Une explication non sans difficulté [Pv Kaen] - Terminé

Elle s'était jetée par la fenêtre de sa chambre, laissant ainsi Kaen seul avec le petit chaton, et ceux depuis une journée déjà. Elle s'était laissée porter par le vent sans contrainte puis avait terminé sa course sur un arbre, et plus exactement sur une branche assez haute, à l'abri des regards. Il faisait nuit et, par conséquent ses yeux ne virent pas vraiment dans quel environnement elle avait atterrit. Elle voulait juste être seule pour se calmer et réfléchir à tout ça. Kei s'était assise sur la branche, le dos appuyé contre le tronc. Pourquoi avoir si facilement pris la fuite ? Son camarade savait se montrer compréhensif lorsqu'il le voulait bien sur. Peut être que là il aurait pu comprendre... Ou pas. Elle ne le connaissait pas suffisamment pour en être sur. C'était peut être une des raisons de sa fuite. Il lui avait, indirectement avoué ses sentiments et elle n'avait su que se sauver. Quelle incarnation d'élément agirait de cette façon ? Aucune non ? Elle se désespérait elle même d'un tel comportement.

Levant les yeux au ciel, elle aperçu, malgré les nombreux branchages qui le couvrait, les quelques timides étoiles qui étaient apparentes. Était elle amoureuse de lui ? N'était ce pas plutôt de l'amitié un peu trop poussée ? C'est vrai qu'elle se sentait bien en sa compagnie malgré les taquineries qui lui faisait subir. En plus, même si, génétiquement il était plus faible qu'elle, bien qu'elle ne sache pas exactement ses capacités dans ce domaine, elle se sentait en sécurité avec lui. La jeune fille avait aussi ressenti de la jalousie lorsque la surveillante, complètement ivre avait fait son show.. Elle avait aussi été inquiète lorsqu'il était tombé malade.. Son cœur pouvait battre fort dans certains circonstances avec lui. Tout semblait indiquer son penchant.

L'élémental finit par fermer ses yeux et s'endormir. Plongée dans un sommeil sans rêves, elle ne sentit ni le froid de la nuit ni la rosée se déposer sur les plantes. Elle émergea avec le bruit des oiseaux. Ses yeux furent surpris de ce qu'ils virent. L'arbre sur lequel elle se trouvait été humide, tout comme son environnement. De l'eau boueuse s'étendait en plusieurs petites marres et une odeur pas vraiment agréable s'en dégageait. Cependant, malgré l'étrangeté du lieu, sa nuit fut bonne. Mais ses idées n'étaient toujours pas très claires au sujet du jeune homme. Il était donc hors de question qu'elle retourne à l'Institut pour le moment. Aucune envie de le voir et de s'expliquer. La jeune fille resta un long moment affalée sur sa branche humide. L'air humide accompagné de la brise matinale lui faisaient le plus grand bien.

Combien de temps s'était écoulé ? Dix minutes ? Une demi heure ? Une heure ? Plus ? Elle n'en savait rien mais elle commençait à avoir faim. Aussi, elle finit par se lever et descendre de son perchoir. Même si l'endroit était hostile, il devait bien y avoir des baies ou autres fruits comestibles. Quelques minutes lui suffirent pour trouver les objets de ses convoitises qui se trouvaient au bord de l'eau boueuse: des baies rouges et noires. Elle en gouta une et rien ne se produisit. Voilà son repas était fait. Elle en cueilli plusieurs qu'elle mit dans son t shirt qu'elle tenait de la main droite à sa base. Peu à peu, sa corbeille de fruits improvisée se remplissait.

Le ciel s'était obscurcit rapidement et le vent s'était levé. Le bruissement des feuilles s'accompagnait du mouvement de l'eau stagnante. Probablement à cause du vent aussi. Ça en devenait presque lugubre. Des bruits de pas spongieux, à cause de l'humidité ambiante, s'ajoutèrent aux sons déjà présents. Et ça s'approchait. L'élémental tourna la tête à droite et à gauche pour essayer de découvrir d'où ils provenaient. Mais rien n'était encore visible. Son rythme cardiaque commençait à augmenter. Cette ambiance commençait à lui faire un peu peur fallait l'avouer. Qu'est ce que ça pouvait être ? Une bête ? Des brigands ? La réponse viendrait bien assez tôt.

Kei n'étais pas réapparue depuis notre petite conversation de la dernière fois, je continué de me promené sans raison et un peu partout dans Valkar, puis une conversation de deux chasseur attira mon attention, ils avaient cru voir une fille dans les marécages ce baladé toute seule. Cette zone est rarement visité hors mis les chasseurs qui traques des bête sauvage dans les environs. Je ne sais pas si j'avais volontairement décidé d'allers me promené la bas, mais au fond de moi je voulais surement la retrouvé pour avoir des réponses cette fois-ci.
J'avance tranquille dans les marécages puis je croise a ma grande surprise une petite créature qui ressemble a un reptile, assez mignon en soit il ne semble pas dangereux, il ne semble pas m'avoir remarqué non. C'est alors qu'une immense ombre ce crée derrière moi, mon visage deviens pâle, ce truc est ni mignon et il semble vouloir me décapité pour être son repas du jour. Ni une ni deux je prend mes jambe a mon coup et le monstre me suit, j'arrive a mettre un peu de distance entre nous, puis subitement je me retrouve devant Kei, je lui rentre dedans, je l'avais vu au dernier moment et je ne pouvais pas m'arrêté, nous revoilà dans notre position favorite, mais cette fois je me relève sans perdre de temps je saisie la main de Kei puis je m'enfuie avec les elle.
L'énorme bestiole est toujours a notre poursuite, je pouvais naturellement utilisé mes armes mais je ne voulais pas prendre la vie de ce monstre si je pouvais m'enfuir. On fini par ce caché, j'efface ma présence pour ne pas attiré l'attention de ce prédateur. Puis une fois qu'il est abandonné, me revoila devant Kei, je n'avais toujours pas lâché sa main depuis le début, content que tout fini bien j'expire un bon coup. Puis je fixe Kei, comme si j'attendais une explication pour la dernière fois. Je fis en sorte quels ne puisse pas s'échappé cette fois, c'est alors qu'un autre bruit surgi derrière nous, il semble se rapproché petit a petit.

Effectivement la réponse à ses questions l'avait carrément heurté de plein fouet. Les bruits de pas s'étaient rapprochés très rapidement. Elle n'avait pas su deviner leur origine. Ou, tout du moins, leur direction. Son cœur avait battus très fortement dans sa poitrine et la peur la tétanisait presque. A peine avait elle eut le temps de se retourner une fois les sons devenus plus perceptible, qu'elle s'était retrouvé à terre, dans la boue. Allongée sur le dos, avec son "agresseur" à quatre pattes au dessus d'elle, ses cheveux étaient couverts de terre et viraient au châtain. A sa grande surprise, se fut Kaen. Comment l'avait il retrouvé ?! La jeune femme était restée discrète pourtant...

- "Qu'est ce que... ?"

Il ne lui laissa pas le temps d'en dire plus qu'il se releva, lui prit la main, l'aida à se relever et les firent s'enfuir. Elle osa jeter un regard derrière eux et ce qu'elle vit la poussa à accélérer le pas. Un catoblépas était en train de les poursuivre! Son corps ressemble à un buffle boursoufflé et ses jambes sont courtes. Très courtes mais ça ne l'empêchait pas de réussir à les poursuivre sans trop de mal. Sa queue musclée se termine par une protubérance chitineuse. Sa tête, d'horrible phacochère est perchée au bout d’un long cou qui supporte difficilement son poids. Il n'allait surement pas les lâcher ainsi! Ils sautèrent tout les deux par dessus une marre de boue et elle s'apprêta à lancer un refroidissement glacial mais le brun l'attira rapidement dans un buisson! Là ils se turent... Un ange passa, puis deux.

Une fois la bête éloignée, Kaen soupira de soulagement un bon coup. L'animal n'était pas non plus à des kilomètres d'eux.. Un son trop prononcé et son retour pouvait s'annoncer. Le brun se mit ensuite à la fixer l'air de dire "je veux des explications sur ce qui s'est passé avant hier". La jeune fille ne put que détourner les yeux et ces derniers se posèrent, malencontreusement sur leurs mains qui se tenaient toujours. Ses joues prirent alors une légère teinte rosée alors qu'une nouvelle fois son rythme cardiaque avait un peu augmenté. Elle n'avait rien à lui expliquer.. N'étant elle même pas encore très sure. Aussi, elle resta silencieuse toute en évitant son regard.

Au moment où l'élémental allait ouvrir la bouche non pas pour répondre à ses interrogations mais plutôt sur le comment il l'avait trouvé, un nouveau bruit se fit entendre juste derrière eux. Elle frémit puis se figea sur place. Ça s'approchait à une vitesse constante selon le son des pas. Des voix commencèrent à leur parvenir:

- Y parait qu'il y a des gamins qui traînent par ici. Tu penses qu'on pourra les trouver ?
- Ils n'ont aucune chance de s'échapper. On a l'habitude du terrain. Espérons qu'on puisse en tirer un bon prix.

La jeune fille déglutit. C'était pire que des brigands ça! Elle plongea ses prunelles dorées dans celles écarlates de son camarade et d'un commun accord tacite, ils s'éloignèrent l'un de l'autre. Leurs mains se lâchèrent et chacun alla de son côté. Elle à gauche et lui à droite. Il fallait mieux qu'ils se camouflent correctement si ils ne voulaient pas terminer en marchandise humaine. Elle s'éloigna encore un peu jusqu'à se cacher derrière le tronc d'un arbre. Kaen devrait s'en sortir. Du moins elle l'espérait... Kei osa un regard discret vers les hommes et vit qu'ils étaient, eux aussi parti chacun de leur côté. L'un sur ses pas, l'autre sur ceux du brun. Ils les avaient entendu se déplacer ?! Non. Impossible.. Ils avaient été assez discret pourtant.. Ses yeux se portèrent sur le sol boueux. C'est pas vrai!! C'était ça qui les avait trahi! Leurs empreintes de pied étaient clairement visible! Ils étaient foutus! Elle se plaqua un peu plus contre le tronc, son cœur battant la chamade et prête à attaquer si il le fallait.

Le bruit qu'on entendu derrière nous était juste deux personnage qui discute, leur sujet semble leur concernée.

- Y parait qu'il y a des gamins qui traînent par ici. Tu penses qu'on pourra les trouver ?
- Ils n'ont aucune chance de s'échapper. On a l'habitude du terrain. Espérons qu'on puisse en tirer un bon prix.

Des chasseurs d'esclave ? Généralement ce genre d'individu ne sont pas des amateurs. Je ne m'amuserais pas a me montrer devant eux, même armé. D'un simple regard on se sépare pour pouvoir mieux ce dissimulé, je pars de mon côté puis je tombe sur le monstre de tout a l'heure, j'avais caché ma présence, mais un seul mouvement et je pouvais sentir qu'il m'attaquerais, il passe juste a côté de moi. Je saisie un simple cailloux pour le jeté dans le sens ou j'avais l'intention de me caché, cela attire les deux individu et le monstre. Voila une surprise qui devrais leur faire plaisir. Je tente de rejoindre Kei discretement, une fois Kei dans ma ligne de mire j'avance doucement, l'un des hommes semble la cherché, c'est alors que son camarade demande du soutien a son partenaire de chasse. Le bruit de l'animal qui souffre se fait entendre, les deux homme semble repartir tranquille dans leur recherche. J'avais raison, ils sont loin d'être nul. Kei n'avais pas encore remarqué ma présence, je décide de venir discretement dans son dos, puis une fois derriere elle, l'une venu se mettre sur sa bouche pour évité tout risque de crie ou bruit suspecte de faire revenir les deux chasseurs et la main droite venu attraper la main gauche de Kei, en fessant ceci entre mon épaule et mon coude cela bloque le bras droit de Kei et ma main bloque tout les mouvement de sa gauche. On aurait dit que j'avais des intention malsaine a l'attraper comme ceci. Je fini par dire a voix basse.

