ce tour-ci, il suffit de faire une roulade en avant puis se retournée immédiatement, je fit cela mais quand je me retourne je vois quelque chose de blanc, puis je fut désarmé d'un coup de pied bien placé dans la main. Puis son épée en bois fini pointé sur mon ventre avec un visage satisfait de sa victoire.

- Tu semble bien te débrouillé, tu pense vraiment avoir besoin de moi ? Dis-je en rigolant.

Puis je repris un sérieux total avec mon regard et le ton de ma voix en retirant le bandage de ma main. Puis je vais prendre un sabre en bois dans chaque main.

- Bon fini de s'échauffé, je pense que tu peut toi aussi te donné a fond cette fois-ci.

Je pense quels devait se retenir un peu, j'en avait un peu l'impression, ou ce donnait-t-elle a fond ? Enfin bon, j'étais concentré sur elle, la fixant comme un prédateur avec une proie. Je place plusieurs coup, avec deux épée la vitesse des coups devait être telle une pluie battante, je domine complètement le combat, mais avant même quels ne puisse tenté de ce défendre que quelque chose fit interruption dans la salle, je tourne légèrement la tête pour voir qui dérange pendant un combat.
Il semble qu'une classe avait déplacé son cour a cette heure, ma main n'avais pas complètement cicatrisé donc elle s'était ouverte a nouveau vu que j'avais forcé avec. Direction l’infirmerie pour réglé ce problème, histoire de bien soigner cette vilaine blessure. Une fois la bas je m'installe le temps que le responsable n'arrive pour me soigner, il semble être un peu occupé dans la salle des enseignant pour des dossiers médicale.

- Tu semble douée, j'ai du mal a croire que tu cherche quelqu'un pour t'apprendre, je serais plutôt quelqu'un pour t'aidé a ne pas te ramollir, je ne vais pas te mentir les bon élément son rare ici. Soit ils sont tellement nul que c'est ennuyant, soit ce sont des monstres qu'on ne pourrait jamais surpassé. Tu es surement la première avec qui j'arrive a être a force égale, et je pense que tu cache encore quelque tour dans ta manche.

J'attend toujours le médecin et une réaction de la part de l'elfe.

Elle s’était excusée, mais on dirait que tout cela passait cinq pieds par-dessus la tête du garçon qui ne nous le cachons pas, la dépassait et de beaucoup. Elle s’excusait d’avoir dit quelque chose qui portait autant à la confusion, surtout qu’il s’intéressait à une demoiselle devant autrui. Et bien, elle aurait tellement été sûr qu’il lui aurait peut-être dit de se mêler de ces affaires ou quoi que ce soit, mais rien. Elle lui demanda donc ‘’la’’ chose pour laquelle elle était venue à sa rencontre.

Il lui demandait ses motivations, bien entendu, elle aurait dû s’en attendre, elle fut un peu surprise sur le coup. Elle se mit presqu’en colère, mais cela aurait été vain et beaucoup trop évident sur le pourquoi de la chose, elle essaya tant bien que mal de refoulé une larme qui pourrait apparaître, du moins, un simple signe qui montrerait sa faiblesse. Cet instant où elle s’était figée serait à jamais graver en elle, plus exactement, elle ne pourrait jamais l’oublier vu la longue cicatrice qui parcourait sa cuisse. Elle enchaîna, essayant de garder ce masque froid dont elle avait tant coutume. Ce visage neutre, cet air sans émotion, cette mine difficile d’approche alors que pourtant tout se chamboulait en elle, bref, elle ne voulait pas en parler, pas à lui, simple garçon qu’elle venait de rencontrer et qui n’avait fait que pimenter ce dernier quart d’heure.

Alors qu’elle n’avait toujours pas assimilé qu’il avait accepté, elle continuait à dire ses conditions, à dire qu’il ne devait pas le moins du monde lui laisser de chance, c’était à la dure qu’elle devait, qu’elle voulait apprendre. Dès lors qu’elle le comprit, le duo changeait de nouveau de place. Ils trouvèrent une salle d’entraînement vide. Sans parler que sur le babillard, aucun cours si ferrait avant un bon moment, alors ils pourraient prendre tout leur temps. Elle était réjouie, mais bon, en même temps, elle ne savait pas à quoi s’attendre avec lui. Elle ne pouvait faire comme dans la forêt, l’observer ou du moins attaquer par surprise, vraiment, ce petit détail changeait tout pour elle. La forêt était sa complice, mais en ce moment c’était un handicap car elle ne saurait comment se défendre ici, rien ne ferait un bon support, aucune cachette, bref aucun objet qui l’aiderait à amortir des coups ou à n’en donner.

- Tu semble savoir taper fort à main nue, mais les armes seront plus utiles pour un combat. Puis ne te retiens pas, malgré ma main qui ne puisse pas tenir une épée correctement j'ai l'habitude d'avoir une arme dans chaque main.