- Ce n'est que moi.

La main qui l’empêche de prononcé le moindre mot ce retire doucement et reste au niveau de son cou. L'autre lâche sa main et reste au niveau de son ventre. Ma tête viens se posé doucement sur son épaule, nos joue ne se colle pas, mais le contacte n'est pas loin.

- C'est très romantique nos retrouvaille, mais cette fois-ci je ne te laisserais pas partir.

Je décide de sortir de notre cachette, on devait quitté ce bois au plus vite, a peine sortie je vois un jeune homme au cheveux vert et qui possède une aura meurtrière extrême terrifiante nous regardé, son sourire sadique et les hommes munie d'arc qui les pointes dans notre direction affiche rien de bon. Je souhaite sortir mes armes pour me préparé a me défendre, mais a peine eu-je le temps de saisir le garde que l'homme aux cheveux vert avait disparu, et un mal surgit au niveau de mon ventre. Et l'homme sadique rigolé juste a côté de moi, son poing enfoncé dans mon ventre, je ne l'avais même pas vu venir, du sang sortie de ma bouche, cet homme n'était pas allers doucement dans ce coup point.

- Tu tape comme une petite fille... Dis-je a espérant ne pas m’effondrer par terre.

Ni une ni deux l'homme repris deux coup fatal, un coup de genou dans le ventre suivi d'un coup de coude dans le dos, je fini au sol a moitié assommé par les coups, la seul chose que je pu entendre était quelque chose de mon agresseur.

- Humm, je n'ai pas les élémentaliste. Dommage j'avais des pulsions pour une jeune comme toi ma belle. Apporté les menottes pour élémentaliste de glace, tu ne dégage aucune chaleur, même si je ne touche pas ta peau je peut le sentir d'ici, voila pourquoi je n'ai pas les élémentaliste, abusé de vous ont n'en tire aucun plaisir ! Et ne tente pas de te défendre, sinon ton petit ami risque d'y perdre la tête hahahaha. Dit-il d'un rire sadique.

Une fois que je me réveille je suis dans un pièce plutôt sombre, Kei est la, je sens sa présence, ou plutôt de la fraîcheur de son corps, je peut entendre qu'on n'est pas seul, d'autres humains, et d'autres race son présente, impossible de dire les quels précisément. Je me relève doucement, j'ai encore du sang au niveau de la bouche, le salaud ma pas raté en tout cas, au nouveau ou je me relève je vois une jeune femme, même âge que moi a peu être, elle doit être humaine, on peut voir comme un enfant, un jeune garçon qui doit surement être son frère cadet, le garde de service semble ivre et attrape sa jupe longue, cherchant a voir ce qu'il y a sous la jupe. Naturellement la jeune femme refuse de le montrer et s'éloigne des barreaux de la prison, c'est alors que sa jupe se déchire, on peut voir maintenant de belle jambe, puis un homme sobre venu engueulé l'homme ivre disant de ne pas faire de mal au esclave mit en vente aujourd'hui, mon regard ne peut s'empêché de regarder les jambes, quand je sentis Kei réagir, la température semble changé, je me retourne doucement, puis je fais l'innocent.

- Tu va bien ? Ils t'ont rien fait ?

Un peu inquiète j'observe sous tout les angles son visage pour voir s'il elle n'avait rien. Une fois l'inspection fini je réfléchi, on serait donc mis sur une liste pour les enchères ? Sa craint on doit vite s'enfuir d'ici, mais comment ? Quand une idée me traverse l'esprit, je me retourne vers Kei avec le sourire sadique de quelqu'un qui va prendre du plaisir a ce qu'il va faire.

- Tu as confiance en moi Kei, laisse toi faire.

Je fis en sorte que Kei soit un peu déshabillé comme si elle venait de faire une chute, ou une meute d'enfant aurais tirée ses vêtements. Une fois prête je lui demande de ce mettre non loin des barreaux pour attiré l'homme ivre, pervers et ivre comme il es il ne fera pas attention, et comme prévu il se rapproche pour tenté de peloter Kei, mais je n'en lui laisse pas l'occasion, je le saisie par les cheveux puis je le tire pour bloqué sa tête entre les barreaux, puis d'un coup de pied puissant je lui brise la nuque. Je dis d'une voix assez basse au garde mort tout en cherchant les clef, mais assez forte volontairement pour que Kei l'entende.

- Désolé tu ne touchera pas a Kei, je suis le seul qui a droit a ce privilège.

Puis je me retourne en souriant a Kei en lui montrant que j'ai les clef, une fois la porte déverrouiller, j'invite a tout le monde a sortie, Kei et moi somme les premiers, bizarrement sortir d'ici est un jeu d'enfant, une porte et nous voila dehors, dans une petite ruelle, et une fois sortie de la ruelle nous voila dans une rue de Valkar, je connais cette endroit, on n'est pas loin de mon lieux de résidence quand j'étais encore avec mes parents, par chance j'ai encore la clef de la maison, bizarrement il me l'avais pas prise ni elle, ni mes deux épées, surement l'homme ivre qui devais nous les enlevé mais il n'a pas du le faire, une fois chez moi je me dirige vers ma chambre, un énorme lit deux place. Il est dur d'expliqué la raison, mais a la mort de mon père on avait du changé de lieux et je partagé le lit avec ma mère, je n'avais pas le choix mais cela me dérangé pas, j'étais encore heureux a ce moment la, même pauvre.
Je m'installe sur le lit, puis j’enlève mon haut, je devais avoir au moins une côte casser, et un beau bleue parce dessus tout. Puis je me retourne vers Kei en frottant le lit.

- Toi qui pensait que tu ne pouvais pas donné la vie, on peut essayé maintenant si tu veux. Dis-je d'une voix taquine.

Mais ma bêtise me rattrape et du sang sort par ma bouche une nouvelle fois. Je devrais resté un peu calme, mais pour le moment on dois se caché ici.

- Je t'en pris installe toi comme chez toi.

Kei venait de regarder par derrière l'arbre et l'un de leur poursuivants venait dans sa direction. Elle s'était ensuite mise un peu de profil, toujours cachée, prête à bondir sur son agresseur dès qu'il serait dans son champ de vision. D'un coup à cri d'agonie se fit entendre ce qui la fit sursauter. Qu'est-ce qui se passait ?! Elle osa un regard dans la direction du bruit et vit les deux individus mettre à mort la bête qui les poursuivait tout à l'heure avant de reprendre leur recherches. Ils étaient fort.. Et eux, n'avaient aucune chance. Elle espéra que Kaen s'en était sorti lorsque, soudainement une main se posa sur sa bouche et une seconde attrapa la sienne. Aucune possibilités pour elle de bouger l'une ou l'autre de ses mains. Comment se faisait il qu'il s'était retrouvé derrière elle ?! Elle était sure qu'il allait venir par l'autre côté! La surprise passée, elle fronça les sourcils et s'apprêta à utiliser ses particularité afin de refroidir comme il se doit son agresseur mais elle se retint lorsqu'elle entendit la voix de son camarade. La jeune fille soupira de soulagement dès qu'il libéra sa bouche de sa main. Cette dernière se posa contre son cou alors que l'autre alla se loger sur son ventre. La tête du garçon vient se poser sur son épaule et il prononça:

"C'est très romantique nos retrouvailles, mais cette fois-ci je ne te laisserais pas partir."

Elle rougit un peu à cette proximité qui la gênait un peu mais qui, en même temps, la rassurait. Ils étaient plus forts et confiants ensemble que seul. Elle lui murmura:

- "Ce n'est pas vraiment le moment pour faire du sarcasme tu crois pas ?"

A peine avait elle dit cela que le brun sortit de la cachette. Elle ne put que le suivre. Ils ne devaient pas trainer ici plus longtemps. Il était clairement hors de question qu'ils se fassent attraper! Quelques pas et ils se stoppèrent déjà.. Les deux poursuivants pointant des flèches sur eux et un homme, au sourire sadique et pervers, à l'aura plus que meurtrière se trouvaient devant eux. C'était mauvais! Très mauvais! Ses jambes refusaient de bouger face à l'envie de meurtre de l'individu au cheveux verts. Kaen, lui tenta de dégainer ses deux épées, mais pas assez rapide se prit un violent coup de poing dans le ventre par le meurtrier. Comment avait il pu se déplacer aussi vite ?! Elle ne l'avait même pas vu bouger! Il éclata de rire alors que le brun tenta la provocation. Il voulait mourir ou quoi ?! Ni une ni deux, le "monstre" enchaine avec un coup de genoux et un coup de coude, respectivement dans le ventre et le dos de son camarade qui s'écroula sur le sol. Leur agresseur porta ensuite son attention sur elle. Là, ses jambes avaient encore plus de difficultés à bouger que tout à l'heure. L'étudiante ne put que se laisser tomber à côté du brun et vérifier son pouls. Ouf. Il n'était pas mort. C'était déjà ça de prit. L'homme prit la parole tout en gardant un air mauvais:

"Humm, je n'aime pas les élémentalistes. Dommage j'avais des pulsions pour une jeune comme toi ma belle. Apporté les menottes pour élémentaliste de glace, tu ne dégage aucune chaleur, même si je ne touche pas ta peau je peut le sentir d'ici, voila pourquoi je n'aime pas les élémentalistes, abusé de vous ont n'en tire aucun plaisir ! Et ne tente pas de te défendre, sinon ton petit ami risque d'y perdre la tête hahahaha."

Comment avait il pu savoir qu'elle était une élémental de glace ?! Ahh.. Le fait qu'elle ne dégage aucune chaleur l'avait donc trahit.. Plus il parlait et plus la haine monta en elle. Lorsqu'il prononça sa dernière phrase en rigolant, elle ne put se retenir de lui lancer un regard aussi froid que la glace et aussi meurtrier que pouvait l'être son aura, alors que ses camarades arrivaient avec les dites menotte. L'un d'eux attrapa violemment d'abord sa main droite et la plaqua dans son dos avant de faire subir la même chose à la seconde et de tout attacher à l'aide de l'objet métallique. Le "fou" lui fit relever la tête en saisissant son menton. Son regard se fit encore plus noir alors qu'il disait:

"Quel dommage que tu sois une élémentale. J'aurai pris du plaisir à "jouer" avec toi dans d'autres circonstances."

Il lui manquait vraiment une case à ce mec! Une fois qu'il l'avait lâché, ils se mirent en route. L'un des deux acolytes avait pris Kaen sur son dos. Elle n'avait aucune chance de s'enfuir. Entre les menottes qui l'affaiblissaient de minutes en minutes et le brun dans les vapes, leurs possibilités de fuites étaient réduites au néant. Le petit groupe finit par arriver au lieu où devait être réunis les futurs esclaves destinés à la vente. Le "monstre" se sépara du groupe et ce sont les deux autres qui les amenèrent dans une cellule. Plutôt grande mais sombre, plusieurs personnes étaient déjà présentes dont une femme qui devait avoir la vingtaine et un jeune adolescent. Quelques minutes plus tard, l'un d'eux revint et emmena tous les êtres de sexe féminin, elle y compris. Il y avait eu quelques cris mais toutes, forcées ont fini par le suivre. Pourquoi uniquement les femmes ? La réponse à cette question lui apparut comme une évidence une fois arrivée à destination. Cette dernière était une pièce plus éclairée que la prison précédente mais où elles n'allaient pas rester très longtemps. Tour à tour, elles passèrent sous le mètre du geôlier. Bien entendu, pour que les données ne soient pas faussées, il avait prit soin de faire dégrafer leurs soutien gorge. Une fois chacune des mensurations prises, elles retournèrent en cellule où, celles qui avaient quittés un camarade, furent accueillis dans la joie. Celui de l'élémental, lui, était toujours au pays de Morphée.

Elle avait fini par s'assoir à côté de lui, et une bonne demi heure plus tard, approximativement, il se réveilla enfin. Il se releva, visiblement, sans l'avoir remarqué et son regard semblait observer les lieux. Un peu d'ambiance se montra. La jeune femme de tout à l'heure s'était trouvée près des barreaux et un garde ivre avait tenté de regarder sous sa jupe. Malheureusement pour lui, elle s'éloigna même si, pour se faire elle du arracher des morceaux de son vêtement, laissant apparaitre de belles jambes. Le geôlier bourré finit par se faire engueuler par un autre sobre. Mais ça n'allait pas être le seul à se prendre un savon! En effet, l'élémental avait remarqué que le brun avait la vue insistante sur les gambettes de la demoiselle. Sans hésiter, elle se releva et lui donna un bon coup derrière la tête en lui disant sèchement:

- "C'est pas le moment pour se rincer l’œil, espèce d'idiot! "

Innocemment il changea de sujet en lui demandant si elle allait bien et si ils ne lui avaient rien fait. Il semblait un peu inquiet et scrutait son visage à la recherche du moindre signe de faiblesse. Impassible, elle lui fit non de la tête. Après tout, ils ne l'avaient pas tripoté dans le sens propre. Pour la profession qu'ils exerçaient, aussi mauvaise soit elle, il paraissait logique qu'ils aient besoin des mensurations des femmes prêtes à la vente. Quelques secondes passèrent où le jeune homme sembla réfléchir. D'un coup, il se retourna vers elle et vu le sourire sadique qu'il affichait ça n'annonçait rien de bon. Mais vraiment rien!

"Tu as confiance en moi Kei, laisse toi faire." avait il dit.

Lui faire confiance ?! Vu l'air qu'il avait aucune chance ! Cependant il ne lui laissa même pas le temps de riposter verbalement qu'il s'était approché d'elle et avait agrippé son t-shirt. Il le déchira au niveau du col avant de le nouer, laissant apparaitre son ventre et le haut de sa poitrine par le décolleté qu'il avait formé. Elle avait les joues rouges alors que les autres membres de la cellule les regardaient mi amusés, mi incompréhensifs ou gênés eux aussi. Kaen lui demanda ensuite de se mettre près des barreaux. Son plan commençait à devenir un peu plus clair pour elle. Il voulait qu'elle joue l'appât pour le garde ivre. Voyant mieux où il voulait en venir, elle s'exécuta. Et comme prévu, l'ivrogne s'approcha, saisit sa main et s'apprêta même à la peloter! Le brun, qui ne lui en laissa pas le temps, l'attrapa par les cheveux, lui faisant cogner la tête contre les barres de fer, puis lui assigna un coup de pied qui sembla lui briser la nuque vu le craquement d'os qui retentit. Tout en cherchant les clés, il prononça d'une voix assez basse des mots qui la firent rougir un peu plus:

"Désolé tu ne touchera pas a Kei, je suis le seul qui a droit a ce privilège. "

Victorieux, il se retourna en souriant vers elle en montrant les clés. Le jeune homme déverrouilla ses menottes, libérant ainsi ses mains, avant de faire la même chose avec la grille. Les deux étudiants furent les premiers à sortir et menaient la voie alors que les autres les suivaient. La sortie était facilement accessible: un couloir et une porte et les voilà dehors. Et plus précisément dans une ruelle de Valkar. Chacun des individus partirent de leur côté même si quelques groupes s'étaient formés.

Kei, elle, suivit Kaen qui semblait connaitre les lieux. Ils s'arrêtèrent devant une belle maison et le brun sortit une clé de sa poche qu'il inséra dans la serrure. Il habitait là ?! Ou alors il avait volé cette clé là tout à l'heure au garde ? Ils entrèrent ensuite et le jeune homme les emmena dans une chambre assez sobre avec un lit deux places au centre, sur lequel il alla s'installer. Comme chez lui, il retira son T-shirt sans aucune gêne et ce qu'elle vit sur la peau de son compagnon n'était pas des plus rassurants. Un énorme bleu et visiblement une côte brisée. La douleur ne semblait pas le faire taire puisqu'il osa une taquinerie d'assez mauvais goût alors qu'il frottait la place juste à côté de lui. Essayer maintenant de faire un enfant ? Il rêvait! Aucune chance! Mais vraiment AUCUNE! L'étudiante ne releva même pas sa bêtise qu'elle ignora complètement alors que la douleur du brun revenait à la charge puisqu'il cracha du sang. Elle soupira et se dirigea vers, ce qu'elle supposa être la salle de bain en murmurant un "espèce d'idiot" à peine audible. Elle farfouilla dans les armoires et trouva ce qu'elle cherchait: quelques bandages et une poche de glace qu'elle avait remplit d'eau avant de geler le contenu.

Revenant quelques minutes après avoir disparu de son champ de vision, l'élémental vient se mettre à genoux à côté de lui. Par quoi fallait il mieux commencer ? Les côtes. Ça devait être le plus douloureux pour lui. Devenue infirmière improvisée, elle dit:

- "Allez, laisses moi te soigner, valeureux guerrier"

Elle avait accentué les deux derniers mots pour l'embêter. Elle attendit son accord pour commencer, et une fois celui ci donné, elle débuta par enrouler les bandages autour de ses côtes. Les bandes étaient froides, elle les avait placé sous l'eau et les maintenait à une température assez fraiche, pour que la douleur s’amenuise. C'était un peu gênant comme situation.. Lui torse nu, elle en tenue limite dirons nous. Et il se laissait faire. Elle ne lui laissait pas trop le choix non plus. Ses joues étaient un peu rougies et elle évitait son regard. La jeune fille serra le bandage assez fortement, mais pas trop non plus. Elle ne voulait pas le blesser plus qu'il ne l'était déjà. Elle se déplaça ensuite, pour être dans son dos. Sa peau était devenu violacé à cause du coup qu'il avait reçu. C'était pas joli à voir. La main de la demoiselle caressa doucement sa peau meurtrie avant de poser la poche de glace et de la fixer avec une bande. Restant derrière lui, elle lui demanda:

- "Tu as grandi ici ?"

Cette question lui était venue d'un coup. Le brun semblait être à l'aise ici et ce n'était pas le cas lorsqu'ils étaient dans un lieu inconnus. Elle en était donc venue à cette conclusion.

Une fois dans la maison, et après avoir dis ce qu'il fallait pour que je la taquine un peu suivi du sang qui s’échappe de ma bouche. Je pu entendre facilement un "espèce d'idiot", je l'étais peut-être, mais bon cette douleur n'étais rien, j'ai vécu bien pire. J'avais beau dire cela la douleur reste horrible a supporté, Kei viens me proposé les soins en laissant une touche de taquinerie a la fin, je décide de lui rendre l'appareille.

- "Allez, laisses moi te soigner, valeureux guerrier"

- Merci ma belle infirmière. Dis-je avec le sourire.

Une fois les soins fini je décide d'en placé une nouvelle, je lui rappelle ce qu'elle m'avais dis dans la prison ''- "C'est pas le moment pour se rincer l’œil, espèce d'idiot! " j'avais remarqué qu'il j’agissais d'un acte de la jalousie, elle aurait regardé un homme de la même façon j'aurais surement réagi de la même méthode. Donc je lui dis clairement pour la taquiné.

- Je peut me rincer l'oeil maintenant donc. Dis-je en la regardant dans sa petite tenue attirante.

Puis elle venu s'occupé de mon dos, sa main froide me fit sursauté, la sensation était agréable, mais j'avoue être sensible a cette endroit, avec les cicatrices et maintenant ce bleue mon dos devais être beau a voir. Puis elle pose une question sur le lieux.

- "Tu as grandi ici ?"

- Pas longtemps, j'ai du changé de résidence, disons que j'ai vécu presque la moitié de vie ici je crois.

La curiosité de Kei m'avais un peu surpris, mais bon j'avais autre chose en tête, elle m'avait fuie l'autre fois, je dois en finir avec cela. Subitement je décide de nous mettre dans notre position favorite sur le lit par surprise a l'égart de Kei, l'empêchant de trop bougé je revenu avec ma question.

- Je n'ai pas oublié, tu n'a toujours pas répondu Kei, si tu n'ose pas dire Oui, tu peut toujours me dire peut-être.

Dans notre tenue on aurait pu croire qu'on allait commencé quelque chose ou qu'on l'avais déja fais, mais je n'avais pas fais cela dans l'espoir de faire ça, mais d'avoir au moins une réponse. Je fini par déposé délicatement mes levres sur les siennes puis je ne tarde pas a lui dire ceci :

- Cela pour t'aider a te souvenir. Dis-je avec le sourire.

Avec son compagnon blessé, elle avait voulu le soigner. Quoi de plus normal ? Il aurait surement fait la même chose pour elle. Du moins, c'est ce qu'elle supposait. Gentiment l'élémental s'était donc proposée pour le soigner. Attention qu'il remercia en la taquinant et en la traitant de "belle infirmière". Quel idiot! Il n'en rate pas une! Ignorant sa remarque, même si la gêne était présente, elle commença les soins en entourant le torse du jeune homme d'un bandage. En plein ouvrage il en rajouta, prenant pour inspiration ses paroles de tout à l'heure:

"Je peut me rincer l'oeil maintenant donc."

Quel pervers! Et il le faisait en plus! Ses joues devinrent écarlate alors que les yeux de son camarade avaient une jolie vue sur sa poitrine. Elle serra assez fortement les bandes de tissus avant de remonter son haut afin de cacher un temps soit peu sa poitrine. Puis, elle alla se mettre derrière lui. Son dos était meurtris par deux cicatrices et une horrible marque violette. La jeune fille caressa un peu sa peau avant de placer la poche de glace en la fixant avec un nouveau bandage.

Curieuse, elle lui avait ensuite demandé si il avait grandit dans cette maison. Il répondit assez rapidement:

"Pas longtemps, j'ai du changé de résidence, disons que j'ai vécu presque la moitié de vie ici je crois."

La moitié de sa vie n'était pas longtemps ? Ils n'avaient, décidément, pas la même vision du temps... Il devait avoir quoi.. Dix huit ans ? Voir dix neuf, peut être. La moitié de sa vie ça fait neuf ans. C'était déjà pas mal hien! Elle par contre, la moitié de sa vie représentait vingt ans. Le double de lui! Il devait ne même pas en avoir conscience... Plongée dans ses pensées, elle en sortit lorsque le brun la fit basculer en arrière. L'élémental se retrouva allongée sur le dos, avec lui au dessus à quatre pattes. Impression de déjà vue. Et ce n'était pas qu'une impression. Pour l'empêcher de trop bouger, il tenait ses mains dans les siennes. La jeune femme détestait cette position qui la mettait dans un contexte d'infériorité. Plongeant ses pupilles écarlates dans le dorée des siennes, il prit la parole:

"Je n'ai pas oublié, tu n'a toujours pas répondu Kei, si tu n'ose pas dire Oui, tu peut toujours me dire peut-être."