Il lui envoya alors un sabre en bois, elle aimait bien à main nu, mais bon, si c’était pour devenir une guerrière, elle prendrait le sabre de bois sans broncher. Incertaine, elle attendit presque le garçon s’exclame ‘’Allez frappes moi.’’, avant qu’elle lui donner un coup d’une force raisonnable, qu’il bloqua sans aucun problème. Elle en donna deux autres avec plus de rapidité et de violence, mais c’était les premiers coups et sans même s’en rendre compte, elle avait un peu de retenu, comme si sa vitesse ou sa force habituelle pourrait désarçonner le garçon blessé. Elle finit par voir que le garçon se mettait au même rythme qu’elle, c’était ça le truc du garçon, il analysait la technique de son attaquant et flan, il l’attaquerait. Elle le sentait presque venir, quelque chose allait se passer, mais puis qu’elle avait été trop concentré à donner de bons coups, elle ne put analyser la force, la vitesse ou même sa méthode de frappe. Elle ne pouvait donc pas se faire une idée de se qui allait suivre, si seulement elle avait fait attention à cela, elle aurait alors comprit ce qu’il l’attendait…

Il était en plus mauvais état qu’elle et pourtant, il arrivait à bloquer toute ses attaques. Elle saurait presque crut dans un cours d’escrime vu la grâce et la précision du garçon, alors qu’elle, elle s’était inné, il avait surement tant pratiqué pour arriver à ce stade. Et elle voulait vraiment le battre, dans quel galère allait-elle encore se mettre avec ce jeune homme, il ne cessait de la surprendre sans pourtant que la première heure ne soit sonnée, à quoi ressemblerait la suite? Et les autres entraînements? Elle savait qu’elle allait devoir travailler fort, qu’elle allait devoir subir de nombreux échecs, mais elle se promit qu’un jour elle arriverait à planquer au sol le garçon. Sur cette note optimiste, elle donna un coup avec une plus grande détermination à l’atteindre, le jeune homme avançait dangereusement, elle aurait parié que son coup allait lui arriver en plein sur le torse et pourtant…

Elle ne fut pas déçut, mais, elle se sentit insultée. Elle l’avait perdu du regard, elle savait que se n’était pas bon de se retrouver dos à son adversaire et dès qu’elle voulu pivoter pour lui mettre le sabre en bois sous la gorge le plus rapidement possible, elle eut une main sur la bouche. Elle allait la mordre, quand elle comprit que c’était la main blessé du garçon, donc, elle n’en fit rien. Un peu désorientée, il réussit à la projeter au sol en se mettant en cheval sur elle. Elle avait emprisonnée ses épaules avec ses genoux, et vu le poids du garçon sur son torse, elle ne pouvait agir, elle ne pouvait que bouger frénétiquement des pieds. Elle se sentit vulnérable, alors que son cœur avait manqué un pond, elle eut un petit vertige, alors que dans son regard, on pouvait y lire sa honte, sa peur et sa colère. Sans même le vouloir, ses yeux verts qui avaient été longuement indécelable se remplirent de ses trois émotions qui n’étaient pas si loin les unes des autres alors qu’elle rencontrait le sien, froid, vide. Il enleva alors sa main, une seconde de plus, et elle savait qu’elle aurait rouvert la plaie avec ses dents en le mordant. Non mais, elle ne se laisserait pas ainsi laisser mener et écraser sous l’homme. Lorsqu’il se retira finalement de sur elle, elle était sur le point de le repousser, de lui dire sa façon de penser, de l’engueuler comme du poisson pourri, mais il lui fit dos, elle en fut contente, elle put expirer un bon coup, reprendre ses esprits, oublier cette histoire que la malmenait autant.

Voilà qu’elle voulut sa revanche, ça devait surement se voir, car le combat reprit aussitôt. Cette fois, la rousse mit son sabre devant, attendant que son combattant fasse de même. Les deux sabres ne firent pas le bruit si magique de métallurgie qui se frottait, mais bon, valait mieux s’entraîner avec cela, un accident c’est si vite arrivé. Ils attendaient tout les deux une ouverture qui n’était pas évidente, et alors qu’elle pensait trop à sa vengeance, elle entra dans le piège du garçon. Seulement, alors qu’il allait porter son coup, elle s’approcha et disparut du champ de vision du garçon. S’il y avait bien une chose qui ne lui échappait pas, c’était bien de comprendre vite un tour qu’on lui avait appris.