Aie aie aie. Il voulait une réponse à son interrogation de la dernière fois.. Avec tout ce qui s'était passé elle n'avait toujours pas de réponse à lui donner! Elle finit par détourner les yeux comme si elle avait quelque chose à se reprocher.. Elle allait même tourner la tête mais avant qu'elle n'eut le temps d'agir, il avait posé ses lèvres contre les siennes dans un doux baiser. Ses joues reprirent une jolie teinte rosée alors qu'elle profitait du bisou. Le jeune homme rompit le baiser pour lui lancer une pique avec le sourire. Elle n'avait pas besoin de ça pour se souvenir! Il voulait une réponse. Très bien, elle allait lui donner! C'est, néanmoins en étant un peu hésitante qu'elle répondit:

- "Je.. Je peux pas te dire que je ne t'aime pas. Je peux pas non plus te dire que je t'aime. Je veux pas te dire peut être puisque ça serait te laisser dans le flou et je veux pas ça. Mais je peux pas dire que tu me laisses indifférente.. Ça serait mentir.. Mais je ne suis pas sur de mes sentiments pour toi. Ce que je ressens c'est... c'est... la première fois tu vois ? Ça te convient comme réponse ?"

Plus elle avait parlé et plus ses joues devenaient rouges. C'était bien la première fois qu'elle se dévoilait autant à quelqu'un. Elle finit par tourner complètement la tête, attendant une réaction quelconque du jeune homme.

La réponse était un peu confuse dans le fond, mais elle avait déballé un peu son sac.

- "Je.. Je peux pas te dire que je ne t'aime pas. Je peux pas non plus te dire que je t'aime. Je veux pas te dire peut être puisque ça serait te laisser dans le flou et je veux pas ça. Mais je peux pas dire que tu me laisses indifférente.. Ça serait mentir.. Mais je ne suis pas sur de mes sentiments pour toi. Ce que je ressens c'est... c'est... la première fois tu vois ? Ça te convient comme réponse ?"

- Donc on ne va pas changé nos ''petite habitude'' Kei-chan.

Nos ''petite habitude'' était un référence quand je la taquine ou je viens lui volé un baisé puis toute les chose qui sont devenue habituelle comme se retrouvé dans cette position. Une fois satisfait de la réponse je me relevé puis j'aide Kei a se relevé a son tour.

- On devrait rentré a l'institue, on a laissé Kuro tout seul ...

La vrai raison est que j'avais du mal a supporté d'être ici, si j'avais pris une chambre a la Zenshi institue ce n'était pas pour rien, cette endroit renferme des souvenirs chaleureux et d'autre peu agréable. Nous revoilà donc a l'institue, cette fois-ci direction ma chambre, je mène la marche et Kei la ferme, a un croisement de couloir je percute quelque chose qui m'emporte dans sa chute, puis Kei tombe a son tour et me voila en sandwich entre Kei et cette personne. Puis quand on regarde mieux on peut reconnaître la délégué de la dernière fois, j'avais oublié son nom. La jeune fille eu une réaction violente, le visage devenu rouge et je sentis dans ma main une sensation doux et moelleux, et avant de comprendre ou ma main était posé la jeune demoiselle me frappe a deux reprise au même endroit que l'autre fou au cheveux vert l'avais fais, je n'avais pas pu esquivé le deuxième parce que Kei m’empêche de me relevé. Quand j'arrive a me dégagé ma tête pourrais faire croire que j'allais vomir, je me met sur le côté pour souffrir dans mon coin, puis quand la douleur c'est calmé je me retourne pour remercié mon assaillant de ses coups de poing, mais elle se caché derrière Kei et ne semblé pas vouloir montré son visage.
Sérieusement je suis vraiment pas chanceux, a chaque fois que je croise cette fille il se passe quelque chose qui m'est pas favorable.

Elle venait d'avouer, un peu contre son gré, tout ce qu'elle avait sur le cœur au brun. La jeune fille était un peu inquiète quant à la réaction de son camarade face à ces aveux, loin d'être très clairs. Cependant, cette dernière la surprit un peu. Il ne la blâma pas de son incompréhension et, au contraire il allait "l'aider" à comprendre. Du moins, c'est ainsi qu'elle comprenait ses mots. Ne pas changer leurs habitudes. Le terme était assez vague mais cela signifiait qu'ils resteraient et agiraient comme avant. Enfin comme maintenant. Du moins c'est ce qu'elle pensait. L'élémental acquiesça et après cela fait, Kaen se redressa et l'aida à en faire autant.

Une fois assise, le brun lui dit qu'il serai judicieux de retourner à l'Institut en utilisant l'excuse d'avoir laisser Kuro tout seul. Il avait osé laisser le chaton tout seul ?! Quel père indigne! La demoiselle lui lança un regard lourd de reproche sans pour autant ouvrir la bouche. Elle le suivit néanmoins, et en peu de temps ils se retrouvèrent dans les couloirs de la Zen'shi. Le chemin s'était déroulé sans embuche même si ils avaient été prudent. Cependant cette tranquillité ne dura pas. Alors que Kaen menait la marche, à une intersection, il heurta quelqu'un. Le choc fut tel que l'inconnu tomba en arrière, entrainant les deux autres étudiants dans sa chute. Sous elle, ça bougeait et un bruit de craquement se fit entendre. L'inconnu avait du cogner le brun.. Le pauvre s'était décidément pas sa journée. Kei se releva et tous en firent autant. Elle constata que l'inconnu était en faite Miri. Elle avait le visage plus rouge qu'une pivoine et elle était venu se cacher derrière elle. Le brun semblait souffrir, il s'était éloigné d'elle en se tenant le ventre... Espérons qu'aucune autre côte n'est été brisée.. Au bout de quelques secondes, il se retourna vers elle en remerciant la brune des coups qu'elle lui avait donné. La déléguée n'était pas du genre à donner des coups pour rien. C'est pourquoi l'élémental se tourna vers elle pour avoir une explication. Un seul regard suffit pour qu'elle comprenne. Le brun avait encore fini par mettre une main où il ne fallait pas. Pervers jusqu'au bout celui là.. La jeune fille murmura à l'oreille de sa collègue en affichant un sourire:

- "Tu peux filer tranquille, je vais lui remettre les pendules à l'heure."

La brune acquiesçât puis partit dans la direction opposée à la leur. Une fois hors de vue, Kei donna un bon coup sur le sommet du crâne tout en se retenant de crier:

- "Ça t'apprendra à avoir les mains baladeuses! Et je ne veux même pas entendre ton excuse! "

Après ce petit interlude, ils reprirent le chemin de la chambre du jeune homme en silence. Elle savait très bien que l'incident de tout à l'heure n'était, justement qu'un accident. Il ne s'était même pas excusé en plus! Les coups qu'il avait reçu étaient amplement mérités. Une fois devant la chambre, il ouvrit la porte. Et à peine cela fut il fait que Kuro vient à leur rencontre. La jeune fille le prit dans ses bras et il se lova contre sa poitrine en ronronnant. Elle le caressa tout en allant s'assoir sur le lit. La petite boule de poil lui avait manqué.

"Mais oui je suis revenue et je partirai pu." puis à l'intention du brun avec une pointe d'inquiétude dans le regard "Tu as encore mal ?"

Kei chuchote quelque chose a son ami puis une fois partie elle se retourne puis me frappe sur la tête.

- "Ça t'apprendra à avoir les mains baladeuses! Et je ne veux même pas entendre ton excuse! "

C'est vraiment pas ma journée, je me frotte la tête avec ma main disponible et l'autre ne quitte pas l'endroit ou a frapper l'autre jeune fille, elle n'était pas allers mollo, difficile a croire quels est une tel force. A peine entré dans ma chambre que Kuro venu nous voir, Kei le pris dans ses bras et le logea contre sa poitrine, d'un regard jaloux je fixe Kei.

- Moi j'ai pas eu droit a ça ...

Puis je me dirige cherché des glaçons pour en mettre sur mes multiple blessure, ce corps est vraiment une plaie par fois tout de même, mettre fait battre aussi facilement, c'est flippant. Puis Kei semble s’inquiète tout de même a tout les coup que j'ai reçu depuis aujourd'hui, c'est mignon mais t'est en partie responsable pour la tête, je vous jure, les femmes sont imprévisible.

- "Tu as encore mal ?"

- Encore un peu, tu risque de devoir rejouer les infirmières. Dis-je en lui tirant légèrement la langue avec le sourire.

Puis quelqu'un toc une fois a la porte puis glisse un papier sous la porte, je décide de le ramasser et quand je regarde le contenue je me demande depuis quand c'est prévu cette événement. Je regarde Kei puis je lui donne la fiche.

- Le bal de la Zenshi Institue. Je savais même pas que l'académie organisé un truc du genre.

En bas de la feuille on peut lire que la demande doit être faite dans les règle, il faut glissé une lettre sous la porte du partenaire voulu, c'est vraiment tordu leur règle. On dirait que c'est pour voir combien de demande on peut recevoir au total ...

A peine avaient ils pénétrer dans la chambre du jeune étudiant que quelqu'un les attendait impatiemment. Kuro vient à leur rencontre et la jeune fille le prit dans ses bras quasi immédiatement. Le chaton vient se lover contre sa poitrine en ronronnant alors qu'elle le caressait. Elle sentit le regard insistant de son camarade sur elle et la boule de poil et alors qu'elle se retournait pour essayer de lire une explication il dit:

"Moi j'ai pas eu droit a ça ..."

Elle rêvait là ?! Il était jaloux de Kuro! Et ça crevait les yeux. Il se plaignait de pas avoir eu ce traitement ? Sauf que lui ne se gênait pas pour en profiter! La preuve avait encore été faite tout à l'heure avec la déléguée! La réponse de la demoiselle fut cash alors qu'elle alla s'asseoir sur le lit:

- "T'en a déjà profité tout à l'heure même si c'était pas la même personne!"

Toujours en plein câlinage de la petite boule de poil noire, elle regarda Kaen prendre quelques glaçons. Il n'avait quand même pas l'intention de les mettre tel quel sur ses blessures ? La douleur n'allait pas se dissiper de cette façon.. Des glaçons sans être enveloppés dans un tissus allaient collé à sa peau. Et pis.. Si il avait encore mal, au lieu d'aller chercher des glaçons il aurait pu lui demander... Avait il lu dans ses pensées pour avoir répondu ça ? Risquer de devoir rejouer une nouvelle fois au infirmière ne la dérangeait pas plus que ça.. Elle préférait ça qu'il ait mal. S'étonnant elle même de penser à de telle chose, elle reporta son attention sur le chaton, les joues devenues légèrement rouges. Cependant, elle ne résista pas à l'avertir:

"Tu devrais éviter de mettre les glaçons directement où tu as mal."

A peine avait elle fini sa phrase que quelqu'un frappa à la porte. Elle espéra que ça ne soit pas un surveillant ou autre chose du même genre. Kuro et elle ne devaient pas se trouver là. Finalement, il n'y eut qu'un bout de papier qui passa sous la porte que Kaen ramassa et regarda avant de lui montrer. Alors que l'élémental regarda l'affiche, le brun ajouta:

"Le bal de la Zenshi Institue. Je savais même pas que l'académie organisé un truc du genre."