Vu qu’il sait le tour, il se dégage assez vite de la situation, malheureusement pour Cybella qui aurait bien aimé voir la tête du garçon sous son poids. Finalement, à cette simple pensée, elle faillit rire, alors que toute autre fille normale aurait rougit. Après tout, il lui semblait qu’il aimait drôlement dominer les choses, du moins, peut-être posait-elle une étiquette trop rapidement sur lui. Elle ne sait pas se qui désoriente le garçon, mais bon, elle donne un coup en plein sur la main du garçon qui est désarmé, elle appuie donc le bois sur le ventre du garçon, bien qu’elle aurait pu le placer sur le cœur de celui-ci, juste par pur plaisir. Maintenant qu’elle avait gagné un round, elle eut ce petit sourire satisfait qui était si difficile à entrevoir sur le visage mûrissant de la jeune rousse. Elle espérait aussi faire croire au garçon è une illusion, elle ne voulait pas qu’il ait cette image d’elle. Elle ne le connaissait depuis si peu, pouvait elle être comme elle l’entendait, forte, sans crainte, fière d’être sur le point d’être une guerrière qui allait mettre tapis tous ses adversaires? N’était-ce pas qu’avec les gens que nous connaissions réellement qu’on ne se peinait plus à essayer de montrer que rien ne nous glisse des doigts? Du moins, c’était la vision de Farrell.

- Tu semble bien te débrouillé, tu pense vraiment avoir besoin de moi?, dit-il en rigolant.

Elle aurait aimé pouvoir s’en passer, mais juste cette soudaine peur, qui même si elle n’était moins présente était là dans ces moments, seulement ce regard prouvait qu’elle avait besoin des conseils de Kaen et de son prochain maître d’armes, un certain Daisuke Gisen. Il enchaîne aussitôt, disant que l’échauffement était terminé, que le combat allait réellement commencer, alors, il prit un deuxième sabre, laissant Cybella avec l’embarras d’en avoir qu’un seul. Et bien, s’il le prenait ainsi, elle sauta la première à l’attaque, mais trop rapidement, le garçon se mit à enchaîner les coups. Alors que plusieurs pourraient comparer ses coups à une pluie battante, vu la rapidité de l’elfe, cela n’était qu’une rouée de coups, il fallait simplement qu’elle puisse repousser les deux sabres avant de contre attaquer. Alors qu’elle avait mit sa deuxième main sur le manche de son sabre et qu’elle allait pousser violement sur celui-ci pour faire reculer Kaen, une classe entra coupant de cours les deux jeunes gens.

Et voilà qu’un autre endroit n’attendait pas l’autre, arrivé à l’infirmerie, le garçon s’assit et tout les deux attendent le médecin. Et le silence fut vite coupé par le garçon. Voilà qu’il la complimentait. Et bien, c’était gentil, mais elle passait son tour. Alors que la salle était vide, elle se leva de sa chaise, c’était assez.

-Je vais te mettre le point sur les i, mon cher. Tu as bien vu de tes propres yeux, non?! Ne joue pas la carte de l’innocence avec moi, tu veux me prendre en pitié, c’est quoi? Je t’avais bien dit de ne pas contrôler ta force, je suis capable d’en prendre je te ferais remarquer.

Elle savait qu’elle se contredisait, mais tout semblait lui glisser des doigts ou de se passer trop vite. Et bien entendu, pour ajouter à son malheur, le médecin choisit ce moment opportun pour interrompre leur conversation, ou plutôt son monologue, car aucune phrase n’avait vraiment eu le temps de sortir de la bouche du garçon qui avait peut-être ou pas vu la catastrophe arriver. Alors qu’elle c’était toujours considérée comme une fille simple à comprendre, elle craignait bien que le garçon ne comprenne pas toutes ses états d’âmes. Elle regarda le médecin.

-Non, vous nous déranger pas, je m’apprêtais justement à sortir.

Ce qu’il fit d’ailleurs, sans même se retourner vers le garçon, le regard rivé sur la porte. Sur place, le médecin s’occupait du garçon, pendant qu’elle faisait les cents pas, sans se rendre compte que les deux avaient encore un œil sur elle vu les vitres qui encadraient la porte. Elle se parla à voix haute, pensant certainement pas que ces mots seraient captés de l’autre côté de cette porte. Il devait s’être mis à reparler.

-Et maintenant, je fais comment pour les conseils de guerrier? Pourquoi me suis-je emportée de la sorte? Je lui dois des explications, vraiment? C’est si… troublant, pourquoi? S’ouvrir aux gens, oui, c’est facile à dire, mais aussitôt qu’il faut l’appliquer, c’est du beau gros n’importe quoi!

Lorsqu’elle porta son regard derrière la vitre subtilement, elle rencontre le regard des deux hommes encore sur elle. Elle fit alors semblant de partir avec un sourire gêné, alors qu’à la place, elle s’assit un plus loin sur le sol s’appuyant au mur de la salle d’infirmerie. Elle l’attraperait à sa sortie se dit-elle. Elle allait donc avoir le temps de réfléchir à ce qu’elle allait lui dire, avant qu’il sorte peut-être en trompe après s’être fait soigner… Elle l’attendrait bon!

**[Hors R-P: Bon, je sais... Atwood sort de ce corps. x) J'ai vu que tu faissais faire beaucoup d'action à mon personnage, je te le laisse pour cette fois-ci, mais recommence plus à l'avenir s'il te plaît, disons que ça me mélange un peu. x) Sur ce, continuons le Rp! ^^] 

-Je vais te mettre le point sur les i, mon cher. Tu as bien vu de tes propres yeux, non?! Ne joue pas la carte de l’innocence avec moi, tu veux me prendre en pitié, c’est quoi? Je t’avais bien dit de ne pas contrôler ta force, je suis capable d’en prendre je te ferais remarquer.

Impossible de lui répondre, la jeune fille dominait la conversation sur toute la ligne, les armes ne semble pas lui faire défauts mais sa langue non plus. Le médecin arrive pendant que la demoiselle continue a me parlé, puis quand elle le voit elle quitte la pièce en disant qu'elle s’apprêtait a sortir de toute façon. Une fois de l'autre côté elle continue a parlé toute seule puis elle ne remarque pas qu'on entend parfaite ce qu'elle dit.

-Et maintenant, je fais comment pour les conseils de guerrier? Pourquoi me suis-je emportée de la sorte? Je lui dois des explications, vraiment? C’est si… troublant, pourquoi? S’ouvrir aux gens, oui, c’est facile à dire, mais aussitôt qu’il faut l’appliquer, c’est du beau gros n’importe quoi!

Une fois quels nous remarque elle sort du cadre avec un sourire gêné, cela me fit rire mais le médecin n'était pas du même avis, il me dispute sur ma blessure qui c'est rouverte, il ne faut pas oublié que je suis arrivé ensanglanté la première fois avec Azumi, il ne semble pas m'avoir oublier, en même temps cela est normal. Il me fit les soins adapté puis il prit son livre puis me mis un coup sur la tête assez fort puis il me demande de retourné a mes activité sauf celle qui on besoin de ma main blessé. Une fois sortir je me frotte la tête a cause du coup puis je remarque Cybella sur le côté. Puis je lui dis que le toit est idéale pour faire dormir et que j'avais une question a lui posé.
Une fois sur le toit je m'allonge puis je regarde la demoiselle avec un œil fermé a cause du soleil qui m"aveugle.

- Maintenant qu'on a fait de la pratique, discutons tranquillement. Je risque de posé des questions qui me regarde en rien, mais j'aimerais savoir pour ta cicatrice son origine.

Laissant un peu de côté le sujet qu'avait mit la jeune femme en ''tension'' a l'infermerie, je cherche a me renseigné un peu, surtout la cicatrice, c'est douloureux et généralement elle raconte une histoire.

Le garçon n’eut aucun temps de réaction et comme à son habitude, Cybella avait les commandes. Elle détestait être reléguée à l’image de la bonne fille de famille soumise vu sa race. Après tout, il n’y avait-il pas toujours une exception è la règle? Et bien la rouquine était bien l’exception, car ces confrères et ses consœurs étaient assez réfléchi, elle aussi, mais aussitôt qu’on touchait d’un peu trop près sa corde sensible, elle s’emportait et pas qu’un peu.

Avec le garçon, elle avait été un peu piquée par cette tournure. Bien entendu, elle aurait pu le prendre au premier degré, dire qu’il n’avait rien remarqué ou qu’il ne voulait tout simplement pas lui remettre au visage, mais Cybella avait trop hâtivement sautée à une autre conclusion. Pour elle, le garçon avait voulu dire cela pour qu’elle admette elle-même sa peur, sa défaite. Elle n’avait pas vraiment prit en considération qu’au moment du combat, qu’au même moment où elle s’était figé, les yeux du garçon avaient semblé froid, sans émotions, sans même de conscience, comme si tous les enchaînements qu’ils venaient d’exécutés étaient machinaux.

Après seulement quelque minute, Cybella se releva du sol en s’essuyant le derrière pour se mettre aussi debout devant Kaen. Déjà qu’elle semblait petite à côté de lui, être assise n’aiderait en rien sa situation de vulnérabilité. Le garçon ne semble pas du tout rancunier envers elle alors qu’elle avait fait une petite scène, même qu’on aurait dit qu’il savait qu’elle était encore là, car aussitôt sortit, le garçon s’était dirigé vers elle en disant que le toit était le meilleur endroit pour dormir. Elle se laissa convaincre et commença à marcher, alors qu’il lui avait aussi dit qu’il avait une question pour elle. Ah oui, mais qu’est-ce que ça pouvait bien être? La jeune femme intrigué ne dis rien, suivant le garçon jusqu’au toit sans dire un mot. Ce devait presque être jouissif pour le garçon de ne pas entendre la voix de Cybella.