L'élément de glace acquiesçât tout en examinant la feuille. Elle était assez colorée avec des couleurs lumineuses. En gros et en haut on pouvait lire "Bal de la Zen'shi". Un bal.. On n'était pourtant pas en fin d'année ou dans une période particulièrement festive. C'était bizarre. Du moins, ça sonnait étrange. Surtout qu'en petit et au bas de la page l'inscription selon laquelle la demande de partenaire devait se faire de la même façon que l'on a reçu le prospectus.. Vraiment étrange. Elle fit par de ses doutes à son camarade:

- "On n'est pas en période de fête. Tu ne trouves pas ça bizarre d'organiser un bal sans avoir aucune occasion particulière ? Mais ça pourrait peut être être amusant."

Si elle venait à y participer, ce serait son premier bal. Non non elle ne s'intéressait pas à ce genre de chose. Elle s'en fichait même mais si le brun voulait y aller, ça serait l'occasion de se voir différemment que d'habitude.

Il commençait à se faire tard. Kuro avait fini par se coucher sur ses cuisses et s'endormir sous ses caresses. Il était peut être temps pour elle de retrouver sa chambre. Bien qu'elle serait bien restée encore un peu avec son camarade, elle prit le chaton avec soin avant de le déposer sur le lit, avant d'elle même se lever. La jeune femme se dirigea ensuite vers la porte, après avoir dit un "au revoir" accompagné d'un bisou sur la joue du brun.

- "T'en a déjà profité tout à l'heure même si c'était pas la même personne!"

La réponse fut cash, oui j'avais eu la main sur une autre poitrine que la sienne, mais Kei ne semble pas comprendre que je suis malchanceux, celle avec qui je passe beaucoup de temps n'est jamais touché, même accidentellement cela est difficile entre nous, la réponse dans ma tête fut un peu perverse et mon visage devenu légèrement rouge, tentant d'oublié le fin fond mes pensés j'allais mettre les glaçon a l'endroit voulut mais Kei me le déconseille, mais la discutions fini a cause d'une lettre glissé sur la porte pour le bal. Aussi étrange que cela y parait cela est fort possible, cette école est étrange, Kei donne son avis a ce sujet.

- "On n'est pas en période de fête. Tu ne trouves pas ça bizarre d'organiser un bal sans avoir aucune occasion particulière ? Mais ça pourrait peut être être amusant."

- Je sais ce qu'il me reste a faire alors.

Dis-je d'une voix taquin, qui voulait dire quels devrait bientot recevoir un certaine lettre, puis Kei pose le chaton délicatement sur le lit puis se dirige vers moi en déposant un bisou sur la joue avant de se diriger vers la sortie, puis avant même quels ne puisse touché la porte je colle mon torse dans le dos de Kei puis je passe les mains par dessous comme un pervers près a tripoté sa proie, mais au lieux de cela je montre tout simple le dos de la lettre en question, on peut facilement lire.

'' Pour Kaen Goldrun ''
'' J'aimerais savoir si vous me ferez l'honneur d'être votre compagne ''
'' pour ce bal ''

Le nom reste la chose la plus surprenante, on peut lire le nom de la surveillante folle avec le sabre. Cela voudrait dire quels pourrait être dans le couloir a attendre si je regarde si elle serait derrière. Kei devrais facilement arrivé a ce conclusion elle aussi maintenant.

- Je pense que tu as compris que tu ne peut pas quitter cette pièce maintenant, puis je n'allais pas te laissé partir. Je ne vais pas être satisfait avec un simple bisou sur la joue, et toi non plus je pense. Le leger sourire n'est plus que visible.

Avant même quels ne puisse s'en rendre contre, une main s'était déjà glisse pour jouer avec son ventre, zone potentiellement sensible pour la faire frissonné avec les petits cercles sur sa peau. La deuxième avait lâché la lettre et glisse le long se son bras comme un serpent pour venir saisir sa main, la tête avec réagi et avait naturellement tournée dans la direction qui suivi d'un contacte de nos lèvre respectif. Au début celui est doux, puis petit a petit il devient moins timide. Cette fois-ci le lit était trop loin, enfin dans le feu de l'action les deux étudiant ce retrouve par terre continuant leur ''partage de salive'' mutuelle, juste a côté de la porte et serais facile de donné des coups dedans si on ne fait pas attention, c'est alors qu'une autre lettre est glisser sous la porte, le même reflexe suit la regardé, je la reglisse de l'autre coté de la porte puis je reprend ce qu'on avait interrompue avec la demoiselle. De l'autre coté de la porte on peut entendre un :

- Hein ? Kaen-kun, tu es la ? Kaen-kun !?

Ignorant totalement la personne derrière la porte, puis ce long baiser fut fini apres que les deux personnage complemtement étiré sur le sol, ne pouvant plus touché la porte. Je fis ce que je voulais depuis que cette boule de poil était arrivé, me blottir contre la poitrine Kei, puis je ne pu m'empêché de lui dire :

- Je comprend pourquoi cette boule de poil aime ça, je pourrais ne plus vouloir bougé Kei-chan. Dis-je en la regardant comme je pouvais en lui tirant légèrement la langue.

Un silence s'était un peu installé avant qu'un papier fut glisser en dessous du pas de la porte. Kaen alla le ramasser et le regarda avant de lui donner. Un bal... Alors que ce n'est pas une période de fête. C'était un peu étrange mais cela pouvait être amusant. Elle fit par de ses pensées au brun qui renchérit qu'il savait ce qu'il avait à faire. De quoi parlait il ? De l'invitation du bal ou bien d'autre chose ? Elle ne savait jamais avec lui!

L'élémental jugea qu'il était temps pour elle d'y aller. Elle déposa Kuro, endormi sur le lit avant de se lever, d'embrasser son camarade sur la joue et de se diriger vers la porte. Elle allait touché la poignée de la porte mais Kaen l'en empêcha en collant son torse contre son dos. Il glissa ses mains sous ses bras et elle crut un instant qu'il allait lui faire subir le même sort que la déléguée, ce qui la fit rougir. Mais non. Il se contenta de lui montrer la face recto du prospectus pour le bal. Un mot y était écrit en lettre manuscrite:

Spoiler:

A peine l'évènement lancé qu'il était déjà sollicité ?! Eh ben... Ça promettait ses semaines à venir avant le bal. Surtout si d'autres se lançaient de la sorte... Elle ne remarqua qu'après que le nom de l'autre folle était inscrit à la fin du petit mot. Encore celle là?! Quand allait elle comprendre qu'elle était trop vieille pour lui !!? Elle aussi en même temps.. Et si elle venait de poster ça c'est qu'elle rôdait encore dans les parages.. Impossible donc de sortir de la chambre avec l'autre là! Kaen ouvrit la bouche pour prononcer ceci:

"Je pense que tu as compris que tu ne peut pas quitter cette pièce maintenant, puis je n'allais pas te laissé partir. Je ne vais pas être satisfait avec un simple bisou sur la joue, et toi non plus je pense."

Bien sur qu'elle avait compris ! Elle n'était pas idiote! Du moins quand elle le voulait en tout cas! Par contre elle s'étonna un peu du fait qu'il n'allait pas la laisser partir. Elle était encore libre de faire ce qu'elle voulait non ?! Si elle voulait partir, elle le ferait! Or, à ce moment précis, elle ne voulait pas. Il avait de la chance. En pleine réflexion interne, la jeune fille mit du temps à réaliser que son homologue masculin avait glissé l'un de ses main sur son ventre et y faisait des cercles alors que l'autre avait attrapé la sienne en frôlant son bras. Elle en frissonna et en rougit. Comment pouvait elle rester insensible ? Elle tourna un peu la tête vers lui en essayant de capter son regard afin de deviner où il voulait en venir mais il déposa ses lèvres contre les siennes. Ses joues devinrent un peu plus rouge encore et son cœur commençait à s'emballer. Elle ne s'y attendait pas. Le baiser fut d'abord timide puis peu à peu il s'affirma devenant plus passionné. Dans leur élan ils se retrouvèrent au sol. Kaen au dessus et Kei en dessous.

Une seconde lettre, passée par dessous la porte les interrompit. Loin d'être dérangé par ça, le brun la renvoya d'où elle venait d'un revers de main. Ceci fait, il revint coller ses lèvres aux siennes. Qu'est ce qui lui prenait tout à coup à l'embrasser à ce point ? La chaleur commençait à envahir son estomac alors que la voix de l'autre garce se faisait entendre. Le brun mit fin à leur baiser peu après et posa sa tête contre sa poitrine en s'y blottissant confortablement. Rougissant de plus belle et avec des battements de cœurs loin d'être discret étaient facilement audible pour lui vu sa position.. Il tenta de la regarder tout en ajoutant sur un ton taquin:

"Je comprend pourquoi cette boule de poil aime ça, je pourrais ne plus vouloir bougé Kei-chan."

Il plaisantait là ?! Vouloir faire comme Kuro, quel papa jaloux, franchement! Mais elle non plus ne pouvait pu bouger, avec lui sur elle. Bon elle ne voulait pas vraiment non plus... Même si elle aurait pu être plus confortablement installée. La demoiselle se surprit elle même de poser une main dans les cheveux du jeune homme et de ne pas le repousser. Elle murmura:

- "Restes là alors.. " avant de se reprendre à plus haute voix "Et profites en bien je te laisserai pas faire souvent! "

Elle se mit à caresser doucement sa touffe de cheveux. Maintenant que le silence s'était posé, malgré les battements de son cœur, ils pouvaient entendre la folle faire les cents pas devant la porte du brun... Elle n'allait pas le lâcher celle la! Prête à fondre sur sa proie.. La surveillante n'avait donc rien d'autre à faire ?! Pff.. Franchement.

- "Restes là alors.. " avant de se reprendre à plus haute voix "Et profites en bien je te laisserai pas faire souvent! "

- J'ai bien l'intention de profitez ne t'en fais pas Kei-chan.

Dis-je venant mettre un doigt sur sa poitrine pour faire des cercles comme pour le ventre, son coeur s'emballe beaucoup, mais cette fois-ci elle doit être a la limite. Autant passé au chose sérieux non ? Quand on regarde bien, les choses ne peuvent évolué que de cette manière maintenant, l'aident a retiré son t-shirt qu'avait subit toute sorte de châtiment a la prison, nous voila maintenant a égalité, enfin presque, il reste quelque chose qui doit être enlevé a Kei pour que l'égalité soit réel. Laissant les bretelle du soutiens gorge glissé le long de ses bras de chaque coté, il suffit maintenant qu'un simple mouvement pour lui en débarrassé. Puis ma tête plonge dans son cou puis avant d'y déposé les lèvres quelque mot échappe de ma bouche.

- On a bien mérité s'amuser un peu, pas vrai Kei ?

Suite a ses mots, mes lèvres viens ce collé dans le cou de la demoiselle, puis sur le derniers kiss un petit coup de langue ce fait discrètement. Relevant la tête pour plongé son regard dans le sien, il fit en sorte de déplacé Kei sur le lit, parce que le sol ne devais pas être bien confortable je dois dire. On pouvait voir Kuro tranquillement en train de dormir, cette fois-ci l'excuse que quelqu'un nous regarde ne pouvais pas être utilisé. En partant du bas du ventre laissé une traîné de lèvres sur son passage, je remonte juste qu'a atteindre la poitrine pour m'arrêter lors qu'un énorme bruit venant de la porte me coupe dans mon élan, je me relève du lit, mais il semblerait que le bouton de mon pantalon avait était retiré, dans le feu l'action ou c'était Kei ? Enfin bref celui tombe a mes chevilles me privant de mouvement, puis tombant sur le sol j'emporte Kei dans la chute, cette fois-ci c'est moi qui est sur le sol et Kei par dessus. Kei perd son soutien gorge dans la chute, son bas n'étant pas très grand on pouvait dire quels était presque nue, puis de mon côté, juste avec un caleçon comment dire, n'entrer pas ? Malheureusement comme par le fruit du hasard la personne réussi a forcé la porte et regarde maintenant une scène des plus magnifique.