Une fois sur le toit, le garçon s’étendit, et alors qu’elle prit le temps de s’asseoir en indien en prenant ses des extrémités de bottes dans les paumes de ses mains, elle fermât les yeux, maintenant habituée de sentir le soleil lui chauffer les joues qui commençait à se parsemer plus qu’habituellement de tâche de rousseur. Alors qu’elle était concentrée sur cette sensation sur sa peau, elle entendit enfin la question du garçon. Elle rouvrit un œil, un œil assez expressif. Un œil au regard drôlement sévère. Elle avait bien vu qu’il avait essayé de changer de sujet, mais en posant cette question précise, il retournait le fer dans la plaie…

Sans même réfléchir, ses lèvres bougèrent pour exprimer le réel fond de sa pensée.

-Tu as raison, tout cela ne te regarde en rien.

Dans ces paroles, il n’y avait aucune méchanceté, alors qu’elle aurait voulu y mettre un ton plus sec après brève réflexion. Elle rouvrit alors les deux yeux et sans même regarder le garçon, elle se leva, se dirigea près du toit et elle se plaça à son aise. Elle s’assit sur le rebord, une jambe replié sur elle et posé sur le rebord, alors qu’elle laissait sa deuxième jambe se balancer dans le vide.

-Tu sais, c’est une longue histoire tout cela…, dit-elle cette fois en se risquant à le regarder dans les yeux. Tu dois connaître ça des cicatrices, pas vrai? Aussi, je dois avouer que je suis un peu tanné de toujours commencé, dit-elle en essayant de faire un petit sourire à son interlocuteur, mais rien, ses lèvres n'en avaient pas la force.

C’était vrai après tout, c’était elle qui avait engagé la conversation la première, c’était elle qui avait du faire les premiers pas pour lui demander un petit combat… Bon, elle l’avait engagé comme une surveillante et qu’elle ne voulait pas simplement lui demander un combat, mais plus précisément quelques cours… Bien entendu, le garçon n’aurait pu deviner cela, mais c’était elle qui avait du engagé le combat et maintenant ce devait être encore elle qui devait dire l’histoire la plus humiliante, selon elle, la première? Oh non.

-Dis moi le combat le plus humiliant que tu as eu, et peut-être que j’aurais l’envie de t’en parler, dit-elle avec le visage adoucie, même avec sa moue triste. Parle moi d’un combat où tu t’es sentit impuissant, Goldrun.

Son regard avait ce pétillement malicieux, comme un air de défi, sans pourtant que cet air triste ne s'est évaporé, faisant plisser le front de la belle elfe et lui faire un peu froncer des sourcils. Il lui était rarement arriver d'avoir un visage décrispé qui exprimait aussi ouvertement les réels sentiments qu’elle ressentait et qu’elle persistait très souvent à nier. Peut-être avait-elle un peu d'estime pour le garçon, même qu’elle avait arrêtée de le vouvoyer à cet heure, peut-être était-ce du à la réaction de sa question disons-le assez indiscrète, mais franche. Après tout, elle aimait bien ceux qui étaient franc et ceux qui osait.

[Hors R-P: Désolée du retard. >.<']

Il semble que la jeune femme ne sembler pas vouloir en parler, la réponse fut presque immédiate et indique que cela ne me regarde pas du tout comme j'avais pu le dire. Puis elle s'installe au niveau du rebord puis viens a me demandé si je sais ce que sa donne d'être marqué, je ne laisse aucune réponse sortir de ma bouche, je voulais gardé le silence a ce propos. Mais par la suite une question devais me faire parlé a ce sujet, je pense que cette femme pourrait comprendre, autant je pense que nous somme presque pareil, des événements différant, mais malgré cela nous devions pas être si différant. Puis une petite question change complètement la situation.

-Dis moi le combat le plus humiliant que tu as eu, et peut-être que j’aurais l’envie de t’en parler. Parle moi d’un combat où tu t’es sentit impuissant, Goldrun.

La question m'avait plongé dans mes pensés, pendant quelque seconde mon regard deviens vide, mes souvenir défile rapidement les un après les autres. Puis je reviens a moi tout seul, combien avait-je passé a pensés ? Quelque seconde je crois.

- Ce n'est pas un combat, mais la vie de tout les jours. Je me sens impuissant face a ce monde.

Puis je décide de lui tournée le dos puis soulevé ma chemise pour lui montré mes cicatrices sur mon dos.

- Ce jour-la même si j'ai tuer tout mes opposants je me suis sentie impuissant, l'ironie est que ma victoire était humiliante.

Pendant mes explication mon regard était légèrement vide, puis a la fin de la conversation mon regard repris son état normal. Je la fixe puis je détourne le regard, elle avait déjà du entendre parlé de mes exploits a cause des événement passé, mais bon malgré que je la connais depuis peu, j'imagine que les rumeurs ne l'affecte pas vu sa réaction de tout a l'heure sur les autres.
J'attendais de voir s'il elle allait me dire a son tour la raison de sa cicatrice, on était surement en train de crée un lien de confiance a partager ce genre d'information, mais notre relation s'arrête a une confiance et du respect en vers l'un et l'autre, contrairement a certain ragot que les imbéciles avait conclus trop rapidement, comme toujours les gens imagine les choses qui les amuse et qui peut blessé les autres. Habituellement une rumeurs que je sors avec une nouvelle dans l'académie me dérangerais pas, mais Kei pourrait entendre cette rumeur et mal réagir. Cette Kei aura vraiment changé mon comportement depuis que je l'ai rencontré.

Aucune réponse de la part du garçon, pourtant la jeune rousse se doutait bien qu’il devait avoir au moins une cicatrice… Ou bien, c’était un fils de riche qui était venue étudier ici, mais tout de même, ils n’auraient pas eu affaire à ces robustes et ce nain de toute à l’heure s’il n’avait été un fils à papa comme les humains appelaient ça. Il cachait quelque chose lui aussi. Et bien… ils avaient tous les deux un respect mutuel à tenir le silence. Peut-être n’étaient-ils pas dû pour se faire confiance, peut-être que la rousse n’était pas dû pour être sociale, non plus... Qui sait? Elle voulut avoir une réponse, donc elle persista en rajoutant une autre question, si c’était une question vu la mine de l’elfe, elle était en quelque sorte dans son monde, les yeux vers l’horizon, continuant de balancer son pied sans même plus s’en rendre compte.

Alors qu’elle avait maintenant tourné la tête vers le garçon pour le voir de façon claire au lieu de ne le voir qu’en flou sur le côté de son champ de vue, il se tut. Comme s’il ne voulait guère répondre à sa question, allait-il éviter la question? Allait-il tenter de faire comme Cybella le faisait toujours, renverser la situation ou fuir? Et puis alors que le silence régnait, et que son regard semblait vide, il prit la parole.

-Ce n'est pas un combat, mais la vie de tous les jours. Je me sens impuissant face à ce monde.

La main de la jeune elfe, vient se poser sur le bandage qu’elle s’était mit sur la jambe, la laissait glisser sur le doux coton, un brin compréhensive les yeux rivé sur sa jambe. Bien entendu, tout semblait différent, mais... Elle ne savait comment le dire… Elle voyait sa blessure pas comme un combat, car un combat, il finissait un jour, tandis que sa cicatrice, elle serait là à jamais. C'était donc l'impuissance de tous les jours, c'était une lutte qui ne cesserait dont jamais? Était-ce à cela que le garçon faisait allusion, elle ne le sait pas, mais elle préférait garder cette perception, comme ci elle n’était pas seule dans tout cela. Elle avait prit la décision que maintenant, elle ne serait pas impuissante, non, elle avait décidé de se prendre en main, de montrer qui était le patron et elle l'avait choisit lui pour l'aider à se remonter. Elle se serait presque sentit en thérapie, l'étape un étant la confession mutuelle, peut-être que pour une fois, elle voulait croire que le destin l’avait mis lui sur sa route, mais dit ainsi, elle se sentait presque pathétique. Elle en aurait presque rie.

Enfin, le garçon reprit la parole la fessant sortir du fil de ses pensées. Il s’était mis à dos, et il soulevait sa chemise. Elle y vit deux longues cicatrices se croisant en leur milieu tel un x. Elle aurait voulu lui passer la main dans le dos comme sa mère lui faisait lorsqu’elle était enfant, mais elle savait très bien qu’il n’avait pas besoin de pitié, tout comme elle, elle n’en voulait pas non plus.

- Ce jour-la même si j'ai tué tous mes opposants je me suis sentie impuissant, l'ironie est que ma victoire était humiliante.

Alors qu’elle prit enfin le temps de comprendre ces mots, elle garda le silence, alors que pourtant, tout en elle n’était que révolte. Comment osait-il parler de victoire humiliante, il avait abattu tous ses adversaires, alors qu’il y avait-il de mieux à demander? Ça l’impliquait qu’il avait été seul contre plusieurs… Alors qu’elle, elle s’était réellement humiliant, c’était du 1 contre 1 et elle n’avait pas pu le blesser. Elle aurait voulut embellir son histoire, mettre quelque chose après l’os, mettre un contexte plus glorieux, mais à quoi ça servirait maintenant? Si elle n’en parlait pas même après une quarantaine d’années, quand le dirait-elle et surtout à qui le dirait-elle? Sur ce, elle le regarda avec une mine assez confuse.

-Expliques-toi?

Elle le laissa donc entreprendre son explication et enfin, elle prit la parole pour parler de son histoire, de sa cicatrice, de se qui lui était peut-être le plus personnel au monde même.