- Qu.. qu.. qu... Qu'est que vous fabriquez !? I.. il .. Il est interdit de faire ce genre de .. chose ... ici ! Dis-elle en cachant son visage et regardant a travers ses doigt telle une tricheuse a cache cache.

Je ne pouvais pas me levé, la poitrine de Kei serait a découvert et je doute quels souhaite la montrer a la folle de service, ou que je puisse la voir dans une tel situation. Je devais attiré cette personne pour que je puisse l'avoir a porté de main, mais comment faire, quand une idée bien simple et plaisante pour moi même viens se loger dans ma tête.

- Madame, vous avez une araignée sur la tête !

Ni une ni deux elle tourna sur elle même en criant, puis sortant de la piece en claquant la porte, je pousse avec mes bras pour me faire mis allongé comme a la plage pour fixé la porte et regardé avec surprise que cela a marché mieux que prévu. Elle avait même fermer la porte derriere elle, même pas besoin d'allers me relevé pour la fermé, puis Kei n'avais surement pas remarqué ou avait oublié quels n'avait plu dans soutien gorge, profitant de l'occasion ma bouche venu le posé pile au centre de sa poitrine, puis une fois décollé un magnifique suçon était présent, d'un sourire assez beau je lui dis.

- Deuxième fois que je te marque, cette fois celui la est assez bien placé.

Effectivement, elle ne pourra pas porté de tenue qui peut mettre en valeur sa poitrine, la marque serait immédiatement vu par tout le monde, mais quelque chose viens de changé, quelque chose que Kei avec du surement sentir, après tout on était collé l'un autre. Une bosse au niveau du caleçon était apparu, un peu gêné de la réaction un peu normal du jeune homme, même étrange quels n'avait pas eu lieu bien avant. Fixant ma partenaire dans les yeux j'étais un peu confus, une réaction a la vu sa poitrine était normal, le contraire serait vexant pour la demoiselle. Mais voici une situation un peu délicate et difficile a s'en sortir, seule la réaction de Kei risque d'aggravé ou d'arrangé la situation.

Le jeune homme, qui avait réussi à l'amadouer, avait poser tête contre sa poitrine. D'une petite voix elle l'avait autorisé à y rester mais uniquement pour cette fois! Elle s'était surprise à lui caresser doucement les cheveux. Son cœur battait contre sa poitrine et menaçait d'y sortir à tout moment alors que ses joues gardaient leurs teinte rouge. En tout cas, son camarade n'avait pas perdu son sang froid puisqu'il avait répliqué, immédiatement après son "avertissement", qu'il avait bien l'intention d'en profiter. Ce qu'il fit d'ailleurs en s'amusant à faire des cercles sur sa poitrine. Il ne mit pas longtemps à vouloir retirer ce qui restait de son t-shirt et à y parvenir. Elle aurait voulu l'en empêcher en retenant le bout de tissu mais ses mains avaient refusé de faire ce que son esprit leurs avait commandé. De ses mains habiles il fit glisser les bretelles le long de ses bras, la faisant frissonner. Frisson qui s'accentua lorsqu'il alla poser sa tête contre son cou et y déposer des baisers frivoles tout en prononçant dans un murmure qu'ils avaient gagné le droit de s'amuser un peu. S'amuser un peu ? Cela n'envisageait rien de bon. Mais rien! La sensation de la langue de son camarade dans son cou après un petit bisou lui donna le coup de grâce. La chaleur envahissait son corps de ses orteils jusqu'à la pointe de ses cheveux. Si ça continuait comme ça elle allait finir par fondre! Leurs regards se croisèrent. Celui de Kaen était joueur et remplis de sous entendus. Le sien paraissait beaucoup plus fiévreux à cause de la chaleur qui la consumait à petit feu. Il la prit dans ses bras tel une princesse, elle avait alors glissé ses deux mains autour de son cou. Que pouvait elle faire d'autre ? Se débattre et sortir ? En short et avec un soutif à moitié retirés, la seconde solution n'était même imaginable, surtout avec l'autre folle derrière la porte.. Elle aurait pu lui donner des coup de pieds aussi pour qu'il la lâche mais déjà blessé elle ne voulait pas en rajouter une couche, particulièrement si elle devait rejouer les infirmières ensuite! La jeune fille put apercevoir leur petit secret sagement couché et en train de dormir. Il avait de la chance de ne pas être embêter, lui!

Le brun la déposa doucement sur le lit où elle replia l'un de ses genoux. Il fallait bien qu'elle se "protège" un peu de ses agressions! Il avait tout de même su se mettre au dessus d'elle. Pas comme auparavant mais un peu plus bas; ses lèvres avaient trouvé domicile sur son ventre, l'une des seules parties de son corps à être encore un tantinet fraîche. Des frissons la parcouraient à chaque contact tiède sur sa peau. C'était pire que de la torture ce qu'il lui faisait subir! Et en plus il remontait dangereusement vers sa poitrine! La jeune femme posa ses deux mains sur les épaules de son camarade et fit en sorte que ses lèvres ne la touchaient plus. Il exerçait encore une forte pression et, elle, avait ses forces qui l'abandonnait sous la chaleur. "Heureusement" pour elle, un énorme bruit venant de la porte l'arrêta dans son élan. Il voulut se redresser mais son pantalon se retrouva à ses chevilles et il tomba du lit. Elle laissa échapper un léger soupir de soulagement avant de laisser sortir un petit cri de surprise puisqu'il l'entrainait dans sa chute également! Tombé en premier, c'était à présent lui en dessous et l'élémental, à califourchon, était en position de force. Enfin pas tellement puisque les crochets de son soutien gorge avaient lâché dans leur actions. Rougissante de plus belle, elle cacha sa poitrine de ses bras avant de s'allonger un peu sur le brun. La malchance continua de les poursuivre puisque l'assaillant de la porte réussit à l'enfoncer, lui donnant une jolie vue du spectacle qui avait lié dans la chambre.

"Qu.. qu.. qu... Qu'est que vous fabriquez !? I.. il .. Il est interdit de faire ce genre de .. chose ... ici !" avait dit l'autre folle, qui était entré sans autorisation et qui faisait mine de ne pas regarder. Les deux étudiants n'étaient pas dupes non plus. Kei avait tourné la tête dans la direction opposée à l'autre tarée, plus que gênée par la situation. Il fallait qu'elle parte! Mais comment faire ? D'un coup Kaen prit la parole :

"Madame, vous avez une araignée sur la tête !"

Oh. Très bonne idée. Et qui marche en plus! Elle avait retourné un peu la tête vers la surveillante qui tourna plusieurs sur elle même en criant avant de sortir en claquant la porte. Elle l'avait même fermé. Pour une fois qu'elle leur rendait service. Avec toute cette agitation, l'élémental avait relâché un peu sa vigilance quant à la nudité de sa poitrine, et le brun ne manqua pas d'en profiter. Un moment d'inattention et ses lèvres en profitèrent pour se loger pile au centre. Ses joues devinrent rouge pivoine. Plus écarlate était impossible. Vraiment. Elle le repoussa en poussant sur son torse de ses deux mains. Une fois cela fait, ses mains se remirent devant sa poitrine. Et avec un beau sourire il la taquina en ajoutant:

"Deuxième fois que je te marque, cette fois celui la est assez bien placé."

C'était plutôt la troisième fois qu'il la marquait.. Deux au cou et maintenant là! Il n'en ratait décidément pas une pour signer son territoire. Elle devra porter des vêtements qui cache ça. Même si elle n'était pas du genre à montrer ses atouts à tout va et à n'importe qui. Un peu perdue à cause la fièvre qui l'envahissait, elle mit un peu de temps à sentir l'envie de son camarade. Gênée, elle tourna la tête vers lui et leurs regards se croisèrent. Que ce soit dans le dorée ou l'écarlate la confusion s'y lisait. Sa tête lui disait qu'il serait plus sage de se sauver et d'en arrêter là mais son cœur disait l'exact contraire. Laissant ce dernier prendre le contrôle des évènements, elle rapprocha son visage de celui de son compagnon et déposa ses lèvres contre les siennes dans un baiser d'abord timide puis plus passionné. Sa main gauche alla se poser sur le ventre du jeune homme alors que la seconde restait contre sa poitrine.

Sans rompre le baiser, le jeune homme la souleva et la posa sur le lit. Elle le laissa terminé le travail: il lui retira ses derniers vêtements, laissant ainsi leur corps brûlants se frôler et se caresser en douceur. La nuit fut calme et agréable pour le jeune couple, bien que quelques bruits aiguës et étouffés se firent entendre. Une fois ce déluge d'émotions passé, les deux étudiants finirent par s'endormir paisiblement l'un dans les bras de l'autre.

Le lendemain maint, l'élémental fut la première à ouvrir les yeux. Les souvenirs de la nuit passée avaient du mal à lui revenir. Aussi elle s'étonna d'avoir dormi contre lui, la tête posée contre son torse. Elle se redressa un peu, et ce qui la surprit davantage était le fait qu'elle ne portait aucun vêtement. Ils n'avaient tout de même pas.. ?! Elle tourna la tête vers le brun. Il semblait dormir paisiblement. Impossible pour elle de le réveiller maintenant.. La jeune fille s'éclipsa dans la salle de bain en reprenant ses affaires. Elle prit une bonne douche froide et des moments de la nuit lui revinrent en mémoire. Ils avaient été loin... Elle s'habilla de son short de la veille et chercha dans les armoires de son camarade un t-shirt, qu'elle trouva peu de temps après.

Habillée, elle sortit de la salle d'eau et vit que Kaen et Kuro étaient réveillés. Elle évita le regard du brun et prit le chaton dans ses bras. Elle se dirigea vers la fenêtre qu'elle ouvrit. Regardant en bas, elle écarquilla les yeux en voyant ce qui s'y trouvait. Elle se recula vivement et se laissa tomber au sol. La jeune femme tourna la tête vers le brun et eut seulement le temps de dire:

- "Il... Nous a suivi.."

L'homme aux cheveux verts qui les avait capturé la veille les avait suivi et retrouvé! Il avait même su pénétrer dans l'enceinte de l'institut. Le pire c'est qu'il avait du la voir.. Et qu'il allait venir! C'était sur et certain même! D'ailleurs il avait monté jusqu'au premier en escaladant le mur. Il était déjà debout sur l'appui de fenêtre. Son sourire et son regard n'envisageaient rien de bon et dégageaient une certaine haine pour eux.. C'était vrai qu'ils avaient faire fuir ses marchandises de la veille.. Il prit la parole:

- "Eh bien, on dirais que l'on s'est bien amusé hier. Je ne vous laisserai pas filer cette fois ci!"