-S’il te plaît, avant de me lancer, je ne veux pas de ta pitié, c’est compris?, elle l’avait dit de façon très sec, mais pourtant, elle avait eu cette vilaine boule dans le fond de sa gorge qui avait un peu cassé le tout.

Et sans même lui laisser le temps de placer un mot ou un hochement de tête, elle se lança dans son récit, espérant réellement qu’une fois cette histoire racontée, plus jamais elle ne figerait. Seulement, elle se leva, faisant les 100 pas pour premièrement ne pas le regarder dans les yeux et aussi pour se calmer, sinon. Rester sur place à ce stade, ça l’aurait torturée.

-Je venais tout juste d’être prise sous l’aile de quelqu’un et alors qu’on s’entraînait, alors qu’il me montrait les rudiments du métier, … Il me croyait prête, il voulait me voir agir seule pour la première fois, donc, il me regardait de loin sans intervenir et puis il y a eu ‘’lui’’… Il m’avait prise de court. Il m’avait mit sa dague sous la gorge tandis que dans son autre main, il faisait monter son autre dague sur ma jambe. J’étais complètement figé, alors qu’il était encore en train de faire monter sa dague jusqu’à ma cuisse.

Alors qu’elle avait fermé les yeux, elle se rappela qu’il avait mit la dague avec laquelle il avait eu plaisir à lui faire mal entre ses dents, il avait même eu le temps de passer sa main sur sa cuisse avant qu’enfin son maître l’ai sauvée. Elle ne sentait même pas ses larmes rouler sur ses joues, toujours les yeux fermés et complètement arrêter, elle ne faisait plus les cent pas. Et sans prendre de pause, elle continua son récit, elle rouvrit finalement les yeux, le regardant.

-J’ai figé, son regard était si pervers et son sourire si… arrogant, elle émit un petit rire nerveux alors qu’elle avait enroulé ses bras autour d’elle. J’étais jeune à l’époque, c’était la première fois que je pouvais voir ce genre de regard, jamais je n’aurais cru que quelqu’un pourrait me regarder avec tant de méchanceté ou même réussir à faire un sourire si carnassier que le sien et je le crois toujours, c’est ça le pire... Ce n’est pas la sagesse qu’un elfe de 100 ans aurait.

Elle soupira presque d’aise d’en parler, sans pour autant qu’elle ne puisse retenir l’émotion qui venait avec l’histoire. Elle éclaircissait sa gorge, croyant réellement que ça l’apaiserait les brûlures de ses yeux émeraude. Tout en regardant le visage du garçon qui serait surement assez expressif soit face à sa confession ou à son âge ou au deux.

[Hors R-P: Je pense que j'ai une maudite bonne idée s'il la prends en pitié. Je vais t'envoyer un Mp dès que tu auras répondu et avec ça, je vais voir si ça marche.]

Elle me demande de m'expliqué, elle ne devais pas comprendre, c'est assez compliqué. Même moi j'ai du mal a le comprendre, mais gagnez même contre une meute de gens et finir avec l'esprit vide puis ce demandé qu'est que j'ai gagné a faire cela.

- Je suis assez confus a ce sujet moi aussi, mais gagné et ce demandé pourquoi je l'ai fais pour finir dans un état aussi pitoyable n'est pas une victoire en soit.

Puis juste après lui avoir expliqué elle continue en parlant maintenant a son tour, elle me dit de ne pas la prendre en pitié ? Puis sa voix ne semble pas préparé car je sentie quels n'était pas naturelle. Lui promettre cela est un peu mentir d'avance, je ne lui fais aucun signe particulier, juste que j'étais prêt a l'écouté. Puis petit a petit quand j'écoute son histoire je trouve cela un peu dommage quels est tombé sur quelqu'un de totalement fou et qu'a pris un malin plaisir a s'amuser avec son corps. Elle ne voulait pas que je la prenne en pitié, mais bon que faire de plus que de la plaindre de la malchance quels a eux. Je pouvais même remarqué quels avait du mal a caché ses émotions qui arrive a refaire surface.

- C'est une histoire assez tragique, difficile d'y resté insensible surtout pour un Humain.

Je ne disais seulement le fond de ma pensé, je n'allais pas resté sans rien dire a cette histoire tragique qui lui est arrivé. Une fois qu'on avait tout les deux fini de vidé notre sac on n'avait maintenant crée comme un lien de partage, cela veut dire qu'on n'est plus vraiment des étranger l'un envers l'autre. Je fini par l'allonger, puis j'écarte tout mes membre pour devenir une étoile qui prend la pause. Fixant les nuages, j'essaye de me souvenir de ce combat dans la forêt, en avoir parler ma fais remonté certain souvenir, même si je me souviens que vaguement de ce qu'il s'était passé la bas. Quand une légère présence venu me perturber, elle semble venir de la porte qui permet d'avoir accès au toit, je dirais qu'il s'agit d'une seule personne, on ne dirait pas qu'il s'agit de l'un des abrutis de tout a l'heure et il ne semble pas avoir de mauvaise intention puis la distance est trop grande pour qu'il arrive entendre notre conversation, je l'ignore pour le moment je m'occuperais de voir qui se cache la-bas plus tard.
Mon attention ce pose a présent sur Atwood Cybella, j'attend voir sa réaction et remarqué si je n'étais pas le seul a avoir sentir la présence de cette petite espion.

Alors qu’il essayait d’expliquer cette humiliation en soi, il répondit de façon confuse. L’elfe qui habituellement était tenace et adorait demander des détails, aimait poser des milliers de questions resta sans voix. Elle ne connaissait pas le contexte, et elle laissait le droit au garçon de garder quelque détail pour lui, comme elle lorsqu’elle entreprit son histoire. Bien entendu qu’elle n’allait pas tout dit, mais au fur et à mesure qu’elle parlait tout sortait, même jusqu’à la description des traits de son agresseur qui l’avait fait figer. Elle avait même dit son âge, qui selon elle ne devrait pas être révélé aux humains, après tout, il la traiterait de vieille, non? À moins qu’en cours de Bêtes et Créatures, ils aient enfin abordé le sujet des elfes, des Drow… Juste le prononcer dans sa tête, lui faisait presque faire une face de dégoût.

Bon revenons à ce qui nous intéresse vraiment… Alors qu’elle avait fini par le dire à quelqu’un, qu’elle avait enfin fait sortir sa terrible honte, elle ne se sentit pas libérée pour autant. Qui avait dit cette bêtise qu’en le disant à quelqu’un on se sentait si bien par la suite? Elle avait toujours honte, elle revoyait toujours la déception dans les yeux de son maître. Et maintenant qu’elle s’était enfin donné la peine de le dire et qu’elle pensait qu’elle le ferait de façon neutre, calme et à l’abri des raz-de-marée, surnom qu’elle aimait bien donner comme qualificatif à ses émotions, elle n’avait pas réussit. Elle ne pouvait que blâmer son corps, après tout, c’était ses épaules qui sursautait, c’était de ses yeux qu’elle pleurait, c’était ses muscles qui devenaient courbaturés, c’était son corps le maillon faible. Bien qu’elle se sache rapide, agile et souple, elle accusait son corps, elle allait devoir travailler comme jamais.

Et alors qu’enfin la réaction du garçon se fit entendre, elle vu ce regard, ce regard de pitié qu’elle détestait tant. Ce n’est pas vrai, mais c’est une blague!, aurait-elle voulut crier au garçon. Au lieu de quoi elle se tut, gardant ses yeux rivés sur le jeune homme, dès qu’il ouvrit la bouche, elle sut instantanément qu’il ne dirait rien de se qu’elle attendait, rien du genre et bien travaillons plus fort ou je sens que plus jamais tu vas figer, non ça l’aurait été trop beau pour être vrai aux oreilles de l’elfe.

-C’est une histoire assez tragique, difficile d’y rester insensible surtout pour un Humain.

Ça y était, il lui avouait, que les humains étaient plus émotifs par moment. Elle s’en doutait un peu, les siens était toujours là à vérifier les moindres détails avec cette sagesse qu’elle n’avait pas, cette objectivité dont l’elfe ne possédait pas. Était-elle pareil pour savoir s’emporter autant? Alors qu’elle aurait pu simplement se plaindre sur son sort où se loger dans les bras du garçon pour pleurer sur une épaule comme quelqu’un de normal l’aurait fait vu leur ‘’amitié’’, elle lui mit une gifle en plein sur la joue.

-Je te l’ai demandé! Et t’oses me regarder ainsi?

Le garçon se rendrait vite compte qu’elle n’était pas aussi semblable que les autres blonds et blondes de son clan, non, pour un elfe, c’était assez anormal d’agir sous la colère. Elle le fixait encore et encore, alors qu’il s’étendit, fessant l’étoile, à quoi réfléchissait-il maintenant, car un silence vient alourdir la pièce, si du moins le toit était une pièce, même si le ciel semblait si haut et que les nuages ne témoignait pas acte de présence, l’elfe sentait la lourdeur de ces actes. Mais pourquoi l’avait-elle giflé pour quelque chose d’aussi ridicule?

Mais, le bruit qu’avait fait sa gifle ne rassura en aucun cas l’elfe. Non, il y avait quelqu’un d’autre dans les parages. Elle eut à peine le temps d’apercevoir des cheveux blancs, blonds, ou peut-être d’une autre couleur, elle ne pouvait réellement le savoir vu que le soleil lui était tombé en plein dans les yeux.

-Montrez-vous, osa-t-elle interpeller l’espion qui venait de se faire prendre la main dans le sac.

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