Reveiller par le soleil du petit matin, ou devrais-je dire l'apres midi ? Je n'avais aucune idée de combien de temps j'avais dormi, puis un petit frisson me parcourt tout le long du corps, j'étais nue, je me pose la question pourquoi je m'étais endormi tel quels, un petit flash me reviens, il semblerait qu'avec Kei il y a eu ''contacte'' hier, laissant mon visage rougir, je me dirige vers les vêtements déjà prête pour aujourd'hui, la tenue de l'école cela ne va pas plus loin.
Kei semble occupé la salle de bain, j'étais un peu déçue de mettre pas lever avant, j'imagine que j'aurais eu droit a un beau spectacle, enfin bon je n'ai pas change d'être un bon dormeur.
La jeune demoiselle sortie de la salle de bain et évitant mon regard, j'avouerais que même moi j'avais du mal a la regardé droit dans les yeux, si j'avais la malchance de croisé son regard des images d'hier soir me reviens en tête et mon visage risquerais d'être rouge tomate. Elle venu saisir le chaton puis se dirige a la fenetre, puis subitement le changement de comportement de Kei fut étrange.

- "Il... Nous a suivi.."

- Qui d...

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase que l'individu était déja a la fenêtre, mais il est pas possible celui la, j'aurais préféré voir l'autre folle que lui, épée hors de portée, déja que la dernière fois même en main j'avais pas réussi a le battre, c'est peine perdu, je saisie une dague que j'avais toujours en cas de problème, mais je pense pas que cela risque de servir contre lui. Je me lève doucement pour être mieux préparé a un déplacement rapide.

- "Eh bien, on dirais que l'on s'est bien amusé hier. Je ne vous laisserai pas filer cette fois ci!"

Que faire ? Je suis impuissant, je peut ni la protéger ni même me protégé, sans oublié Kuro, que faire bon sang ?

En reculant, l'élémental s'était laissée tomber au sol. Kuro était sur ses bras et gigoté. Après avoir expliciter le pourquoi de sa venue, l'homme au cheveux verts était descendu du bord de la fenêtre et avança dans la pièce. Contre lui, ils n'avaient aucune chance. En temps normal peut être qu'en s'y mettant à deux et en étant coordonné peut être qu'une infime. Mais là avec Kaen blessé.. C'était réduit à zéro.

Kuro commençait à grogner et fêler contre l'intrus qui s'approchait d'elle. Le chaton alla même jusqu'à sortir ses griffes pour qu'elle le lâche. Visiblement lui ne voulait pas qu'ils se fassent avoir. Kei tourna un instant la tête vers son camarade qui avait une sorte de dague à la main, et la boule de poil en profita pour se libérer et se jeter contre l'homme à la tignasse verte. Immédiatement elle retourna son attention sur lui. En vraie harpie, il le griffait et le mordait. Cependant son attaque ne dura pas... L'homme l'attrapa par la peau du cou et le plaça devant son visage un instant avant de le lancer violemment contre le mur. Interloquée, après avoir eu un temps d'absence d'une micro seconde, elle se précipita sur le chaton. Ce dernier ne bougeait plus et il était retombé dans une position tellement étrange que certains de ses membres avaient du être démembrés sous le choc. Aucune chance qu'il soit encore en vie. Kei, avec le peu d'espoir qui lui restait et un peu tremblante, approcha sa main et la sanction tomba. Il était parti..

Aucune larme n'avait coulé mais un élan de haine et de colère envahissait la jeune femme et se lisait dans ses yeux. Elle se tourna vers l'adulte qui était juste devant Kaen et qui venait de lui assigner sauvagement un coup, pile sur ses blessures abdominales de la veille, le faisant s'évanouir et qui dit à son attention avant de, lui aussi, se tourner vers elle:

- "Tu n'espérais tout de même pas m'avoir avec ça ? Oh mais quel regard!"

Il s'approcha d'un pas lent mais elle ne lui en laissa pas vraiment le temps. L'élémental se jeta sur lui comme l'avait fait le pauvre chaton quelques minutes auparavant. Il allait payer! Pas question qu'il s'en sorte indemne! Pas après ce qu'il venait de faire! Cependant, son attaque termina un peu comme celle de la boule de poil. Il l'avait choppé au cou de sa main droite et plaqué contre le mur. Un petit cinq centimètres séparait ses pieds du sol. Si ses yeux auraient pu tuer, ils l'auraient fait sur le champ. Sa main droite se posa contre son poignet et elle laissa le froid parcourir l'avant bras de l'homme. Plus les secondes passées et plus ses veines et son sang se gelaient. Une minute trente et la température du membre était passée de trente sept à quatre degré. Suffisamment congelé et fragilisé, c'est avec sa main gauche qu'elle brisa le tout comme si il s'agissait d'un simple miroir. Sans main, l'homme au cheveux vert fut obligé de la lâcher mais alors que ses pieds allaient toucher le sol, il lui donna un coup de poing de sa seule main restante. Elle ne l'avait pas vu venir celui là. Dans sa chute, sa tête, et plus exactement sa tempe se heurta contre le coin d'un meuble. Du sang coula de sa plaie légère et elle s'évanouit après avoir jeté un dernier regard à son amoureux qui était hors jeu depuis un petit moment déjà.

Combien de temps s'était il passé ? Quelques heures peut être. Lorsqu'elle reprit conscience, sa tête était douloureuse. Pas étonnant vu le coup qu'elle avait reçu. Elle voulut y apporter la fraîcheur de sa main pour calmer la douleur mais impossible. Ces dernières étaient bloquées dans son dos. La pièce était tellement sombre qu'elle voyait à peine ses pieds et aucun visuel non plus quant à la largeur de la salle. Étrangement, et malgré la noirceur du lieu, elle pouvait dire et affirmer que Kaen était là. Où elle ne savait pas mais il était là. Dans la même pièce. La jeune femme voulut s'en assurer en lui demandant mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle replia alors contre sa poitrine ses jambes qui n'étaient pas entravées. Des voix lui parvenaient mais elle ne comprenait pas ce qu'elles disaient. Tout entrait et ressortait aussi vite de son esprit. Toute sa haine s'était enfouit au fin fond de son cœur. Du moins pour le moment. Elle était, un peu, comme dans un d'état second. Son regard était vide et n'exprimait rien. Kuro. Leur petit chaton. Leur secret était tombé dans le sommeil éternel, son camarade était surement dans le même état qu'elle, les blessures en plus, et ils risquaient de finir comme esclaves. Ils pouvaient difficilement faire pire non ?

La porte de leur prison de fer s'ouvrit. Elle n'osa même pas y porter un regard. Non pas par manque d’intérêt. Mais plutôt parce qu'elle n'était plus vraiment conscience de l'environnement qui l'entourait. Des bruits de pas et de chaînes parvinrent à ses oreilles puis une voix qu'elle avait déjà entendu:

- "Allez gamin. C'est toi le premier sur la liste des marchandises aujourd'hui."

C'est la voix de Kaen qui la sortit de son mutisme. Marchandise. Aujourd'hui. Marchand d'esclaves. Le lien entre ces trois mots se fit rapidement dans son esprit. Il n'allait tout de même pas les séparer ?! Elle ne voulait pas le perdre lui aussi! La jeune femme se mit à bouger ses mains, faisant teinter ses menottes. Elle n'arriverait pas à se libérer, elle en avait conscience. Tout ce qu'elle voulait c'était se faire remarquer. Enfin, des mots sortirent de sa bouche:

- "Attendez! Ajoutez moi en même temps que lui! "

A peine le temps de comprendre comment se sortir de cette situation que je vis quelque chose s'éclaté contre le mur, tournant doucement la tête voir de quoi il s'agit en espérant ne pas avoir raison, je vis malheureusement la petit boule de poil contre le sol dans une position qui n'est pas jolie a voir, Kei fonce voir l'état du chaton, mais sa réaction veut tout dire, dans un élan de rage je tente de poignardé, mais sans succès, encore une fois je suis pris de vitesse et cette fois-ci un seul coup suffit a me mettre hors jeu.

Je me réveille dans une étrange salle, je peut le dire je suis seul ici, quand une porte s'ouvre doucement, se long bruit de grincement semble être volontaire, il n'est pas agréable mais j'ai entendu pire. Puis une lumiere éclaire tout la piece, je peut voir un homme cagoulé et le bouffon vert derriere lui, un flash sur Kuro revient, puis mon sang bouille a nouveau, mais l'homme cagoulé comment un série de coup comme si j'étais un joué pour lui. Etrangement il ne vise que les parties qu'on peut facilement caché par des vêtements, mon visage est donc épargnée par la ruée de coup, il me frappe en m'en faire saignez de la bouche, une fois fini l'assasins s'approche de moi et me souffle a l'oreille.

- J'ai tuée ta petite copine.

Les mots suivant semble ne pas entré dans mon cerveau, rejetée de mauvaise foi mais quand même compris je perd tout espoir, je sombre doucement dans le chagrin mais je ne souhaite pas leur montré une seule larmes. D'un ton déçue il dit qu'il voulait un visage remplie de haine que celui la, je tuerais cette homme, il va mourir de la pire façon que se monde peut le permettre, je lève légèrement le regard vers cette homme et il réagi remplie de joie.

- Hummmm ton beau visage haineux me plait, quels dommage que tu es prévu a la vente, je t'aurais jalousement gardé pour faire de toi mon jouet.

Je n'écoute pas vraiment ce qu'il me raconte, la seul chose que je souhaite est tuée cette homme rien d'autre, puis je fini jetée dans une pièce beaucoup plus sombre que la précédente, une seule chose hante mes pensés, vengeance ! Il semblerait que je perd le contrôle comme l'or de la forêt, vais-je faire encore un carnage ? Vais-je mourir cette fois-ci ? Je fini par m'endormir de fatigue, puis réveiller de force par l'un des gardes, je fut traîné vers la sortie, j'avais le regard vide, prêt a tuez le premier qui me gêne et surtout ce bouffon vert. Quand une voix me fit sortir de ses pensés meurtrière.

- "Attendez! Ajoutez moi en même temps que lui! "

Je me tourne vers cette voix si familièrement, puis j'avais du mal a croire quels était devant, était-ce vraiment elle, sur un moment d"hésitation le garde qui tenait mes chaînes pour me traînée ce dirige vers Kei et veut lui faire payé son insolence, il lève le poing pour lui en collé une, et mon premier réflexe et je me mettre devant pour encaissé le coup a sa place, un peu devenu sensible aujourd'hui avec tout les coups que j'avais reçu je fis une tête qui mérite un trophée de grimace, puis le garde recule de quels que pas en menaçant de m'en collé une si je ne bouge pas. Je me retourne ignorant un peu sa menace puis mes deux mains liée passe au dessus de Kei pour pouvoir la serrer dans mes bras. Ses bras semble être mis dans le dos contrairement a moi, donc elle ne pouvait que ce laissé faire, une larme s'échappe et glisse le long de ma joue tellement que j'étais heureux de pouvoir la voir, la touché, ressentir sa présence a côté de la mienne. Quand le bouffon m'avait appris sa mort c'est comme si un vide immense c'est crée en quelque seconde, mais une fois que je l'ai revu ce trou c'est bouché dans la seconde, enfin il y avait encore un petit trou, celui que Kuro avait laissé derrière lui...
L'homme mit un pied sur mon dos comme dernier avertissement, mais je continue de l'ignoré et pendant que je serre Kei je chuchote sans m'en rendre compte.

- Dieu merci tu es vivante... Dis-je en chuchotant involontairement.

Alors que l'homme s'élance pour frappé, un homme le bloque net et le gronde de pas frappé les marchandises. Puis il regarde Kei puis avec un visage neutre il dit a son sbire de nous mettre en lot.

- Met les dans le même lot, cette humain ne va pas se vendre sinon.

Puis on fini dans un couloir qui part la suite on est mené sur une énorme plateforme en hauteur avec plusieurs centaine de personne qui nous regarde, puis un homme en costume étrange hurle dans un micro.

- Voici le prix 3450, il semble que se soit une promo spécial, une jeune demoiselle Elementaire avec un humain en cadeau s'il les prix monte a plus de 10000 pièce d'or !

Les prix monte doucement, puis le 10000 est atteint, et les prix continue de monté, il semblerait que les élémentaire soit rare au enchère, je pense que cette homme savait que je n'allais pas être acheté ou vraiment pour des clopinettes. Puis on est jetée dans une autre salle tout les deux et tout seul.
Impossible de bougé je reste allongé a cause de la douleur, Kei est assis juste a côté, j'étais heureux dans un sens qu'on était achetée ensemble, c'est toujours cela. Mais qui nous a achetée. Mais l'envie de me levée pour serrer Kei était grande, mais je ne pouvais pas bougé malheureusement.

Toute seule dans cette pièce sombre où rien n'était perceptible, elle avait eut le temps de ruminer ses idées noires. Le bruit de la porte n'avait même pas su attirer son attention. Seulement le son des chaînes et des pas lui parvenaient aux oreilles. Alors qu'elle était restée muette depuis qu'elle était arrivée ici, c'est lorsqu'ils emmenèrent Kaen que des mots sortirent enfin de sa bouche. Elle voulait être avec lui et ne pas qu'ils soient séparés. L'élémental demanda qu'ils soient mis en vente ensemble.

Il y eut un petit moment de silence. Puis des pas se dirigèrent vers elle et enfin elle vit un visage. Loin d'être familier et sympathique d'ailleurs. L'homme en question leva son poing, prêt à lui coller en pleine figure. Le regard de l'élémental, plein d'audace et de détermination, fixait celui du sbire. Hors de question qu'elle reste ici si il venait à partir! Le coup allait partir mais elle ne reçut rien. Le brun s'était interposé entre les deux prenant l'attaque à sa place. Elle le regarda de dos un peu surprise de son geste. Le garde recula de quelques pas en le menaçant de le frapper si il ne bougeait pas de là. Visiblement sourd, il se retourna vers elle, qui fut soulagée de voir qu'il n'avait rien. Du moins sur son visage en tout cas. Il glissa ses deux mains liées par dessus elle et la serra dans ses bras. La jeune femme était contente que savoir qu'il allait bien et aurait aimé lui rendre son étreinte mais avec ses mains liées dans son dos ce n'était pas possible. Pour contrecarrer cet handicap, elle posa sa tête contre son épaule. Cette proximité lui faisait du bien et l'apaisait un peu. Elle sentit une larme glisser sur sa joue. Il pleurait ? Elle murmura son prénom comme pour le consoler. Mais ce qui l'étonna le plus c'était ce que lui, lui murmura:

"Dieu merci tu es vivante"

Il pensait qu'elle avait suivi le même chemin que Kuro ? Eh bah non, elle était encore là et pas prête à le laisser! Le sbire qui l'avait frappé était prêt à recommencer mais un second l'en empêcha en lui expliquant qu'il ne fallait pas blesser la marchandise. Il la regarda ensuite et dit qu'il acceptait de les mettre en lot. Yes! Elle avait réussi! Ils les séparèrent l'un l'autre et l'un d'eux, celui qui avait accordé sa demande l'entraîna avec lui. Ils empruntèrent un couloir sombre et froid. Il était assez long et elle n'hésitait pas à jeter des regards vers son camarade. Ils étaient vraiment dans une sacrée merde, tout les deux. Mais au moins ils seraient ensemble.

Ils se retrouvèrent sur une estrade. Aux pieds, une foule de gens semblait les attendre et les observait comme si ils étaient des bêtes curieuse. S'en était presque gênant tout ces regards sur eux.. Ils les placèrent bien au centre de la scène et un homme avec un costume assez flashys faisait son chaud et animait la vente.

"Voici le prix 3 450. Il semble que ce soit une promo spécial, une jeune demoiselle Elementaire avec un humain en cadeau si les prix montent à plus de 10 000 pièces d'or ! "

Les enchères montent d'abord doucement puis elles deviennent plus passionnées et les 10 000 pièces d'or sont atteints. Et ils grimpent encore. Et ceux jusqu'à atteindre 20 000 pièces d'or. Le dernier enchérisseur était un homme vu la voix. On les entraina ensuite dans une salle aussi sombre que les précédentes mais plus petite. Kaen était allongé au sol et il semblait souffrir, elle était assise à côté de lui. La jeune femme ne savait pas ce qu'il avait subi lorsqu'ils avaient été séparé mais elle se devinait que ses côtes étaient encore douloureuses. Elle se laissa glisser un peu plus près de lui et souleva un peu son t-shirt avant de déposer sa main sur sa peau. Malgré les menottes entravant ses capacités, sa température corporelle était toujours plus basse que celle du brun. Et donc, la fraîcheur de sa main devrait lui faire du bien. L'élémental ne pouvait rien faire de plus avec ses liens.

Des bruits de pas se firent entendre après un petit moment, suivi de voix:

- "Ces deux là ne sont pas très dociles. Si vous voulez qu'ils vous obéissent, je vous conseille de menacer de blesser l'un si l'autre refuse quelque chose. Quant à la fille assurez vous qu'elle garde ses menottes si vous ne voulez pas finir congeler."

- "C'est bon! Je suis déjà au courant de ce qu'ils savent faire. Je les ai déjà croisé."

Quoi ? Celui qui venait de les acheter les avait déjà rencontré ? Elle tourna la tête vers Kaen. Peut être qu'il avait une idée sur la personne. Mais il semblait tout autant incrédule qu'elle. Les pas s'approchaient, rapidement et les visages apparurent. D'abord le salaud aux cheveux verts et à la vue du second, elle eut un moment de choc. Le fils à papa de Lamiarth. C'était une blague là ?! Elle retirait ce qu'elle avait pensé tout à l'heure. La situation pouvait être pire. La preuve avec ce "maître". Il la regarda avec le même regard pervers que la première fois et lança un regard plus sadique au brun tout en ajoutant:

- "Vous ne pourrez pas m'échapper cette fois."

Le fou ouvrit leur cellule et c'est le riche qui entra en premier. Il s'avança vers eux et attrapa leur chaines respectifs avant de les tirer violemment pour qu'ils se relèvent. Assise, elle n'eut pas trop de mal à le faire. Kaen par contre.. en étant allongé, eut un peu plus de mal. Une fois debout, il les traîna en dehors de la salle puis à l'extérieur où plusieurs autres personnes étaient là. Surement des acolytes à lui.. Ils les firent monter à cheval après les avoir endormi. Probablement pour être sur que les deux étudiants ne causeraient pas de problème sur la route.

Lorsque l'élémental se réveilla, ses mains étaient à présent attachées devant elle et non plus derrière. Elle regarda la pièce. C'était une chambre. Et elle était posée sur le lit. La fenêtre était fermée et la porte aussi. Mais le brun ne se trouvait pas dans la pièce. Ils les avaient séparés ? Est ce qu'il allait bien au moins ? C'est sur cette pensée qu'elle se leva et ouvrit la porte. Il n'était pas très malin ce nouveau "maître". Un avantage pour eux. Elle regarda à droite puis à gauche. Personne en vue. Vraiment pas très futé. Prudemment, la jeune femme progressa dans la demeure. Cette dernière était grande. Peut être même un peu trop. Les couloirs s'enchaînaient et se ressemblaient tous. Les portes étaient toutes identiques sauf quelques unes qui portaient des écriteaux. Des bruits de pas parvinrent à ses oreilles et elle se "cacha" dans une intersection. Mais, on l'avait repéré. Alors qu'elle s'attendait à s'en sortir ni vue, ni connu, elle osa un regard dans le couloir principal et une main vint saisir son visage. Le pouce posait contre sa joue et les autres doigts sur l'autre. Il lui faisait mal le bougre! Il finit par se mettre en face d'elle et leur regard se croisèrent alors qu'il prononçait:

- "T'es pas censé te balader comme bon te semble"

Elle fronça les sourcils et remonta ses deux mains rapidement qui cognèrent violemment le menton du gars qui la lâcha.

- "La garce! Choppez là!"

Et la course poursuite commença. Elle courrait sans faire attention où elle passait. Et pis, elle arrivera devant une porte où elle heurta quelqu'un.

La vente étant terminé, on nous met dans une genre de salle d'attente pour qu'on puisse venir nous récupéré comme de vulgaire objet. Puis un homme met en garde le client que nous somme pas docile, il a raison de le prévenir, je le tuerais a la première occasion qui se présente s'il touche a Kei.

- "C'est bon! Je suis déjà au courant de ce qu'ils savent faire. Je les ai déjà croisé."

Qui cela pouvait être ? Je n'arrive pas a le reconnaître, un idiot que j'aurais surement barré la route parce qu'il barrer la mienne ? Mais il précise qu'il nous connait tout les deux, je me souviens pas avoir causé de problème a un noble avec Kei, bref nous somme transporté en cheval et endormi avant pour évité toute tentative de fuite probablement.
Une fois de nouveau dans le monde réel je ne vois pas Kei en premier lieu, mais simplement ce noble qui nous a acheté. Il semble me regard comme s'il avait gagner, puis d'une voix il me raconte un peu en résumé ma vie juste qu'arriver au passage de la mort de mes parents, il continue d'enfoncé le couteau dans la plaie, encore et encore. Puis d'une voix moqueur et sournois il me dit :

- Maintenant je vais te prendre ta cher demoiselle, je pense prend beaucoup de plaisir avec elle, je te laisse elle m'attend dans mon lit prête a être abusé.

Il sortie sur ses mots, fou de rage, je l'aurais tuée sur le champs si j'avais les mains libre. Puis un homme s'approche le sourire sadique.

- Bon je dois te tuée mais j'ai ordre que tu souffre beaucoup, m'en veut pas hein jeune homme.

D'un coup net d'épée il me coupe la main gauche, cela me permet de bougé maintenant le bras, la douleur reste insupportable, je peut voir ma propre main par terre, ce n'est vraiment pas drôle a voir.

- Je demanderais au Maitre de me laissé abusé de cette jeune fille, elle semble plutôt bonne.

Relevant le regard vers mon bourreau, je le fixe avec mépris et haine, ce simple fait d'avoir osé prononcé ses mots va lui conduire a sa perte. Il allait coupé ma deuxième main quand je me servit de celle de libre pour lui mettre un coup dans la gorge, le sang gicle de ma main et il lâche son épée, je la rattrape avec beaucoup chance en pliant le coude je me maintenir l'épée pendant quelque seconde et j'en profite pour coupé les chaînes de mon autre main, un autre garde entre dans la pièce et tente d'en finir avec que j'ai découpé tout les chaines m'empêche de bougé. Je saisie maintenant l'épée dans l'autre main et d'un coup net je tranche la gorge du deuxième garde, le premier semble se remettre du coup dans la gorge, coupant maintenant les lien qui bloque mes pied j'avance vers cette pourriture le regard vide et sans expression.

- Ah, pitié jeune, je ne voulais pas, j'étais obligé, pit...

Le deuxieme garde fini par perdre la tête, maintenant Kaen est dans un état de non contrôle comme l'or de l'inccident de la forêt, chercher Kei devrais être sa seul pensé. Sortant de la pièce quelque chose venu le percuté contre moi, je regarde plus précisément la chose et il s'agit de Kei puis le noble derrière qui demandé des renforts pour pouvoir maîtrisé la situation.



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